Thème « bande dessinée »
Monsieur Blaireau vit seul avec ses enfants tandis que madame Renarde vit seule avec sa fille Roussette.
Mais un jour, des hommes la chassent de chez elle. Où se réfugier ? Le terrier de la famille Blaireau est assez vaste pour tous.
Mais les renards et les blaireaux sont-ils faits pour vivre ensemble ?
Voilà un mois que monsieur Blaireau et madame Renarde font terrier commun (voir le tome 1, La rencontre). Et un mois que leurs enfants, Roussette, la jeune renarde, Carcajou, Glouton et Cassis, les petits blaireaux, apprennent à vivre comme des frères et soeurs… ce qui n’est pas simple tous les jours ! Pas besoin d’apprendre à se disputer, ça vient tout seul, mais il est parfois plus difficile de se réconcilier !
Sans compter que les enfants ne cessent de se poser des questions sur cette nouvelle vie :
Madame Renarde remplace-t-elle vraiment la maman des enfants Blaireau ?
Le très sérieux monsieur Blaireau est-il aussi le père de Roussette ?
Ne serait-il pas beaucoup plus amusant pour Roussette de vivre avec son vrai père, qui « habite partout et nulle part » ?
Hum ! Pas facile à dire… Heureusement, la forêt offre des milliers de jeux et de cachettes, mais aussi, parfois, de mauvaises rencontres !
Monsieur Blaireau et Madame Renarde est traduit en huit langues.
Depuis que sa maman s’est mise en ménage avec Edmond Blaireau, Roussette, la petite renarde, vit avec ses « presque frères », Glouton et Carcajou, les enfants d’Edmond. Ce qui n’est pas simple tous les jours.
D’autant que Roussette fourmille d’idées ! « Je veux construire un bateau. Vous voulez m’aider ? » Un bateau ! Génial ! Tout le monde est d’accord sauf que… Roussette veut construire un catamaran, Carcajou un kayak et Glouton un radeau avec ses amies la loutre et la martre !
– Un voilier ! Mais c’est idiot ! s’écrie Carcajou.
– Tu veux toujours être le chef ! grogne Roussette.
– Moi, je reste avec mes copines, fait Glouton.
Eh bien, puisque c’est comme ça, à chacun son bateau ! Et on verra bien qui est le meilleur !
Le jour de la régate arrive. Le rivière est calme, le vent porteur mais… on ne s’improvise pas si facilement marin. Même si ce n’est que marin d’eau douce !
Avec son nez de clown tout rond, son pyjama tout blanc et ses cheveux ébouriffés, Myrmidon est un petit garçon solitaire et rêveur, mais surtout plein d’imagination.
À peine a-t-il découvert un costume de cow-boy bizarrement suspendu aux branches d’un arbre qu’il l’endosse.
Mais on ne se déguise pas impunément en cow-boy. Le voilà soudain transporté en plein Far West, attaqué par de vrais (?) Indiens. Les flèches pleuvent, pas un refuge à l’horizon… Comment échapper à ses ennemis ?
Heureusement, un cheval jaillit de la page et l’emporte à travers la prairie dans un galop effréné. La poursuite s’engage. Les Indiens sont bien décidés à ne pas lâcher leur proie, mais Myrmidon a plus d’un tour dans son sac et une imagination (très) fertile.
Tout se terminera bien pour ce petit rêveur, proche cousin du Little Nemo de Windsor McCay qui, chaque matin, se réveille dans son lit, encore tout bouleversé de ses aventures imaginaires de la nuit.
Pas une journée ne passe sans que Nathalie ne s’imagine ailleurs. Elle explore les confins de la Laponie, s’enfonce au coeur de l’Amazonie, traverse le bush australien, plonge dans la fosse des Mariannes ou part à la conquête de l’Aconcagua…
Ses héros s’appellent Magellan, Marco Polo, Christophe Colomb ou Paul-Émile Victor…
Son livre préféré est un atlas et son objet fétiche, un sac à dos…
Bref, Nathalie n’a qu’une idée en tête : voyager ! Partir ! Loin, très loin de ses parents « sans imagination » et de son petit frère, là où, enfin seule et indépendante, l’exploratrice qui sommeille en elle pourra goûter aux joies et aux frissons de l’aventure.
Courageuse, tenace, intrépide… Oui, bien sûr, Nathalie est tout cela. Mais elle doit l’être plus encore pour affronter – avec humour – le retour à la réalité !
Barnabé est un ours pas comme les autres : il a toujours une ruse, un truc, une astuce inattendue pour venir à bout des petits tracas du quotidien. Flanqué de son ami le lapin, il regorge de bonnes idées surprenantes pour venir en aide au premier venu.
Attraper une poire tout en haut d’une branche alors que le rocher n’est pas assez haut pour servir de tabouret ? Facile ! Barnabé brise le rocher, et empile les gravas pour se construire un marchepied de fortune.
Comment retrouver son chemin en pleine cambrousse ? En semant des aimants et en s’armant ensuite d’une boussole, bien sûr !
Dans une série de 46 gags d’une planche chacun, quelle que soit la situation – cocasse, compliquée, insolite –, Barnabé a vraiment réponse à tout !
Voilà plus d’un siècle que le grand marronnier trône au beau milieu de la cour de l’école… du Grand Marronnier. Il en est le symbole. Les enfants du quartier jouent à son pied comme le faisaient leurs parents, et la vieille madame Risette, qui sera bientôt centenaire, y a gravé son nom.
Et pourtant… Le jour où une énorme branche tombe en manquant de peu un enseignant, les experts sont formels : l’arbre est malade, rongé par des champignons qui le fragilisent. Il faut l’abattre.
La mobilisation des enfants et des parents n’y changera rien : sécurité d’abord ! La mort dans l’âme, tous assistent à la fin du grand marronnier, abattu par un élagueur.
La fin ?… Pas sûr ! « Lorsque tout semble perdu, il reste encore quelque chose à faire », assure madame Risette. Le grand marronnier pourrait-il connaître une seconde vie ?
Papa et maman, Jules, Sandra, Lucien, Josette, Margot, Émile… Voilà ce qu’on appelle une famille nombreuse.
Et ce n’est pas tout ! Maman est enceinte de « Bubulle », le (ou la) petit(e) septième, sans compter qu’à sa façon Sac à Puces, un chien malin et clandestin dont maman ne veut plus entendre parler, fait partie de la maisonnée.
Le quotidien se passe dans une joyeuse pagaille, entre l’école, les activités des uns et des autres, les paris sur le sexe du bébé, le Journal de bord des neuf mois dans le ventre de maman que Margot écrit en cachette et les discrètes tentatives de Sac à Puces pour revenir. Alors que la naissance approche, papa décide d’emmener toute sa marmaille au concert de Melody Mélasse, la nouvelle star de la chanson.
Toute sa marmaille ? Pas tout à fait ! Accusée d’avoir fait rentrer Sac à Puces dans la maison, Margot est privée de concert. Et si Bubulle décidait d’arriver plus tôt que prévu ?
Londres, un 24 décembre 18…
Toute la ville s’apprête à fêter Noël… sauf Ebenezer Scrooge, un prêteur sur gages connu pour son avarice et son coeur de pierre. Le vieil homme tyrannise Bob, son employé, méprise son neveu et ignore la misère qui l’environne.
Mais pour Scrooge, cette nuit de Noël ne ressemblera à aucune autre. Le fantôme de Marley, son ancien associé mort sept ans plus tôt, vient le visiter. Condamné à errer jusqu’à la fin des temps pour expier son avarice et sa dureté de coeur, Marley le prévient :
– Si tu continues comme ça, Ebenezer, c’est aussi l’enfer qui t’attend !
Scrooge et le fantôme de Marley vont alors passer cette nuit de Noël à errer dans la ville, ils vont se replonger dans le passé d’Ebenezer et se projeter dans les années à venir. Effaré, Scrooge réalise que, s’il n’aime personne, personne ne l’aime non plus et que nul ne le regrettera.
À son réveil, Scrooge ne sait plus s’il a ou non rêvé. Ce qu’il sait en revanche, c’est qu’il doit changer de vie ! Et vite !
Aujourd’hui, c’est jour de marché. Fruits colorés, légumes, poissons, confiseries… Tom ne sait plus où donner de la tête, tant il y a de choses à voir ! Mais Tom n’a d’yeux que pour un petit oiseau au plumage violet, enfermé dans une cage et que vend un vieux monsieur.
Après quelques supplications auprès de son papa, Tom devient l’heureux propriétaire de l’oiseau ! Et il s’en occupe mieux que personne : dans sa chambre, l’oiseau est roi ! Tom le nourrit, lui parle, lui fait découvrir ses jouets, et le sort même de sa cage de temps en temps. Mais voilà que, petit à petit, l’oiseau semble dépérir : il refuse de se nourrir, perd ses plumes, plus aucun jeu ne l’amuse…
C’est alors que l’oiseau raconte à Tom l’époque heureuse où il vivait avec sa famille, dans la nature, libre de ses mouvements et sans barreaux autour de lui. Tom sait bien que tout l’amour du monde ne pourra rendre la joie de vivre à son ami, alors il va prendre une grande décision…
Un matin comme les autres, quelque part au fond de l’Australie. Toto l’ornithorynque s’apprête à prendre son petit déjeuner lorsque… Horreur ! Il s’aperçoit que la rivière est à sec. Or la rivière, c’est toute la vie de Toto : sa maison est bâtie au beau milieu du courant, il s’y baigne, y pêche les vers dont il raffole… Que va-t-il devenir ? Que s’est-il passé ? Accompagné de Wawa le koala, il décide de remonter la rivière pour tenter d’élucider ce mystère. Mais plus les deux amis s’enfoncent dans la forêt, plus le silence se fait angoissant. Les animaux semblent terrifiés et, partout où ils passent, Toto et Wawa croisent les traces d’une redoutable bête « avec de grandes dents et des yeux brillants ». Serait-elle aussi responsable de l’assèchement de la rivière ? « J’ai quelque chose qui peut vous aider » leur murmure alors le vieux wombat qui vit au pied de l’arbre magique.
La journée s’annonce belle au coeur de la forêt australienne.
Comme d’habitude, Toto l’ornithorynque et ses copains attendent que la jolie Fafa, une séduisante écureuil volant, ait terminé sa toilette pour partir faire ensemble leurs provisions lorsque… un terrible cri de douleur les fige sur place. Ils battent les buissons et finissent par découvrir un gentil « bandicoot » qui vient de se casser la patte.
Or tous le savent, un animal blessé ne survit pas longtemps en pleine forêt.
Une seule solution : prévenir d’urgence le seul médecin de la forêt, un gros lézard plutôt bizarre. Toto et ses copains n’en mènent pas large lorsqu’ils arrivent dans la grotte du médecin. Mais quand celui-ci leur annonce qu’il lui faut absolument deux cheveux de « bunyip » pour préparer un remède, l’expédition devient terrifiante.
La réputation du bunyip n’est plus à faire : cet horrible monstre dévore tout ce qui passe à sa portée !
Tout est calme. Un chat guette une souris. Un pêcheur pêche. Un garçon se promène, une grand-mère aussi. Deux lions de pierre font semblant de dormir. Mais soudain passe une jolie patineuse... et c'est le coup de foudre. Alors le monde devient fou. Oui, quand des amoureux se rencontrent, il peut arriver qu'un lion de pierre bondisse de son socle pour les dévorer et qu'une vieille dame donne des coups de parapluie pour les défendre !
Dans la sixième de Raph, tout le monde est très cool, on s’habille classe, et les garçons jouent à la balle contre le mur pendant que les filles les encouragent. La sixième, en soi, c’est bien. Mais en cinquième, ça se corse. Car, si on peut tomber éperdument amoureux à la maternelle, vivre une histoire d’amour sérieuse en CP, avoir un flirt en CM1 et rêver de boys band en sixième, en cinquième, c’est différent, tout le monde vous le dira. Ce n’est pas forcément mieux ni moins bien, mais il se passe des choses… et certaines demandent du courage et de la stratégie.
Flanqué de Robert, son homme à tout faire et souffre douleur, le très riche John McMac est un avare sans scrupule à la recherche de trois pièces d’or. H. Deuzio, un robot un peu naïf qui ne sait ni vraiment qui il est ni où il doit aller, dérive à bord d’une barque dont il ne parvient pas à sortir… Quant à Roselita, elle doit absolument trouver le maître des nuages : son nuage à pain qui la nourrit chaque matin a soudain décidé de ne lui donner que des cailloux pour toute pitance ! Voilà le début d’une histoire peu ordinaire ! Trois groupes de personnages et trois aventures qui semblent n’avoir rien en commun… et pourtant leurs chemins singuliers vont bel et bien se croiser, au sens propre comme au figuré, pour le meilleur et pour le pire. Situations cocasses garanties !
Un marin découvre un homme-poisson échoué sur le rivage.
Un petit poulpe froussard tente de retrouver sa mère.
Un scaphandrier explore les fonds marins.
Sur la mer comme sous la mer, les chemins des uns et des autres vont se croiser et se recroiser.
Le jeune poulpe déniche un trésor qui pourrait bien intéresser le scaphandrier. Le marin se découvre capable de respirer sous l’eau. Le scaphandrier sauve le petit poulpe des dents d’un requin… et le petit poulpe le libère à son tour des tentacules de sa maman.
Quant à l’homme-poisson, il n’est autre que le gardien de la cité d’Atlantis, venu annoncer au petit poulpe que sa maman va mourir et qu’il a été choisi pour la remplacer. Il va devenir l’être le plus puissant de l’océan… Ce qui l’inquiète beaucoup : est-il possible d’être à la fois puissant, peureux et gentil ?
Cette BD hors du commun se lit aussi bien de gauche à droite que de haut en bas !