Thème « émotions et sentiments »
Au fil du temps, La Barbe bleue n’a cessé d’inspirer dramaturges, illustrateurs, écrivains, musiciens, avec un succès jamais démenti. À son tour, Elsa Oriol a succombé à la troublante fascination de ce conte, mais gare ! car la magie de son talent ne se contente pas de nous séduire ; elle exerce sur le lecteur un véritable envoûtement…
Des invitations, des amitiés nouvelles, un mois excellent, voilà ce que son horoscope a promis à Debbie. Mais peut-être les centres de vacances échappent-ils à l'influence des planètes. Pour l'instant, en fait d'amitié, elle n'a trouvé qu'Aurélie et Magali, qui n'hésitent jamais à lui faire sentir quand elle est de trop. Et ce sont elles qui reçoivent des invitations, et même des déclarations d'amour qu'elles trouvent, le soir, sur leur oreiller. Quand on n'aime pas trop la piscine, ni la balle au prisonnier, quand on préfère se mettre à l'écart soi-même avant que les autres ne vous oublient comme une vieille chaussette, est-ce qu'on a une chance de plaire à quelqu'un ? Debbie décide de rester confiante. Aujourd'hui, c'est mercredi, et mercredi, c'est le jour de la boum. Il va peut-être enfin se passer quelque chose.
Ils ne se quittent pas. Ils s'aiment énormément. Ils ont même inventé une chanson pour eux, une chanson d'amour. Un jour, derrière un vieux mur, ils découvrent un jardin, le jardin d'une magicienne aux pouvoirs maléfiques...
Trita a du chagrin et même des chagrins. Elle a toutes les raisons d’avoir de la peine. Surtout qu’elle a un frère jumeau malade qui s’appelle Sinan et qu’elle n’a pas le droit de voir. Comment vivre sans lui ? Comment vivre sans avoir peur du noir ? Comment se consoler d’avoir de mauvaises notes ? Comment ne pas penser sans cesse à Sinan ? Comment en finir avec le chagrin ? Trita ne sait pas et se désespère. Soudain une inconnue sort de l’armoire et lui propose de l’aider. Qui est-elle ? Une fée ? Peut-être.
Résumé de ma situation. Je m'appelle Jeanne, j'ai dix ans. Aujourd'hui, c'est mon anniversaire, et mon père m'a emmenée à Venise. Je devrais être folle de joie, mais comme il y a de l'eau dans le gaz entre mes parents, et que ma mère est à des milliers de kilomètres, à Séoul, oui, Séoul, j'ai peur que cet anniversaire soit le plus triste de ma vie. Le plus raté, aussi. Car notre guide vient d'être emportée par un bateau-ambulance, et mon père a disparu, lui aussi, me laissant seule sur la place Saint Marc. Heureusement, il y a Indaco. Il a dix ans, et il connaît Venise comme sa poche.
C'est la rentrée du CM1 et Andréa est de très mauvais poil. Pour commencer, la maîtresse l'a séparée de ses meilleurs amis, les Jojos, Johan et José, pour la coller à côté d'un nouveau qui parle comme un livre du Moyen Âge et fait des baisemains. Comme si ça ne suffisait pas, le nouveau, qui s'appelle Joseph, veut que tout le monde l'appelle Jojo. Ça va pas, non ? ! pense Andréa. Les Jojos, c'est sa bande à elle : chasse gardée ! Et, pour finir, il faut remplir une fiche de renseignements et répéter encore une fois cette phrase qui la torture depuis quatre ans : Profession du père : mort. Mais, soudain, Andréa glisse un oeil sur la feuille de Joseph et y découvre quelque chose qui l'abasourdit. Et quand Joseph dit : « La sonnerie a retenti, il est temps d'aller te restaurer », Andréa a très envie de le suivre. À la cantine, et même plus loin.
Dans une classe, il y a les éléments perturbateurs, mais il y aussi les éléments perturbants. C'est le cas de Bérangère, la nouvelle élève de CM2 toute auréolée de mystères. Chaque matin, elle arrive à bord d'une voiture de luxe, accompagnée d'un homme en costard. Dans la classe de CM2 courent les hypothèses les plus folles. La nouvelle serait témoin clé dans une affaire de meurtre, elle aurait tué ses parents, elle serait la fille cachée du roi des Belges. Très vite, il y a les pro et les anti Bérangère...
Même pliée en deux, la fille du géant est plus grande que le plus grand des hommes du village. À son passage, les oiseaux se mettent à chanter à l’envers et les arbres se secouent de haut en bas comme des chiens mouillés.
La nuit, elle s’extirpe de sa maison comme on sort d’un vêtement trop petit et marche vers le pré. Elle regarde le ciel. On dirait qu’un nuage lui fait un signe de la main, comme pour lui demander de s’approcher.
Killiok, le chien noir, est inquiet. Il attend le retour de Vari Tchésou, le magicien rouge, dont il n'a pas de nouvelles depuis le printemps. D'après les oiseaux, une roulotte aurait été aperçue au fin fond de la Grande Forêt… Killiok convainc Véronica de l'accompagner pour savoir ce qu'il en est.
Tous deux s'enfoncent dans la Grande Forêt et font des rencontres surprenantes : Pikkeli Mimou dans son refuge, le Chat Mystère qui va au festival de vol, Susy le cheval… et tous ces Bébés Mousse avec qui ils prendront le train !
La Chintia, dont Anne Brouillard a imaginé la carte, est divisée en 11 pays. L'histoire prend vie au travers des personnages, des lieux, et de leurs influences. Tout est possible et a l'air réel. Le premier tome met en mouvement les habitants du Pays du Lac tranquille.
Le jeune Dong-Dong a du chagrin: il a perdu son cerf-volant. Pour le consoler, son grand-père lui raconte une histoire qu'il n'oubliera jamais. Elle est pleine de poésie et de sagesse. Elle lui apprend que l'amour est comme un fil solide entre ceux qui s'aiment, et qu'il les sauve parfois en les élevant très haut. Désormais, chaque fois que Dong-Dong verra voguer un cerf-volant dans le ciel de la Chine ou d'ailleurs, il songera à la belle Ying-Ying et à son amoureux Ming-Ming, dont l'ingéniosité aérienne triompha jadis des appétits de l'Empereur.
Pierre habite à la campagne et il connaît par coeur le moindre caillou, la moindre brindille, le moindre insecte. Nina a beaucoup voyagé et la campagne, elle n’y connait rien. Cela ne l’empêche pas d’être curieuse, de poser des questions, et de s’enfoncer dans la forêt, malgré les conseils de Pierre de ne pas y aller toute seule. Il y aurait là une mare, et dans cette mare, des sorcières. Mais cela n’effraie pas Nina, au contraire.
Surmenée par son métier d’infirmière, Jeanne élève aussi bien qu’elle le peut sa petite fille, Marie. Régulièrement, celle-ci va rendre visite à Louise, sa grand-mère fantasque qui habite de l’autre côté de la cité-forêt. Elle prend toujours le chemin qui contourne la cité, jamais celui qui la traverse, même s’il est plus court. Un jour, un événement inattendu va bouleverser sa vie. Et ce jour-là , Marie traversera la cité interdite.
– Qu’est-ce que tu fais par ici, petite comme t’es ?
– Je vais chez ma grand-mère.
– Et ta mère te laisse sortir à cette heure-ci ?
– Ma mère elle travaille.
– Faudrait pas que les femmes travaillent. Après elles laissent leurs petits enfants traîner dans les rues tard le soir. C’est pas prudent. On ne sait jamais ce qui peut arriver.
– Je suis assez grande.
– Elle habite où ta grand-mère ?
Tous les troisièmes dimanches de chaque mois, Lola retrouve son Papy Jacquot et pendant des heures, tous les deux, en silence, ils font des origamis. Or un dimanche, impossible pour Lola de lui rendre visite. Même si ses parents ne lui disent rien ou si peu, même si elle ne parle pas, Lola comprend que son grand-père est à l’hôpital et qu’il est très malade. Un jour, elle rencontre un drôle de garçon qui parle tout le temps et qui a d’étranges activités : il pêche mais avec une canne à pêche sans fil ; il chasse les pigeons mais avec un lance-pierres sans pierres et il est prêt à aider Lola à envoyer un signe à son grand-père.
Le héros de cette bande dessinée, c'est le lecteur. À lui de résoudre le mystère des vols commis au Louvre et de découvrir le secret du pharaon...
Soyez à nouveau un héros dans : « Lulu a disparu » et « Panique au cirque ».
Tandis que la péniche est immobilisée par les glaces, Abel invente des histoires avec ses marionnettes. Le temps passe...
Un jour, Abel rencontre Alys, une jolie terrienne. Et pour elle, il invente l'histoire d'un jeune marin amoureux de la princesse de Neige. Amour contrarié car la vie d'un marin est sur mer. L'histoire finie, la péniche peut repartir. Abel et Alys doivent se quitter.
En annexe de cet album, un petit dossier vous en dit plus long sur les péniches et la vie des mariniers.
Depuis que la maîtresse lui a reproché de poser des questions absurdes et perturbantes pour la classe, Wendy a décidé de ne plus ouvrir la bouche. Pendant plus d’une semaine, elle a réussi à garder ses questions pour elle. Mais jeudi, à la fin de la leçon de sciences, Wendy ne pouvait plus retenir les mots qui se bousculaient dans sa tête. Elle a levé la main et demandé d’une voix claire :
– Est-ce que les fleurs sont des soupirs ? Madame Laroumette a regardé le plafond, l’air ahuri et furieux, et s’est exclamée :
– Alors là , c’est la question qui tue !
Le lendemain, la maîtresse était morte.















