Thème « souris, mulot, rat, campagnol »
Ratinet est un rat blanc très propre et très bien élevé quand il arrive chez ses cousins Ratinos, Ratinus et Ratinas qui habitent sur un terrain vague, dans des gros tuyaux ou de vieilles boîtes de conserves. Pas facile d'accepter les différences des autres. Heureusement, dans l'épreuve, certaines différences s'effacent. N'est-ce pas, Ratinet ?
Quand leur maman laisse les treize souriceaux à l’école, tout est calme. Très calme : il n’y a personne. Ni maîtresse ni surveillant. Le silence, à part le directeur qui ronfle là-haut. Il faut dire que c’est dimanche et que, normalement, il n’y a pas école. Mais, normal ou pas, Elvis le hibou est maintenant bien réveillé : les treize souriceaux sont là, dans sa chambre. Il va vite falloir trouver quelque chose pour les occuper. Une sortie : voilà la solution ! Mais un hibou, une belette, un hérisson et treize souris en ville, ça ne passe pas inaperçu...
Imaginez un grenier, et dans ce grenier, un canoë. Ajoutez un hibou, une belette et 13 souriceaux. Le directeur, la maîtresse et les élèves : l'école des souris est au complet. Presque : il manque Ricky, le surveillant. Même si, aujourd'hui, il est un peu endormi. Il faut dire que c'est la fin de l'automne et que les hérissons, normalement, hibernent. Et voilà qu'une poudre blanche se met à tomber du ciel. Du fromage râpé ? Non, de la neige (tu l'avais deviné). Toute la troupe part dans le bois. La neige, c'est très amusant, mais aussi très dangereux...
Elvis le hibou en a marre : impossible de lire tranquillement le journal, de remplir son herbier ou de faire une bonne sieste. Il aime bien avoir de la compagnie, mais comment faire pour que les petites souris fassent moins de bruit ? Les humains ont trouvé une solution en mettant leurs enfants à l'école. Voilà comment Elvis devient directeur d'école.
C'est bientôt le mariage de la fille de Madame la Taupe. Tout le monde se fait faire des robes par Élise, la couturière. Elle est très douée, Élise. Les robes et les manteaux qu'elle confectionne sont magnifiques. Mais on dit qu'elle a mauvais caractère. On ne sait même pas si elle viendra au mariage. La vérité, c'est qu'Élise se trouve moche. Elle pense que les jolies robes, les volants, les dentelles, ce n'est pas pour elle. Martha l'araignée, qui habite dans un coin de la salle de bain et avec qui Élise papote souvent, le soir, est la seule à comprendre qu'elle est malheureuse. La seule à deviner qu'elle aimerait bien aller au mariage. Soudain, il lui vient une idée : cette fois, ce sera elle la couturière. Elle va tisser en secret pour son amie la plus belle robe qu'on puisse imaginer...
Pendant que les autres mulots font provision de maïs et de noisettes pour l'hiver, Frédéric, lui, fait provision de soleil, de couleurs et de mots.
Robert l'éléphant et Blanche la souris sont de très bons amis. Sauf quand Robert veut jouer à Robert la Terreur. Son pistolet, il ne le prête à personne. Et personne d'autre que lui n'a le droit de crier : « Haut les mains ! » Mais de temps en temps, Blanche aimerait bien être une terreur, elle aussi...
Léon et Elvire grimpent dans une vieille barque et commencent à naviguer paisiblement. Pas pour longtemps : les remous et les aléas de la navigation les conduisent bientôt sur une île pas comme les autres ; c'est l'île du Monstril. Ça, il ne le savent pas encore, mais ils vont vite l'apprendre... Qui a dit que les garçons et les filles étaient empotés et niais de nos jours ?
Les Ratinos vivaient tranquilles dans leur trou, au pied de la colline. Un matin, ils furent réveillés en sursaut par un tremblement de terre. C'était un éléphant qui venait leur rendre visite.
Juliette s'inquiète. Pour tout. Pour rien. Pour la fissure dans le mur du salon qui lui fait peur, pour sa poupée, pour son goûter d'anniversaire, pour le sommeil de ses parents. Et pour la rentrée des classes, elle n'est pas inquiète, elle est TRÈS TRÈS inquiète. Si seulement Juliette trouvait une personne aussi inquiète qu'elle.... pour la rassurer.
Ah, ces parents ! Comme ils sont touchants, avec leurs désirs d’enfants ! Monsieur et Madame Souris, par exemple. Ils en veulent deux. D’abord un garçon, ensuite une fille : le choix du roi. Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme ils l’avaient prévu. La cigogne apporte successivement 25 souriceaux mâles, qui s’entassent dans la chambre des garçons, tandis que la chambre de la fille reste désespérément vide. Madame Souris déprime et finit par aller réclamer en haut lieu : « Une fille ! Je veux UNE FILLE.» Il y a peut-être une solution ?
Mitsou et Kimi sont deux petites souris qui habitent dans la chambre de Vincent. Il est peintre, comme elles. Il laisse toujours des tubes de couleur, des pinceaux et des crayons à leur disposition. Il est vraiment très gentil. Alors ce n'est sûrement pas lui qui a posé un piège à souris sous le lit... à moins qu'il ne soit devenu fou !
Au soir de sa vie, un vieil homme lègue deux graines à ses fils : à l’aîné, une graine de fougère ; au cadet, une graine de bambou. « Plantez-les dans la forêt en souvenir de moi. » Si la fougère recouvre vite le sol, rien ne pousse de la graine de bambou, au grand désespoir du plus jeune des frères…
Autrefois les petits lapins, comme les enfants, perdaient leurs dents de lait et attendaient sagement le passage de la petite souris. Mais un jour, la maison de la petite souris fut cambriolée par un rat, dont la femme adorait tout ce qui brille, y compris les petites dents de lait...
Tout le monde connaît la petite souris qui vient remplacer, la nuit, les dents de lait perdues des enfants par des petits cadeaux. Il y a longtemps, elle faisait la même chose pour les dents des petits lapins. Jusqu’au jour où un rat, qui voulait décorer sa maison et offrir un collier de perles à sa femme, vint lui voler son sac de dents…
Dans ce coffret, une belle histoire et une bonne idée : la petite boîte pour ne plus perdre ses dents de lait et ne pas rater le passage de la petite souris.
Depuis toujours, dans la grande forêt, les petits rongeurs vivaient en bonne entente. Mais un jour, de gros nuages apparurent à l'horizon. Ce fut la saison des pluies... « Il y a forcément un coupable ! » souffla Elmer, la souris grise.















