Thème « aventure et policier »
Charles Passavant est plus doué pour le tennis que pour les études. A la suite d'un malheur familial, son père le retire du lycée et l'envoie faire un "stage d'entreprise" dans une île lointaine. Pas de chance, sitôt commencé le stage prend fin pour cause de troubles politiques locaux. Voilà le jeune homme oisif, livré à lui-même en attendant son retour à Paris. Promenades, bains de mer, pêche, siestes : les vacances forcées seraient supportables sans l'entrée en scène de personnages aux allures plus ou moins policières, qui posent beaucoup de questions et tiennent des propos bizarres. Que cherchent-ils au juste? Et qu'est devenu l'ami Thomas, qui a disparu dans l'île et ne reparaît pas? Un malaise s'installe. Le séjour balnéaire prend un tour déplaisant. Des mystères s'épaississent, puis se dissipent, occasionnant quelques petites surprises, bonnes et mauvaises. Pour finir, il y aura même UNE grande surprise - d'un genre particulier, celle-là.
Le trésor de la Valle de la Luna. Depuis que Paco, un gamin des rues, a mis la main sur une carte, la chasse au trésor est ouverte. L'or aiderait Chad et Eon, les deux hors-la-loi qui ont recueilli l'enfant à refaire leur vie. Il permettrait à Naja la petite indienne de se mettre à l'abri. Mais ce qu'ils cherchent pourrait aussi les conduire à leur perte.
Morgane est la seule à voir les ombres. Dès qu'elle est seule dans les couloirs du lycée, elles apparaissent sur les murs. Ces temps-ci, elles se font de plus en plus menaçantes. Un jour, le pire se produit. Pourtant ce n'est que le commencement. Les phénomènes étranges s'accumulent. Le concierge de l'établissement passe ses journées à remplacer les ampoules électriques dans les couloirs et les escaliers, mais il y fait toujours noir. Les accidents se multiplient. Un professeur meurt brutalement. C'est aussi le moment que Camilia et ses amis ont choisi pour créer un club secret dont le but est de se réunir la nuit, dans le grenier au-dessus des dortoirs...
On les appelle E.M.I., « expériences de mort imminente ». Ceux qui ont vécu ces états entre la vie et la mort sont des expérienceurs. Ils racontent tous la même chose quand ils reviennent : qu'ils ont revu défiler toute leur vie en un instant. Rencontré des proches disparus, des inconnus lumineux et bienveillants, des anges peut-être. Disent-ils, à leur façon, une vérité indicible ? Ou ne sont-ils que la proie d'hallucinations dues à la kétamine, la fameuse kéta des ravers, un anesthésique puissant qui procure des visions psychédéliques et l'illusion de planer ? Théo a perdu sa femme chérie, Lucie, dans un accident de parapente il y a dix mois. On n'a jamais retrouvé le corps. Théo se sent veillé, guetté, guidé. Une présence indescriptible dépose un livre sur les E.M.I. dans son bureau, le conduit jusqu'à une tombe, lui inspire des pensées folles. Le livre a été écrit par le professeur Delmotte, un ancien « french doctor » des champs de bataille d'Afghanistan, devenu directeur d'une clinique à Digne-les-Bains, tout près de la Bléone, la rivière où le corps de Lucie a disparu. Un endroit où Théo s'est juré de ne jamais remettre les pieds. Mais si c'était elle ? Et si c'était vrai ?
Monsieur N. n'avait pas été un criminel toute sa vie. La preuve, il avait déjà neuf ans quand il tua pour la première fois. Bien entendu, à cette époque, il n'était pas encore monsieur N.. Il était Léo, petit garçon qui passait ses vacances chez Mémé et Pépé.... Et puis, vingt ans plus tard, le voici, rôdant autour de la maison de la famille Mintz. Les parents sont sortis, les enfants font du pop-corn, Odette voudrait aller chercher un sapin au cimetière, elle craint que le Père Noël ne les oublie. Monsieur N. ne les oublie pas, lui. Il a déjà tué son chien Thor, il a mis un manteau rouge, il se prépare.
Un roman haletant, tendu, mais plein d'humour aussi. Un thriller de Noël, qui ne vous lâche pas.
Si toutes les oeuvres du XVIe siècle avaient disparu, sauf celle de Rabelais, quelle idée aurions-nous de la Renaissance ? Celle d'un « éclat de rire énorme », sans doute, comme le disait Hugo... Plongez-vous dans ces pages, vous y ferez connaissance avec les géants les plus drôles de la littérature française ; laissez-vous emporter dans leurs aventures les plus farfelues, riez, buvez, banquetez ! C'est ce que voulait Rabelais quand il entreprit d'écrire les « faits et prouesses épouvantables » de Pantagruel, roi des Dipsodes.
Vous trouverez ici l'ensemble des romans de Rabelais, de « Gargantua » au « Cinquième livre », abrégés et transcrits en français moderne : vous accompagnerez Gargantua dans les guerres Picrocholines, rencontrerez l'étonnant Frère Jean des Entommeures et son crucifix efficace, pénétrerez dans l'abbaye de Thélème, et suivrez les pérégrinations de Pantagruel et de son illustre ami Panurge le roublard, des guerres contre les Dipsodes jusqu'au mystérieux oracle de la Dive Bouteille.
Morgan’s Moore, au nord de l’Angleterre. Ses villageois, ses notables, son unique auberge et ses crimes épouvantables… Un crime non élucidé reste à ce point mystérieux que Scotland Yard a dépêché sur place le superintendant Tanyblwch et son jeune adjoint, Pitchum Daybright, tout juste diplômé de la Royal School of Studies in Criminology. Ce dernier voit d’un mauvais œil les interventions de Flannery, la fille des aubergistes, qui est convaincue de pouvoir les aider dans leur enquête. Non seulement, Miss-Je-sais-Tout-sur-Tout a la langue bien pendue, mais elle a le chic pour lui faire monter le rouge aux joues. Il faut dire que la demoiselle est une peste fort charmante…
Une fois encore, Mélie est seule dans la grande maison. Elle attend le retour de son père, médecin de garde aux urgences de l'hôpital un week-end par mois. Mélie déteste cette vieille maison qui craque, grince et gémit de partout. Elle a horreur d'être seule. Elle est fatiguée d'être grosse. Elle ne sait pas quoi faire d'autre, pour vaincre ses angoisses, que d'allumer à fond tout ce qui peut meubler son silence, la chaîne hi-fi, la télévision, la radio. Elle ne trouve rien de mieux, pour se vider la tête, que de se remplir le ventre avec un tas de cochonneries. Ensuite, elle dort mal en rêvant qu'elle est belle, mince et aventureuse, par exemple : Florence Arthaud. Et puis elle se réveille, seule, grosse et malheureuse, et tout recommence. Sauf ce matin-là. Ce matin, il y a un corps étendu dans l'herbe du jardin. Un inconnu. Quand elle s'approche, il souffle son prénom: Mélie. Alors, aventureuse, oui, ce matin, il va falloir que Mélie le soit pour de vrai.
« Je n’ai plus que quelques minutes d’électricité par jour et je ne pourrai certainement plus t’envoyer de nouvelles avant un certain temps, mais não se preocupe, Talia, tudo bem. Ne t’inquiète de rien. Tout va bien. » Talia a beau relire le dernier mail de sa mère pour se rassurer, le « certain temps » s’éternise. Cela fait déjà un mois et demi que « tout va bien », quarante-huit jours exactement que Juana ne lui a plus donné signe de vie. Quelle idée, aussi, de s’installer, seule, dans une baraque minable au coeur de la forêt amazonienne ! Lorsqu’elle a découvert qu’Itawapa était au centre d’un projet de forages pétroliers, sa mère a démissionné de son poste de professeur d’ethnologie pour voler au secours d’Último, le dernier survivant d’une tribu indienne décimée dans des circonstances mystérieuses. Est-il hostile ? Est-il amical ? Comment le savoir ? Personne n’a jamais réussi à le rencontrer. Talia est bien décidée à tout faire pour retrouver sa mère. Quitte à s’enfoncer dans 200 kilomètres carrés de forêt vierge, de marais et de terres inexplorées et pas forcément hospitalières…
Xavier-Laurent Petit a l’imagination vagabonde, un article, une photo peuvent l’entraîner au bout du monde. Cette fois, c’est un dossier de Courrier international consacré à l’Amazonie qui a déclenché sa « machine à écrire ». On y parlait de l’Índio do Buraco, seul et dernier survivant d’une tribu d’Indiens Arriedos, qui refusent tout contact avec notre civilisation. C’est à lui, qui sans doute n’en saura jamais rien, que Xavier- Laurent Petit a dédié ce livre.
Arielle Lefranc est nouvelle à l'École Saint-Charles, un pensionnat de jeunes filles installé dans un somptueux manoir XVIIIe, avec parc, rivière, arbres centenaires, uniformes bleu marine, traditions et extinction des feux à dix heures. Dès le premier jour, parce qu'elle est arrivée dans la R5 de sa mère mais a prétendu que son père dirigeait une grosse société, les autres l'ont rangée dans le clan des Parvenues. Il y a trois clans à Saint-Charles : Parvenues, Aristos, Intouchables. Le préclassement va de soi. Il est fonction du nom, de la fortune, de l'origine. Quant à l'admission définitive, c'est une autre affaire. Il s'agit de subir diverses épreuves comme la mort subite, la traversée du cimetière voisin à minuit pile... Ou encore d'inventer une blessure horrible à infliger à un membre d'un clan adverse. D'abord révoltée, puis intriguée, et enfin amusée et conquérante, Arielle décide de se distraire en enquêtant sur ce que les autres lui cachent. Mais la pire épreuve qu'elle va rencontrer au fond du parc, personne, ni l'Aristo la plus perverse, ni l'Intouchable la plus vengeresse, n'aurait pu en avoir l'idée...
Lord Terence Dunlevy est beau, riche, érudit et... claustromane : il éprouve un besoin maladif de vivre enfermé. Une maladie bien commode pour justifier l'égoïsme, le confort et la vanité de son existence. Aussi, le jour où son psychanalyste lui annonce qu'il est guéri, Lord Dunlevy se permet d'en douter. Mais ce même jour, l'un des vieux membres de son club lui fait cadeau de la maison dont il vient d'hériter dans le sud de la France - cette noble pratique est courante entre lords - et lui suggère d'y partir se changer les idées. Il accepte. Par défi. Le mas de la Gasparine est une immense bâtisse en pierre de taille qui donne sur un panorama splendide : l'enfer du claustromane. Les villageois appellent la demeure « la maison du pendu », puis se taisent. Quels terribles secrets recèle le mas de la Gasparine ? Pour l'apprendre, Lord Dunlevy devra abattre quelques murs, enfoncer quelques portes pas toutes ouvertes, briser quelques résistances ainsi que la glace entre lui et une jolie provençale nommée Adrienne...
Seul le kwak peut gagner la course au kwak, c'est inscrit en toutes lettres dans le règlement. Pourtant, chaque année, plusieurs concurrents nagent avec vigueur à sa poursuite dans l'espoir d'arriver avant lui. Un seul d'entre eux est parvenu à le devancer et à remporter cette course : un certain Alfons Tchop. On n'en a pas parlé à la télévision ou ailleurs parce que ça n'intéresse personne, mais la police a ouvert un dossier sur l'affaire. Et Lili Nebraska a confié l'enquête à Bobby Potemkine, chargé des affaires bizarres. Bobby a essayé de se défiler, mais la jolie chauve-soubise l'a convaincu que ce n'était pas le moment de lui faire faux bond. En ville, les gens disparaissent, ceux qui restent perdent la mémoire, les champignons se croient tout permis et les météores tombent, provoquent des incendies. Même Bobby Potemkine a la mémoire qui flanche. Pas facile d'enquêter dans ces conditions...
Ils ne sont plus que trois. Petit, le minot, Grand, avec sa jambe blessée, et la jument, Captain Wynn. Ils ont réussi à fuir quand La Vipère à la Winchester a tiré sur le vieux Fillmore et mis le feu à la grange. Tous les autres gosses du refuge sont morts dans l'incendie. Tous ? Petit et Grand savent ce qu'ils ont à faire. Foncer vers l'Ouest et trouver la Veuve Edmée, la patronne de saloon qui pourra les aider à identifier La Vipère. Ils avancent, liés par une force immense, portés par la rage et la soif de vengeance.
Christophe Colomb se considérait d'abord comme un missionnaire, un croisé. Son ambition: répandre la parole divine et amasser suffisamment d'or pour financer la reconquête de la Terre sainte. Dès le début des années 1480, il a l'idée d'atteindre les " Indes " par l'ouest, en traversant l'Atlantique. Cette erreur, on le sait, le mettra en présence des "Indiens" d'Amérique, et non du Grand Khan, empereur de Chine... Pour la comprendre, il faut se rappeler que, en cette fin de Moyen Âge, le monde est conçu comme un bloc de trois continents - l'Europe, l'Afrique et l'Asie - cernant la Méditerranée et entouré par une seule et unique mer. Colomb estime que, après une traversée de quelques jours, il abordera ces contrées décrites par Marco Polo, où abondent l'or et les épices... Le 3 août 1492, ayant obtenu le mandat des souverains d'Espagne, il part avec deux caravelles, la Pinta et la Nina, et une nef, la Santa Maria: ce sera le premier de quatre longs voyages...
Chap n’a pas cherché à se faire passer pour un autre, il a simplement laissé faire…
Dans ce foyer d’urgence pour jeunes paumés où il refusait obstinément de donner son nom, les gens du centre sont venus le voir avec une photo, celle d’un ado porté disparu qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Chap a fini par dire ce que les autres attendaient, que c’était bien lui Cassiel Roadnight ! Et puis tout s’est enchaîné, la soeur de Cassiel est venue le chercher pour le ramener chez lui, dans sa maison, où l’attendaient sa mère et son grand frère.
Chap n’a pas pensé qu’il allait vivre sous leur regard, chaque jour, chaque heure, chaque seconde et qu’il ne pourrait jamais se détendre ni se laisser aller. Un geste déplacé, un mot de travers, une mauvaise réaction risqueraient de donner l’alarme et de tout faire basculer ! Il n’a pas imaginé non plus que Cassiel pouvait cacher un secret monstrueux, et que c’est lui, Chap, qui allait en hériter…
Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après. 1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents des années après avoir disparue, une nuit alors qu’elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d’une session d’hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu’à un dénouement aussi terrifiant qu’inattendu.