Thème « travail »
Personne ne veut aider la petite poule rousse à planter des graines, à faucher le blé, à le battre et à le moudre. Alors, qui mangera le bon pain ?
Quand un gentil p’tit lapin tombe sur une alléchante carotte, qui se frotte les mains ? Le grand méchant loup qui était caché dans le coin. P’tit lapin finira-t-il en pâté ou en civet ? Non, son avenir est encore pire ! Mais attention, le loup, méfie-toi... Un gentil p’tit lapin peut devenir extrêmement malin, au besoin !
Depuis qu’il travaille à la fabrique de marteaux, Simon ne voit plus son grand frère aussi souvent qu’avant. Mais ce soir, youpi ! c’est le week-end, et, grâce à son salaire, Simon va se payer un billet de train pour aller chez son frère chéri, de l’autre côté de la montagne.
Hélas, arrivé à la gare, Simon apprend que le train a été annulé ! Que faire ? Rien n’arrête un Simon fraternel. Il prend son courage à deux pattes et ses jambes à son cou. Et comme il ne connaît pas bien la route, il décide de suivre la voie de chemin de fer…
Après le travail, Ciboule, la poule hôtesse de l’air, prépare une délicieuse tarte aux pommes pour ses petits poussins.
Petit-Jean, l’éléphant pompier, écrit ses mémoires.
Épitaphe, la girafe, que fait-elle quand elle a fini sa journée d’astronaute ?
Et quel est donc le travail de Pistache la vache qui se fait belle pour Arnaud ?
C’est sûr, il y a une vie après le travail !
« Chafi, c'est mon père. Il sait faire plein de choses incroyables : servir le thé à la menthe très haut sans renverser, parler deux langues, siffler entre ses doigts et surtout porter des sacs très très lourds ! Il est éboueur. Un jour, moi aussi je serai éboueur ! »
De l'atelier où il a été fabriqué, à sa première propriétaire, en passant par un drôle de petit monsieur à lunettes et à manteau vert, voici l'histoire d'un petit tabouret qui a failli entrer dans l'Histoire...
C'est un livre où l'on apprend que les murs, les toits et les fenêtres d'une maison peuvent s'en aller, par coquetterie ou par désespoir. Que les portes peuvent s'en aller, elles aussi, mais pour des raisons plus subtiles, surtout si elles sont nos amies. C'est également un livre où l'on apprend comment les parents peuvent rétrécir et comment les maisons se construisent. On y découvre qu'il y a toutes sortes de larmes. Qu'elles peuvent être lourdes, énormes, mouillées, légères, bleues, profondes... Et qu'il peut être utile de pleurer tout aussi bien que de s'arrêter. On peut sécher en pleine mer, traverser un tunnel d'animaux tristes, décoller de la joue d'une statue géante et rester serein, parce que avec l'Eugénie des larmes, il y a toujours l'Eugénie du rire.