Thème « bande dessinée »
Les jumeaux doivent passer leurs vacances chez leur grand-père. Au programme : jeux vidéo et construction d’une cabane dans le jardin. Mais à peine sont-ils arrivés qu’ils découvrent qu’ils ont oublié leur console à la maison, sans parler de l’orage qui les empêche de jouer dehors. Les vacances commencent mal ! Que faire ?…
Heureusement, le grand-père a plus d’un tour dans son sac. Non seulement, il semble tout connaître de l’histoire de France, mais en plus, il a un vrai talent de conteur.
De l’homme de Tautavel à la grotte de Lascaux, et des alignements de Carnac au vase de Vix en passant par la bataille d’Alesia, Papi est intarissable…
Et d’autant plus passionnant qu’il assaisonne ses histoires d’anecdotes savoureuses et de bons petits plats, toujours en relation avec ce qu’il raconte, bien sûr !
Cet album est le premier d’une série de six qui couvrira l’ensemble de l’histoire de France jusqu’à nos jours.
Quelle époque ! En l’espace de quelques dizaines d’années, Gutenberg invente l’imprimerie, Christophe Colomb découvre les Indes, Léonard de Vinci peint La Joconde, Jacques Cartier débarque dans ce qui ne s’appelle pas encore le Canada, François Ier ordonne que tous les actes officiels soient désormais écrits en français, et Copernic affirme que la Terre n’est pas au centre de l’univers… Qu’il s’agisse d’art, de science, de littérature ou de voyages, peu de périodes historiques ont été aussi riches et foisonnantes que la Renaissance. Quant à l’histoire de France, racontée à ses petits-enfants jumeaux par un grand-père barbu, drôle et érudit, jamais elle n’aura été aussi passionnante.
Mêlant humour et exactitude historique, anecdotes savoureuses et moments clés de notre histoire, ce quatrième tome de L’Histoire de France en BD entraîne ses lecteurs jusqu’à la veille de la Révolution, alors que le catastrophique hiver 1788-1789 et les inégalités croissantes exacerbent le mécontentement du peuple.
Vercingétorix ? Un fier moustachu qui, en son temps, a bataillé ferme contre l’envahisseur romain. C’est bien connu. Mais que sait-on de lui ?
En 58 avant J.-C., Jules César envahit le nord de la Gaule. Certains chefs gaulois le rejoignent, dont un certain… Vercingétorix.
Pendant six ans, la guerre fait rage. D’un côté, l’armée romaine, ultra-disciplinée, de l’autre les troupes gauloises, très désorganisées : les Romains volent de victoire en victoire. Mais en 52 avant J.-C., les Gaulois nomment à leur tête un ancien allié des romains : Vercingétorix ! En quelques mois, le jeune chef s’impose et réorganise les armées gauloises.
De la victoire (gauloise !) de Gergovie à la défaite (également gauloise !) d’Alésia, Dominique Joly et Bruno Heitz racontent l’histoire de ce jeune homme dont le nom a traversé les siècles.
Y a-t-il une meilleure façon de présenter l’Histoire que de la raconter… comme une histoire ? Certainement pas. Le grand-père barbu et érudit de cette histoire de France pas comme les autres l’a bien compris : il tient ses jumeaux de petits-enfants en haleine en pimentant la stricte vérité historique d’anecdotes savoureuses, d’une solide dose d’humour et de bons petits plats mitonnés à la façon de nos ancêtres gallo-romains… ou presque. En une quarantaine de pages, les jumeaux vont ainsi découvrir mille ans d’histoire : la Gaule romaine, les premiers pas du christianisme, les invasions barbares, la naissance de l’Islam et l’Empire carolingien. Ils vont faire la connaissance du redoutable Attila, celle de Clovis, de Pépin le Bref, du grand Charlemagne ou encore des Vikings… Cet album est le second d’une série de six qui couvrira l’ensemble de l’histoire de France jusqu’à nos jours.
Zoreilles ?… C’est le chien d’Adrien. Ressort ?… C’est le chat d’Adeline, et Galipette, c’est le hamster d’Antoine.
Mais Hyper ?… Hyper, c’est l’ami d’Arthur. Hyper est très gros, mais il sait aussi être très discret. Il est très lourd, mais personne ne nage aussi légèrement que lui. Il est terriblement fort, mais il sait se faire aimer de tout le monde. Il n’a que quatre dents, mais il adore les algues au chocolat.
Au début, bien sûr, tout le monde avait un peu peur de sa grosse voix, mais aujourd’hui, tout le monde veut être son copain, même les filles.
Certains soirs, Hyper est un peu triste, il aimerait bien retourner là -bas, dans son pays, en Afrique. Mais il ne partirait pas longtemps, c’est juré ! Il reviendrait vite voir son ami Arthur, qui a tant besoin de lui. Parce que, depuis qu’Hyper dort tout à côté de lui, Arthur n’a plus jamais peur du noir ni des cauchemars !
Le domaine de Skippy, notre chat, c’est le jardin. Dès qu’on l’enferme, il devient fou furieux, prêt à tout casser pour retrouver sa liberté chérie. Une fois dehors, Skippy chasse les oiseaux et les écureuils, mais on l’aime quand même. Chaque année, au printemps, il disparaît. Pendant des jours et des jours, on ne le voit plus. Et quand il revient enfin, il est dans un état lamentable. Blessé et griffé, comme s’il avait passé tout ce temps à se battre.
– Ne vous en faites pas pour moi, les enfants. C’est ma vie. Vous comprendrez plus tard. Une vraie vie de chat…
N’empêche que chaque année, je m’inquiète. Et s’il lui arrivait malheur…
– Il revient toujours, assure ma soeur. Mais une année, Skippy n’est pas revenu. Parfois, il me semble encore l’entendre dans le grand arbre, devant la maison : « La liberté, petit. N’oublie pas, rien ne vaut la liberté. »
Le lapin savant n’a qu’une passion : chercher, essayer et expérimenter sans relâche, pour inventer quelque chose de vraiment époustouflant. Son rêve s’accomplit lorsque l’étrange carotte-fusée qu’il a conçue s’envole dans le ciel, et explose en milliers d’étoiles colorées. Aussitôt, c’est la folie : tout le monde veut cette carotte merveilleuse ! Notre lapin devient une vraie vedette, se voyant proposer invitations, contrats juteux et autres sollicitations. C’est trop tentant pour le savant ! En deux temps, trois mouvements, la carotte aux étoiles est commercialisée. Les publicités se multiplient, la production s’emballe, les millions affluent… et on fait comprendre bien vite à notre lapin qu’il n’est désormais plus le bienvenu !
Le succès de la fameuse carotte est tel que même le Roi-Soleil en veut une pour lui : une carotte géante encore plus puissante ! Voilà peut-être l’occasion pour notre lapin de se remettre en selle ?
Mais il ne fait pas bon confier ses rêves à n’importe qui, et le savant va l’apprendre à ses dépens…
À la campagne, il y a Pépé et Mémé. Avec Mémé, c’est super. On va au jardin, on donne à manger aux poules, on ramasse leurs oeufs et, le soir, on joue aux cartes pendant que Pépé s’endort devant la télé. Avec Pépé, c’est autre chose. Pas facile de savoir s’il est en colère ou content. Maman dit qu’il est comme un ours : il râle et il ronchonne, mais en vrai, il n’est pas méchant, il est tout doux. Comme un grand ours… Avec Pépé, on va aussi à la pêche, et il arrive même qu’il fasse des bêtises qui mettent Mémé (un peu) en colère. Finalement, Pépé est un super-Pépé !
La petite famille est la chronique tendre et pleine d’émotion de la relation privilégiée entre grands-parents et petits-enfants. Les trois tomes de la série s’attachent à décrire un quotidien fait de minuscules aventures et de moments partagés qui, quoi qu’il arrive, et même au-delà de la disparition de ceux qu’on aime, permettent aux enfants de grandir et de « se bâtir ».
Aujourd’hui tout le monde est là : Pépé et Mémé, bien sûr, mais aussi Papa, Maman, ma petite soeur… et Tonton. Lui, je l’adore, surtout lorsqu’il propose de faire une partie de foot dans le jardin.
– Attention à mes tomates ! grogne Pépé.
– Eh bien, biquet, répond tonton avec un large sourire, on a oublié ses heures de gloire ?
Moi, je n’y comprends rien. De quoi tonton parle-t-il ? Et surtout, pourquoi appelle-t-il Pépé « biquet » ? Alors Pépé est allé chercher un vieux film dans lequel on le voit jouer au foot quand il était jeune. Tout jeune, sans même un cheveu blanc. Il courait si vite que tout le monde l’appelait « Biquet ». Les pépés aussi ont été jeunes, je n’y avais jamais vraiment réfléchi ! Dans la foulée, on a fait une partie de foot avec lui. Pépé courait beaucoup moins vite que dans le film. Mais peut-être un peu trop vite quand même… Dans la nuit, les pompiers l’ont emmené à l’hôpital. Je me demande si c’est à cause de la partie de foot. À cause de moi ? Mémé dit juste que c’est à cause du coeur de Pépé.
La petite famille est la chronique tendre et pleine d’émotion de la relation privilégiée entre grands-parents et petits-enfants.
Les trois tomes de la série s’attachent à décrire un quotidien fait de minuscules aventures et de moments partagés qui, quoi qu’il arrive, et même au-delà de la disparition de ceux qu’on aime, permettent aux enfants de grandir et de « se bâtir ».
C’est l’été, c’est les vacances. On part très tôt, bien avant qu’il fasse jour. Tata habite loin, tout là -bas, au bord de la mer, parce que le métier de son amoureux, c’est de fabriquer des huîtres. La mer, j’aime bien. Il y a du sable, du soleil, des vagues, des crabes… La seule chose que je n’aime pas, ce sont les huîtres ! Mais les parents, eux, ils adorent. Justement, ils étaient en train d’en manger quand le téléphone de maman a sonné. Rien qu’à sa voix, j’ai tout de suite compris qu’il se passait quelque chose de bizarre. Elle a demandé à Tata de nous emmener faire un tour, et quand elle nous a rejoints sur la plage, elle avait les yeux tout rouges. Elle nous a expliqué que le coeur de Pépé s’était arrêté et que les médecins ne pouvaient plus le redémarrer. Moi, je ne veux pas que Pépé il soit mort. J’avais encore plein de choses à lui dire.
Le héros de cette bande dessinée, c'est le lecteur. À lui de résoudre le mystère des vols commis au Louvre et de découvrir le secret du pharaon...
Soyez à nouveau un héros dans : « Lulu a disparu » et « Panique au cirque ».
C'est trop bien les grandes vacances ! Quand Vindru et Marie-Pierre passent l'été au bord de la mer, ils trouvent toujours quelque chose à faire. Un jour, ils ramassent des bricoles dans le jardin, un autre, ils construisent une cabane avec plein de petits trous de lumière. Ils lèchent un poteau qui a un goût de menthe, inventent quantité de mots et nagent un 4 fois 100 mètres sur le carrelage de la cuisine. Avec Vindru et Marie-Pierre, la vie est extraordinaire... le matin, le soir et le midi. Et le lendemain aussi !
Fourbe, menteur, rusé, cruel… Renart (oui ! Avec un « t » !) est tout cela à la fois, et parfois pire encore. Le « roux » ne recule devant rien pour arriver à ses fins, et ne redoute ni hommes ni bêtes. Même les plus puissantes.
C’est bien entendu son vieux souffre-douleur, le loup Ysengrin, qui en fera les frais. Trop crédule (ou trop bête ?), il se retrouve prisonnier au fond du puits d’une abbaye par une glaciale nuit d’hiver. Les moines ne le tireront de ce mauvais pas qu’au petit jour… non sans l’avoir copieusement rossé de coups de bâton.
Et ce n’est rien à côté de la dramatique mésaventure du malheureux Drouineau. Sous prétexte de les guérir, Renart se délectera de ses neuf enfants presque sous ses yeux ! Et qu’importe la taille de l’adversaire puisque même Brun, l’ours dont tous redoutent la férocité, se fait piéger par maître Renart !
Mais cette fois, c’en est trop. Les animaux de la forêt décident d’aller se plaindre auprès du roi en personne. Cela suffira-t-il à amadouer Renart ? Rien n’est moins sûr.
C’est bien connu, Maître Renart (oui, avec un « t » !) est un malin, prêt à tout pour nourrir sa petite famille. Il trompe, vole, pille et ment avec un naturel extraordinaire, mais ce qu’il préfère, c’est encore de s’en prendre à son oncle le loup, autrement dit cet imbécile d’Ysengrin, « la plus bête des bêtes de ces bois » !
C’est ainsi que, sur les conseils de Renart, ce pauvre loup va perdre sa queue, se faire battre par des paysans, ou se faire voler ses jambons…
« Mon neveu serait-il un félon trompeur ? » s’interroge-t-il, pas très certain cependant de la réponse.
Voilà huit cents ans que les farces de Maître Renart font rire les uns aux dépens des autres… Pour le plus grand plaisir de ses admirateurs !
Mais attention ! Renart ne sort pas gagnant à tous les coups ! Il lui arrive de tomber sur plus malin que lui et de revenir de ses aventures le ventre vide !
Sous la direction de Corboss, le tyrannique metteur en scène, Corbelle et Corbillo répètent Azalée, fleur des îles, une célèbre pièce de théâtre. Corbillo y joue le rôle du Pirate noir tandis que Corbelle endosse celui d’Azalée, l’héroïne de la pièce.
Tout irait pour le mieux s’il n’y avait cette scène d’amour entre Corbelle et Corbek, le grand rival de Corbillo sur scène comme dans la vie. Ils s’embrassent, s’adressent des déclarations enflammées…
Jaloux jusqu’au bout des plumes, Corbillo ne supporte pas de voir sa belle dans les bras d’un autre. Quant au metteur en scène, il compte bien sur cette rivalité pour faire de sa pièce un succès. Vient le jour de la première. Les spectateurs affluent, le rideau va s’ouvrir… et personne ne sait où est passé Corbillo !
Le « Pirate noir » ne surgira qu’au tout dernier moment, pour improviser avec Corbelle une imprévue mais bouleversante scène d’amour.
Il était une fois, dans la belle ville de Cirinte, une petite boutique dans laquelle vivait un petit tailleur.
Or, un jour, ce petit tailleur tua sept mouches d’un coup. Parfaitement ! Sept d’un coup ! C’est à peine croyable !
Aucun doute, se dit-il, je suis un fameux gaillard ! Il faut que la ville entière l’apprenne. Ou mieux encore… Que le monde entier le sache ! C’est un minimum.
Très fier de lui, le petit tailleur se tailla aussitôt une ceinture sur laquelle on pouvait lire : « J’en ai tué sept d’un coup. »
Et il partit à l’aventure. Mais l’aventure, c’est risqué ! On y croise de terribles géants, des rois fourbes, des sangliers féroces, des ogres affamés, de redoutables licornes et même de jolies princesses…
Pas de quoi impressionner un vaillant petit tailleur qui répète à qui veut l’entendre : « Sept d’un coup ! Voilà ma devise. »