Thème « aventure et policier »
Le jeune Nicolas s'est-il vraiment noyé à Montalivet ? Pourquoi le docteur Victor a-t-il confié à Sylvère Lomeret qu'il avait fait un faux rapport d'autopsie ? Et par qui a-t-il été assassiné, alors qu'il se rendait au CEPP, le Centre d'études des phénomènes paranormaux, pour y chercher des renseignements sur le vampirisme ?
Sylvère Lomeret, journaliste à France 3 Région et à La Tribune de l'Ouest, risque d'avoir du mal à découvrir la vérité. Pour l'instant il est occupé à un reportage sans grand intérêt, au CEPP, justement.
La vocation du centre est de démontrer que les phénomènes dits paranormaux ont toujours une explication rationnelle. Il offre cinq cent mille francs à toute personne capable de faire preuve, dans des conditions extrêmement surveillées, d'un don de télépathie, de télékinésie ou autre. Les candidats se pressent et repartent toujours bredouilles. Au programme ces jours-ci, une pseudo-télépathe hystérique et une prétendue maison hantée. Anatole Le Lyonnais, le directeur, ricane d'avance. Mais son élève et assistante, Marianne, est moins sereine, surtout depuis qu'elle a entendu ce halètement étrange, juste derrière elle, dans le parking souterrain désert. Elle n'en a parlé à personne. C'est alors qu'entre en scène un jeune homme, Hugo Knocker, soi-disant étudiant en psychiatrie. Il a de sérieuses difficultés d'élocution, un problème avec les manches de son pull-over et aussi avec la pleine lune, et son cerveau est facilement envahi par des pensées qui ne sont pas les siennes. Il ne lâche pas Marianne d'une semelle et cela déplaît profondément à Sylvère, qui est tombé fou amoureux d'elle, et qui compte bien sur la visite de la maison hantée pour lui faire des avances...
Trois semaines en Angleterre pour apprendre l'anglais, la clé du monde moderne : un programme enthousiasmant pour l'été ! Je ne veux pas y aller. Je déteste le monde moderne. Je cherche les clés du monde ancien. J'y vais quand même, parce qu'on ne me demande pas mon avis. Là-bas m'attend la famille Baker. J'ai peur des lunettes de la mère, des gros seins de la fille, des mains du père, du temps qui ne passe plus. Je suis en exil. Je dessine les Baker dans mon journal. Puis j'y colle des souvenirs : des poils de chat torturé, un haricot blanc cuit. J'écris à ma soeur des lettres qui restent sans réponse. Les autres filles disent de moi : Elle est pas formée. Elle est trop jeune. Elle fait la tronche. C'est une sorcière. Elles gloussent en regardant les garçons. Elles emploient des mots que je ne comprends pas. Que je comprends trop. Je veux les comprendre.
Elle n'a pas le choix, Annabelle. Depuis la ferme où elle habite, pour se rendre à l'école avec ses deux petits frères, elle doit traverser la Combe aux Loups. Tout le monde a oublié depuis longtemps pourquoi cet endroit de la forêt s'appelle ainsi. Mais il y rôde toujours des créatures un peu sauvages : Betty, une fille experte en mauvais coups, et Toby, un marginal, un silencieux, vétéran du premier conflit mondial, que la violence des combats a laissé hébété.
Aux Etats-Unis, en 1943, la guerre est une réalité lointaine. Mais, certainement, un drame se prépare non loin d'Annabelle. Et quand on va avoir douze ans, on n'est pas encore très armé face aux mystères et aux cruautés de la vie.
L’agresseur portait un masque de la Saint-Magnus, une figure de diable, et un chapeau à cornes. Tandis qu’il poignardait Harald Ier, il riait à gorge déployée.
Un démon, pour sûr ! Après ce terrible attentat, le vieux roi viking est au plus mal et fait appeler le morphir à son chevet. À peine Bjorn a-t-il eu le temps de profiter de l’affection des siens, de sa gloire toute neuve et des cadeaux offerts par Harald Ier après son expédition victorieuse aux enfers, que le voilà reparti. Sans attendre, il galope à bride abattue vers la capitale avec, à ses côtés, son ami le demitroll Dizir.
Sur la route, les nouvelles sont préoccupantes.
Des troupes ennemies se massent aux frontières et les royaumes voisins s’apprêtent à envahir le Fizzland.
La guerre est imminente. Harald Ier doit se hâter de désigner un jarlal, un guerrier plein d’expérience qui le remplacera à la tête des armées. Ghizur-Loup-Blanc et Bardi le Borgne paraissent les meilleurs candidats au poste suprême. Pour Bjorn, cela ne fait aucun doute…
Et si le morphir se trompait ?
Avant d’attaquer ces nouvelles aventures de Bjorn le morphir, Thomas Lavachery s’est accordé deux ans de répit pour « garder l’envie et le plaisir », explique-t-il. Dans ce nouveau cycle, il a voulu décrire la guerre telle qu’elle est, « chaotique, féroce et meurtrière ».
Il s’est inspiré de batailles célèbres et s’est plongé dans le traité de Sun Tzu, auteur chinois d’un célébrissime Art de la guerre. Mais son modèle absolu reste la bataille de Waterloo décrite par Stendhal dans La Chartreuse de Parme : « Un bazar incroyable ! » Avec autant de références, Bjorn ne pouvait que prendre du galon…
Bjorn, un puissant jarlal ? À le voir errer à moitié nu, sans escorte et sans épée, sale et épuisé, on pourrait en douter. Après sa défaite au bois d’Hallorn contre les mercenaires du roi Karl, le morphir a tout perdu. Mais il a retrouvé son frère, Gunnar.
Les deux fils d’Erik ne se sont pas revus depuis trois ans, et pendant tout ce temps la jalousie de Gunnar n’a cessé de grandir. Mais la rivalité est-elle encore de mise quand le Fizzland est aux mains de l’ennemi ? Bjorn le jarlal a besoin d’aide. Il lui faut rejoindre les steppes de l’Est, trouver Tchortchi, un grand chef toundour dont il espère obtenir l’appui. Bjorn et Gunnar ne seront pas trop de deux pour traverser les territoires des Tyburides, des Belles-Personnes, des Gvars, des Zarques… des peuples aux coutumes étranges, aux intentions parfois belliqueuses.
Il leur faudra d’abord s’enfoncer dans la forêt des Bannis, réputée pour ses pièges. Vite, le temps presse ! Cette odeur salée, cette odeur d’algues… Hafkell le mort-vivant est à leurs trousses !
« Je t'attends Morphir » Personne n'a oublié le message du roi Harald adressé à Bjorn à la fin de « Bjorn le Morphir ». Un message aussi énigmatique qu'inquiétant. Quel genre de mission allait donc être confiée au jeune Viking ? Elle a de quoi faire frémir. Le souverain lui ordonne de descendre au fond de la terre afin d'arracher son fils, le prince Sven, à la cruelle Mamafidjar, reine des enfers. Cela n'a rien d'une promenade de santé, mme pour un morphir aux pouvoirs exceptionnels. Heureusement, Harald encourage Bjorn à s'entourer de compagnons de son choix. Un guerrier au coeur tendre, une fiancée pleine de fougue, un demi-hirogwar, une chèvre et un bébé dragon souffreteux feront donc partie du voyage. Lors de cette descente aux enfers, le jeune Viking va mettre à l'épreuve ses qualités de chef et se découvrir de nouveaux pouvoirs insoupçonnés.
« Le prince Dar possède une avance que tu ne pourras pas rattraper, ou alors il faudrait que tu te mettes à voler comme un oiseau... » Le fantôme de grand-père Sigur ne croyait pas si bien dire, quand il sermonnait ainsi le jeune Morphir, à la fin du second tome de Bjorn aux enfers. Après avoir pris congé des infernautes, Bjorn et ses compagnons se préparent à découvrir un nouvel étage des enfers. L'étage aux oiseaux. Il leur faudra croiser le fer avec les hérons, subir les assauts des terribles griffons ou encore éviter de donner prise aux voraces chenildars pour se rapprocher un peu plus de l'étage des supplices. L'enfer des enfers. Le Tanarbrok. Partout les précèdent les traces du passage de l'infâme Dar et de ses hommes. Et comme si cela ne suffisait pas, une autre épreuve attend Bjorn. Sigrid... Sa fiancée... Sa chère Sigrid a disparu...
Bjorn, la cuisse transpercée, Ketill le Rouge, la face tuméfiée, Svartog le demi-hirogwar, blessé au ventre, et Sigrid épuisée… À la fin du tome III de Bjorn aux enfers, le morphir et sa bande sortaient victorieux mais terriblement affaiblis de leur combat contre le prince Dar.
Pas de repos pour les braves, car le plus dur reste à venir. Il leur faut maintenant aller au bout de leur mission : traverser le sixième et dernier étage des enfers, affronter Mamafidjar sur ses terres et lui arracher le prince Sven.
Gare ! La reine des enfers dispose d’alliés d’une trempe peu commune, les Yus, fils d’espadons et marins émérites, ainsi que les Elfes doués d’une résistance à toute épreuve. Bjorn aura-t-il assez de ses talents de morphir pour les affronter ? Pas si sûr… À moins de trouver en lui des ressources insoupçonnées, incontrôlables et terrifiantes…
Le dénouement est proche, et voilà que résonne la prédiction d’Ama : « Deux des quatre périront. » La mort plane sur Bjorn et ses compagnons comme jamais… La mort ? ou seraient-ce les morts ?
La neige est méchante en cet hiver 1065, elle a décidé de s'en prendre aux hommes. Elle envoie ses légions de flocons de la taille d'un roc sur le Fizzland, avec pour mission d'engloutir les villages vikings et tous leurs habitants. Afin d'échapper à la Démone blanche, Bjorn et sa famille se claquemurent dans la salle commune de la maison de son père, Erik, le colosse sans peur. Tous se préparent à supporter un siège qui risque de durer de longs mois. Lors de cette épreuve exceptionnelle, chacun va dévoiler son coeur et son courage. À l'exception de Bjorn. Lui ne se révèle pas, il se métamorphose. Ce jeune garçon timide et craintif, dont le nez coule comme une source, maigre comme un oisillon et pas très doué pour les armes va brusquement se transformer en un combattant redoutable. Par quel miracle ? Bjorn serait-il un morphir ? Lui-même en doute.
Et s’il était possible de découvrir la recette de la télépathie ? Casimo Dolent, un vieux professeur, pourrait bien révolutionner la vie du tout jeune Dante. Balivernes, vous direz-vous. Mais quand Casimo s’éteint, quand une petite fille est kidnappée, Dante est bien forcé d’y croire, parce qu’il a tout vu. À distance, et en fermant simplement les yeux...
« Poe a créé un genre à part, ne procédant que de lui-même, et dont il me paraît avoir emporté le secret ; on peut le dire chef de l’École de l’étrange ; il a reculé les limites de l’impossible ; il aura des imitateurs. Ceux-ci tenteront d’aller au-delà, d’exagérer sa manière ; mais plus d’un croira le surpasser, qui ne l’égalera même pas. […] S’ils ne sont pas fous, les personnages de Poe doivent évidemment le devenir pour avoir abusé de leur cerveau, comme d’autres abusent des liqueurs fortes ; ils poussent à leur dernière limite l’esprit de réflexion et de déduction ; ce sont les plus terribles analystes que je connaisse, et, partant d’un fait insignifiant, ils arrivent à la vérité absolue. »
Jules Verne, Edgar Poe et ses oeuvres
Dans ce volume : « La Chute de la Maison Usher », « Double assassinat dans la rue Morgue », « La Lettre volée », « Le Chat noir », « Le Coeur révélateur », « Le Puits et le Pendule » et « Le Masque de la mort rouge ».
C’est dans l’estomac d’un requin que commence l’un des plus extraordinaires voyages relatés par Jules Verne. En effet, le squale a avalé une bouteille contenant un message qui, une fois partiellement déchiffré, révèle le naufrage d’un navire, le Britannia, et de son capitaine, le valeureux Harry Grant. Seule certitude sur la localisation du naufragé, il se trouve sur le 37e parallèle.
Un courageux lord écossais, sa charmante jeune femme, un major impassible, un géographe français distrait et les deux enfants du capitaine Grant vont donc suivre ce 37e parallèle, franchir les Andes et leurs incessants séismes, traverser la Patagonie, survivre à un ouragan et poursuivre leurs recherches… en Australie. Là, ils retrouveront l’ancien quartier-maître du Britannia, un dénommé Ayrton, qui les trahira pour livrer leur navire aux pirates, puis ils échoueront sur les côtes de la Nouvelle-Zélande où ils tomberont aux mains des cannibales…
Bouteille à la mer, tour du monde, pirates, cannibales, naufrages : tous les ingrédients sont réunis pour « mettre en scène des rêves de petit garçon » – la définition du roman d’aventures par le maître du genre : Robert Louis Stevenson.
Les Enfants du capitaine Grant constituent le premier volet d’une trilogie romanesque que complètent Vingt Mille Lieues sous les mers et L’Île mystérieuse.
Les Instructions officielles de l’Éducation nationale recommandent l’étude d’un roman de Jules Verne en classe de cinquième.
Lors d'une enquête difficile, l'inspecteur Le Garrec appelle à l'aide un spécialiste du langage, Glockenspiel. Le « professeur » a mis au point une méthode d'investigation de l'oral, capable de mesurer le degré de conviction de la parole, et de repérer tout écart entre ce qui est dit et ce qui ne l'est pas. Il ne tarde pas à déceler dans les témoignages des suspects des indications surprenantes. Les enquêtes policières rebondissent vers des dénouements aussi imprévisibles que logiques. Suspense garanti !
Glockenspiel, le petit homme au lunettes admirateur de Sherlock Holmes, apparaît ici pour la première fois. Il n'a pas fini d'étonner.
Xabi n'a jamais rien connu d'autre que les espaces clos et rassurants du domaine souterrain du Danube, comme les 25 autres adolescents avec qui il partage son quotidien. Ici, les journées sont parfaitement organisées : le matin, leçons à l'académie avec l'hologrammatiste, l'après-midi, session d'activités physiques et loisirs, avant qu'ils rejoignent leurs quartiers et leurs animaux domestiques pour la soirée. Parfois, Tuteur Médecin, Tutrice Technique, Tuteur Fermier et Tutrice Vétérinaire les accompagnent dans la forêt qui se trouve à la surface. Bientôt, ils devront quitter ce petit paradis pour entrer dans le monde. Mais qu'y a-t-il vraiment, par-delà les frontières du domaine ? Lorsque des inconnus venus d'ailleurs leur rendent visite, Xabi est loin de se douter que, pour les 26 du Danube, plus rien ne sera jamais comme avant.
Lyon, fin du XIXe siècle. Martin Poulachon apprend le métier de « canut », d’artisan de la soie, avec ses parents. Un soir, sa mère, partie livrer une pièce de précieux velours, se fait agresser et voler. Martin se sent coupable. À cause de son retard, il ne l’a pas accompagnée. Il ne sait pas encore qu’il va, grâce à une mystérieuse jeune fille, non seulement récupérer ce bien, mais découvrir l’univers de Guignol. Pour nourrir leur inspiration et fournir un véritable journal de la cité aux spectateurs, les créateurs de la célèbre marionnette envoient des espions dans les rues et les passages secrets… Et Guignol se transforme en justicier pour de vrai !
Qui sont les vrais parents de Polyxène ? Les seuls indices qu'elle ait pour les retrouver sont un petit pendentif de corail en forme de poisson, un morceau de tissu noir, rêche et sale, aux bords déchirés, une chaussette en soie rouge et une sorte de couverture rayée, aussi longue qu'étroite. Polyxène est-elle la fille du roi, la fille d'un mendiant, la fille d'un pêcheur ? A-t-elle été volée ou délibérément abandonnée ? Est-elle orpheline ou ses parents sont-ils encore en vie ? Chacun des indices va parler à tour de rôle, chacun va dévoiler une parcelle de vérité, toujours plus difficile à croire. Car l'histoire de Polyxène est plus étonnante que tout ce qu'elle aurait jamais pu imaginer.