Thème « vacances »
Il est suisse. Il s'appelle Léonardo. Il a un chien qui s'appelle Bichette, un camping-car qui s'appelle Bichette et il avait une femme qui s'appelait Bichette. Il est très déprimé, très déprimant, et surtout, il est poursuivi par une malchance phénoménale. Les accidents les plus invraisemblables fondent sur lui comme une nuée de mouettes sur un reste d'anchois. Grâce à lui, Martin et ses parents vont passer des vacances inoubliables.
Tout commence un beau jour d'été, sur le bateau qui relie Marseille à Calvi.
Mémé et pépé ont tout organisé, ma valise est prête. Il est cinq heures trente du matin quand le camping-car du Capitaine des Morts arrive chez moi. Ils bondissent tous hors du véhicule : Petit Vampire, tartiné de crème solaire avec son bob jaune sur la tête et son ciré, le chien Fantomate qui pète chaque fois qu’il fait un pas, Marguerite, Claude et Ophtalmo, les trois monstres. Direction un château en Bretagne. La route est longue avec un tel équipage ! Et dire qu’il faut rendre une rédaction à ce sujet à la rentrée ! Je vais devoir me tenir debout devant toute la classe et raconter mes vacances… Mais je ne révélerai rien de ce que nous avons vécu. Je leur raconterai un séjour sans meurtres, sans fantômes et sans rien de magique.
Scarlatine et parents absents : Maurice se retrouve en partance pour Trouville-Deauville, chez sa grand-tante Willa. Pour qu’elle veille sur lui.
Elle a une réputation, dans la famille : 60 % mauvais poil, 40 % sale caractère.
Maurice s’attend à une semaine de cauchemar, il découvre un décor de film, et les dialogues qui vont avec.
Tante Willa n’est pas le monstre redouté, mais une tante désopilante, pince-sans-rire, et championne de poker en plus ! Quant à l’endroit qu’elle habite, il est extraordinaire.
C’est un ancien hôtel de luxe, le Trouville Palace, qui ressemble à celui de Shining, avec ses couloirs interminables et ses lustres prêts à s’écrouler. Maurice l’explore en se disant que les portes numérotées doivent cacher des secrets et des habitants bizarres. Et voilà justement qu’une jeune fille, coiffée et vêtue à l’ancienne mode, empêchée de sortir par son père, demande à Maurice de l’aider...
Louis est parti pour une semaine en tête à tête avec son père à voyager dans une camionnette toute cabossée. Autant dire qu’il n’attend pas beaucoup de chose de ses vacances dans le Jura. Depuis que ses parents se sont séparés, lui et son père communiquent très peu. Quelques mails. Aucun coup de fil. Et il faut bien l’avouer, pas grand chose à se dire. Deux taiseux de père en fils, pense Louis ! Et s’il se trompait ? Leur arrestation par des douaniers et quelques jours passés dans un camping vont changer à jamais le regard que Louis portait sur son père. Et remettre en question tous les liens qui l’unissent à sa famille.
Coq veut partir en vacances. Les animaux de la ferme sont inquiets : s’il n’est pas là pour chanter, qui réveillera le soleil ? Ninon ne sait plus quoi faire. Heureusement, Archie a une idée. Mais on n’a jamais vu un chien faire cocorico…
Je me souviens de sa cabane qui flottait dans les champs comme un phare sur l'océan ; des feuilles du vieux frêne scintillant au soleil, de l'odeur du linge qui séchait au fond du jardin, du bourdonnement des abeilles et du chant des mésanges. Pépé Léon faisait partie de ces gens qui aimeraient que rien ne change, jamais. Qui ne veulent pas refaire le monde, juste vivre au milieu et l'écouter respirer. Je m'appelle Louise et ceci est mon histoire.
C'est un dimanche de juillet. Le bus s'arrête juste devant la maison de ma grand-mère, aux murs en chaux blanche et aux volets en bois. Ma grand-mère prépare les meilleurs beignets du monde. Mais avec les plantes, elle ne s'en sort pas. La menthe ne fleurit toujours pas. Alors, je suis passée à la jardinerie. Pendant qu'elle fait la sieste, je repique des petits plants à la main.
Dernier jour d’école, voilà les vacances d’été ! On retrouvera les copains à la rentrée, dans deux mois, une éternité ! Demain, une longue, très longue route m’attend. Les voyages en voiture, c’est toujours spécial. On dit au revoir à son quartier, on file sur la grande route, on regarde dehors, on s’endort un peu. Et puis, enfin…