Thème « vacances »
Il est suisse. Il s'appelle Léonardo. Il a un chien qui s'appelle Bichette, un camping-car qui s'appelle Bichette et il avait une femme qui s'appelait Bichette. Il est très déprimé, très déprimant, et surtout, il est poursuivi par une malchance phénoménale. Les accidents les plus invraisemblables fondent sur lui comme une nuée de mouettes sur un reste d'anchois. Grâce à lui, Martin et ses parents vont passer des vacances inoubliables.
Tout commence un beau jour d'été, sur le bateau qui relie Marseille à Calvi.
Mémé et pépé ont tout organisé, ma valise est prête. Il est cinq heures trente du matin quand le camping-car du Capitaine des Morts arrive chez moi. Ils bondissent tous hors du véhicule : Petit Vampire, tartiné de crème solaire avec son bob jaune sur la tête et son ciré, le chien Fantomate qui pète chaque fois qu’il fait un pas, Marguerite, Claude et Ophtalmo, les trois monstres. Direction un château en Bretagne. La route est longue avec un tel équipage ! Et dire qu’il faut rendre une rédaction à ce sujet à la rentrée ! Je vais devoir me tenir debout devant toute la classe et raconter mes vacances… Mais je ne révélerai rien de ce que nous avons vécu. Je leur raconterai un séjour sans meurtres, sans fantômes et sans rien de magique.
Coq veut partir en vacances. Les animaux de la ferme sont inquiets : s’il n’est pas là pour chanter, qui réveillera le soleil ? Ninon ne sait plus quoi faire. Heureusement, Archie a une idée. Mais on n’a jamais vu un chien faire cocorico…
Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan ; des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l'odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges. Pépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change, jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l'écouter respirer. Je m'appelle Louise et ceci est mon histoire.
Dernier jour d’école, voilà les vacances d’été ! On retrouvera les copains à la rentrée, dans deux mois, une éternité ! Demain, une longue, très longue route m’attend. Les voyages en voiture, c’est toujours spécial. On dit au revoir à son quartier, on file sur la grande route, on regarde dehors, on s’endort un peu. Et puis, enfin…