Thème « peur »
Avec ses amis, Benji le mouton et Suzana la chèvre, Nora part à la chasse au trésor. Il leur faudra beaucoup de courage. Le plan parle d'animaux féroces et même d'un crocodile !
Il neige dans ma chambre. Autour de moi tout est blanc. On ne voit plus mes jouets, on ne voit plus ma couette. Mon lit est une montagne de neige. Le vent est entré par la fenêtre un matin de printemps, il a pris place dans ma couette et n’a plus voulu repartir. Au loin un loup m’appelle. Ce n’est pas un loup méchant, c’est un loup triste. Il n’en peut plus d’être seul. Il me demande de venir vivre avec moi. Sans plus attendre, je prends mon sac à dos, un bonnet dans l’armoire, et je traverse une grande forêt de sapins. Ma vie est décidément pleine de surprises.
Dans ce nouveau recueil d’histoires, Hervé Walbecq nous ouvre la porte de sa chambre d’enfance, où les loups sont tristes et où les draps murmurent. Sur cette porte magique, il aurait pu être écrit : « Heureux les rêveurs, le monde leur appartient. »
La pluie bat, la tempête fait rage, les champs sont inondés, le Marais poitevin déborde de partout. Il faudrait être fou pour mettre le nez dehors par ce temps. Fou, ou pourchassé par un tueur. Quentin et Garance ne sont pas fous du tout. Ce sont deux enfants très intelligents et débrouillards, au contraire. Mais les voilà seuls dans la nuit, seuls et perdus sur une barque plate, avec leurs vélos accidentés et une barre de céréales. Leur père a disparu. Assassiné, ils en sont sûrs, par un cambrioleur qu'ils ont surpris dans son bureau. Il les a poursuivis à pied, puis à vélo, à travers les éléments déchaînés. À présent, il les traque en bateau. Il veut leur peau.
Le héros de cette bande dessinée, c'est le lecteur. À lui de résoudre le mystère des vols commis au Louvre et de découvrir le secret du pharaon...
Soyez à nouveau un héros dans : « Lulu a disparu » et « Panique au cirque ».
Elle et Lui ont la permission de passer une nuit dans le jardin, sous la tente. Mais dormir n’est pas facile. D’abord, la nuit est très noire, et puis il y a de drôles de bruits. Et si un monstre était dehors ? Elle et Lui ont peur. Et comment faire pour que la peur s’éloigne ? La transformer en une formidable rigolmarrade !
LUI : Et maintenant, tu dors comment ?
ELLE : Profondément.
LUI : Profondément comment ?
ELLE : Si profondément que je ne t’entends pas.
LUI : Pourtant tu me réponds !
ELLE : Non, tu rêves que je te réponds.
LUI : Je ne rêve pas, je suis réveillé.
ELLE : Toi, oui, tu es réveillé, mais moi, non, je dors.
LUI : Bon.
Des vacances de Toussaint sur une mystérieuse île en Bretagne ? On ne peut rêver mieux pour le Club de la Pluie, qui aime l’aventure par-dessus tout ! Ambroise et sa bande sont invités dans une grande et vieille maison, où se produisent des faits étranges : un masque aztèque qui pleure du sang, un jardinier blessé, et surtout une voix qui surgit de nulle part… Il paraît que sur une île tout le monde se connaît… Mais alors, qui s’amuse à faire chuchoter la maison ?
Quand l’homme qui l’a recueilli l’a trouvé, il tétait une pierre. L’homme l’a installé chez lui, élevé en compagnie de son fils. Le garçon a grandi, et il n’avait peur de rien.
L’homme avait beau se déguiser en fantôme pour le terroriser, il ne tremblait pas. Qu’est-ce qui peut bien faire peur à un garçon au coeur de pierre ? Le faire frissonner, faire se hérisser le duvet de ses bras ? Une villa hantée ? Une nuée de ouistitis à tête de crâne ? Une carcasse menaçante ? Et si c’était autre chose ?
Nicolas entre au collège et il est temps qu'il le sache : le monde est une jungle. On n'est pas à l'abri de rencontrer dans la cour une meute d'alligators au sourire carnassier. On risque aussi de croiser, au coin d'un bois, une vraie tigresse échappée d'un zoo. Et on a des chances de croiser une intrépide guerrière en liberté. Mais quand, comme Nicolas, on a toujours été couvé au nid et élevé au grain, il faut savoir s'armer de courage pour prendre son vol.
Ce jour-là, je suis rentré tout seul avec mon petit frère à la maison. Nous avons attendu Papa et Maman. Personne n’est venu.
Alors, nous avons construit une cabane. Une jolie cabane toute blanche, avec un mât pour le drapeau. J’étais fier. Je ne savais pas si nous allions pouvoir rester là quand nous serions grands. En tout cas, nous étions bien installés.
Moi, Max, je n’ai pas peur de le dire : j’ai peur.
Le roi du stress, le prince de l’angoisse, ne cherchez pas : c’est moi. Non, ça ne peut plus durer. Il faudrait qu’on m’indique un remède, et vite.
Un jour débarque à la maison un géant plein de barbe et de cheveux. C’est Benoît, un vieil ami de mon père, qui rentre tout juste d’Amazonie. Benoît n’a rien dans les poches et nulle part où aller. Mais il a peut-être quelque chose pour moi. Et s’il me montrait le chemin de l’imprudence...
Il était une fois un ogre qui avait une horrible réputation. Dès que le bruit courait qu’il se trouvait dans les environs, les gens se bandaient les yeux, se bouchaient les oreilles et se recroquevillaient sous les tables. Un après-midi, alors qu’il partait en quête de son dîner, il aperçut devant une petite maison, une jeune fille qui s’activait dans le jardin. « Comment pouvez-vous rester aussi calme ? s’exclama-t-il. N’avez-vous pas entendu parler de moi ? Où diable vivez-vous ? » Il réalisa qu’elle ne le craignait pas.
Sheila s'inquiète beaucoup de ce que ses amies pensent d'elle et elle est très attentive à ne pas montrer ses défauts. Elle sait bien que deux personnes l'habitent. La Sheila publique : intelligente, spirituelle, n'ayant peur de rien et la Sheila soigneusement cachée qui a peur des chiens, des araignées, du noir, des orages, qui ne sait pas nager ni jouer au yo-yo. Malheureusement le personnage public élaboré par Sheila a des failles. Elle arrive à tromper certaines personnes mais elle échoue totalement avec sa nouvelle amie Minnie, championne de yo-yo, bonne nageuse et amie des chiens. Alors doucement, Sheila commence à admettre ses peurs. Elle finit même par reconnaître qu'elle ignore certaines choses. Au retour des vacances Sheila aura découvert que dormir seule dans une chambre noire, partager la maison avec un chien, prendre ces terribles leçons de natation, n'était pas si désagréable et peut-être même plus agréable que ne l'aurait été le tant rêvé voyage à Disneyland.
Dans la vie d’Hector il y a :
• un héros (c’est lui) ;
• un lieu ou deux (la maison et l’école) ;
• une personne qui aide le héros (son ami Elliot, ou parfois sa soeur Ludivine) ;
• un but à atteindre (rester le maître de sa vie).
Et il y a aussi :
• une faiblesse (Hector a peur) ;
• un méchant (on le découvrira bientôt) ;
• un événement imprévisible (ou même plusieurs) ;
• et des rebondissements.
Pas de doute, la vie d’Hector ressemble à une série télévisée. Mais comment devenir vraiment un héros ? Il va falloir être à la hauteur.
Le téléphone n’arrête pas de sonner. Armande est seule à la maison et elle est terrifiée. Elle sent la présence d’agresseurs invisibles derrière chaque porte, elle entrevoit des pièges courir le long des murs. À treize ans, c’est la première fois qu’elle accepte de se garder toute seule, sans baby-sitter. Elle a promis qu’elle n’aurait pas peur, mais elle ne peut s’empêcher de calculer le nombre de secondes pour arriver jusqu’au téléphone situé dans l’entrée.
Au bout du fil, Esther, sa grande sœur, la supplie de voler pour elle la jolie pochette brodée de maman. Peut-être est-elle cachée dans cette valise que leur mère range sous son lit ? Armande progresse lentement vers la chambre, puis jusqu’à la valise. Celle-ci ne contient que des lettres. Elle reconnaît l’écriture de son père, volatilisé depuis huit ans. Bizarre ! La dernière lettre remonte à avant-hier.
Le téléphone se remet à sonner. Maintenant, Armande a peur d’un fantôme…