Thème « vie quotidienne »
Quand on passe la journée loin de l'autre, c'est bon de se la raconter. Mais quand on est tout petit, comme Sam, ou un peu plus grand, comme Léa, on n'a pas encore de mots, ou si peu, pour en parler.
« À ce soir ! » est un livre pour dire, avec des images, les paroles rassurantes et le gros baiser du matin, les jouets, les copains, la purée, le dodo, les disputes et les câlins, la fatigue du soir …et la joie de se retrouver !
Maman ! J’ai faim ! Maman ! J’ai soif ! Maman ! J’ai mal !
Maman est toujours là quand on a besoin d’elle, et c’est ça qui est bien !
Mon papa, c’est un PGV : un Papa à Grande Vitesse.
Le matin, c’est câlinexpresssssà cesoir…
Le soir, c’est câlinsuperexpressscarjedoisdécrocher…
Tous les jours, c’est pareil. Moi, ce que je veux, c’est un câlin d’enfer !
Quand on ne peut plus dormir entre papa et maman, il faut trouver le meilleur moyen pour devenir un grand ! Louis n'aime pas dormir dans son lit. Entre papa et maman, c'est beaucoup mieux. C'est plus chaud, plus grand, plus amusant, et c'est vraiment là que Louis fait les plus beaux rêves. Mais aujourd'hui, ses parents lui disent qu'ils sont fatigués et que ça suffit ! À partir de ce soir, Louis doit dormir dans son lit parce qu'il est grand, maintenant, et non, il n'y aura pas de dernière nuit. Louis est-il grand ? Pas encore vraiment. Mais suffisamment pour trouver une idée, une vraie bonne idée pour obtenir ce soir-là un dernier câlin de maman... le câlin qui donne le courage de devenir grand !
Il était une fois un papa bouc et un petit bouc. Papa Bouc est un papa bouc très pressé et Petit Bouc est un petit bouc qui n'aime pas se dépêcher. Quand Petit Bouc ne va pas assez vite, Papa Bouc s'énerve : « Je compte jusqu'à trois... 1, 2, 3 ! »
Mal dormi, mal au coeur, le poil raide, les yeux brillants, la tête qui tourne... voilà des raisons suffisantes pour appeler le Docteur Brosse. Il s'approche du lit de Diego et commence par l'ausculter. Puis il examine sa gorge, ses oreilles, et lui tapote le dos du bout des doigts.
« Ce n'est rien qu'une petite grippe. Dans trois jours, tu seras sur pattes. » Chic ! Diego va pouvoir jouer aux cartes avec Papa, qui est venu le garder. Au fait, quand on est malade, on doit forcément gagner, non ?
Papa et Maman Souris ont décidé de déménager et de s'installer dans la forêt avec leurs dix enfants. Grand-Père et Grand-Mère les accompagnent.
C’est bien connu, l’heure du déjeuner tombe toujours au pire moment pour les enfants, pile au milieu de jeux passionnants. Mais allez expliquer ça aux parents… Alors la fillette décide de bouder son assiette, pour la plus grande joie de trois surprenants gourmands.
Anton a un chapeau de magicien. Un vrai. Il va donc pouvoir faire de la magie. Faire disparaître quelque chose. Un arbre, par exemple. Anton se concentre et ferme les yeux. Quand il les rouvre, étrangement, l'arbre est toujours là . Aurait-il vu un peu grand ? Un oiseau, pour commencer, cela serait peut-être plus raisonnable. Anton se concentre à nouveau. Quand il rouvre les yeux, l'oiseau a disparu. Ça y est, Anton est magicien. Il s'empresse de le dire à Lukas, qui a le culot de ne pas le croire. Tant pis pour Lukas, c'est vraiment dommage pour lui, mais Anton va devoir le faire disparaître.
Après le délicieux, et très remarqué, "Anton et les filles", les lecteurs seront heureux de retrouver le plus keatonien des héros de livres pour enfants.
Souvent, on n’ose pas dire tout haut ce qu’on pense tout bas : que ses enfants mangent comme des cochons, que la voisine est une vieille bique, qu’on regrette de s’être conduit comme un âne…
Dommage ! Car pour peu qu’un papa se laisse aller à pousser son cri de révolte quand ses trois enfants se battent à table à coups de yaourts : « Bande de cochons ! », aussitôt les voilà qui se transforment en une vraie bande de vrais petits cochons ! Grouiiiikk !
Et ce n’est pas fini. Ils filent vers la forêt où les attend le loup…
Colette et Mo sont comme beaucoup d’enfants: ils adorent jouer et détestent ranger. Seulement, quand passe le petit bonhomme, pas question de lui désobéir. Alors, Colette et Mo s’organisent: lundi, tri; mardi, bagarre ; mercredi, formule magique pour rétrécir puis regrandir; jeudi, tout flanquer par la fenêtre ; et ainsi de suite jusqu’à dimanche… jour de repos pour le petit bonhomme du rangement !
Pauvre Bob ! Aujourd'hui il y a ENCORE de l'école et il faut ENCORE se lever ! Difficle de se réveiller quand on est comme Bob, si bien dans son lit...
Foufours est sorti chercher de la paille pour réparer le toit de sa maison. Quand il revient, il pleut si fort qu'il ne voit plus rien. « Où est ma maison ? » demande-t-il à Glouton. Mais Glouton ne résiste jamais à l'envie de faire une mauvaise blague. « Ta maison a été emportée par la rivière ! » répond-il...
Simon adore la petite maison où il est né. La quitter pour une plus belle ? Impossible. Pas question. Pourtant, quand son petit frère Gaspard manifeste son inquiétude à son tour, Simon trouve les mots pour lui parler du déménagement.
La petite cochonne ouvre la porte de la salle de bain. Elle se prépare à prendre une bonne douche.
Bien tranquillement… Bien tranquillement ? Pas si sûr !
Ce matin, comme tous les matins, Lola est heureuse de retrouver Simon. Mais Simon a l'air embêté. Il doit annoncer que ses parents déménagent et qu'il va changer d'école Lola va-t-elle perdre son meilleur ami du monde ?