Thème « vengeance »
À la ferme, presque tous les animaux s'entendaient bien. Seules Germaine et Lulu se disputaient souvent. Personne ne parvenait à les réconcilier. Lulu était une belle poule, dodue et coquette. Germaine était moche et toujours de mauvaise humeur. Et les choses ne s'arrangèrent pas avec le temps...
Je lance à la mère d’Ellie mon regard le plus noir. Car, non contente de me prendre en photo sous mon plus mauvais profil, elle décide maintenant d’utiliser mon portrait, oui vous avez bien entendu ! mon portrait, à sa propre gloire. Je serai sa première œuvre dans son tout nouveau cours d’arts plastiques. Mais que croit-elle donc ? Je ne vais pas me laisser ridiculiser aussi facilement. D’autant que le tableau est accroché juste au-dessus du canapé, là où tout le monde peut l’admirer. Et là où je pourrais l’atteindre…
La Vengeance du Chat assassin a été adapté en BD chez Rue De Sèvres.
Au Ier siècle de notre ère, dans une Palestine sous domination romaine, Juda Ben-Hur, fils d’une noble famille de Judée, est injustement accusé d’attentat contre la personne du gouverneur en poste à Jérusalem. Le voilà condamné aux galères, tous ses biens sont confisqués, ses proches mis en prison.
Sa fougue et sa jeunesse lui inspirent un projet de vengeance qui ne sera pas facile à mettre en oeuvre. Dans ce monde antique où Rome impose son hégémonie, le rameur enchaîné à son banc ne peut rien. Ben-Hur survivra-t-il aux épreuves dont peu de galériens réchappent ? Retrouvera-t-il sa liberté ? Pourra-t-il reconquérir un statut social et les moyens de faire valoir son innocence ?
S’il y parvient, il lui faudra encore vaincre le traître qui s’acharne à sa perte, arracher sa mère et sa soeur au mal qui les ronge et affronter des dangers dont le moindre n’est pas l’intérêt que lui porte une Égyptienne aux allures de femme fatale.
Tels sont les enjeux d’une action romanesque qui nous transporte aux temps du christianisme naissant et d’où nous parvient l’écho d’un quadruple galop d’enfer.
Fils de métayers, Jacquou est plongé dès l'enfance dans les conditions de vie effroyables qui sont celles de la paysannerie française au XIXe siècle. Il subit tout, la faim, le froid, le malheur et la tyrannie du nobliau local. Mais, face à l'adversité, il possède deux armes : son énergie et surtout son instinct du milieu naturel, ce coin de Périgord où il se meut comme un poisson dans l'eau. Moyennant quoi il fera front, en démontrant que la vraie noblesse, ici-bas, n'habite pas toujours le château, mais plutôt parfois l'âme du « croquant » qui sait y mettre le feu. Non content de nous instruire et de nous passionner de bout en bout, voilà un livre qui nous marque. Jacquou et la « Forêt Barade » gardent à jamais une place de choix dans la mythologie intime de tous ceux qui l'ont lu.