Thème « sorcier, sorcière »
Il était une fois cinq doigts-sorcières. Tandis que la sorcière Index fait un gâteau avec sa baguette, la sorcière Majeur fait une robe en toile d’araignée. Chacune est très habile avec sa baguette, mais la petite sorcière auriculaire, sait-elle s’en servir ?
Petit lapin est attiré par les bonbons que lui propose cette drôle de dame. Il entre dans la maison, puis s'approche du chaudron que lui montre la dame, qui a de plus en plus l'air d'être une sorcière… Heureusement que le chat est là pour mettre en garde petit lapin !
C’est l’automne dans la forêt. Hansel et Gretel, frère et soeur, sont perdus. Attirés par une magnifique et délicieuse maison en bonbons qu’ils veulent goûter, ils se retrouvent prisonniers d’une sournoise sorcière qui veut, elle, les manger !
Que fait Babayaga dans sa maison ? Le requin a-t-il des copains ? Qu’est ce que les squelettes aiment faire ? Les ogres, les monstres, les sorcières, tous sont dans Maxitrouille, le livre de la trouille !
Au moment d’aller se coucher, la sorcière cherche Saucisse. Mais qui est Saucisse ? Ce n’est pas son chat qui dort déjà, ce n’est pas son crapaud qui attend dans la cuisine, ni son hibou qui est dans le grenier ! Mais qui peut bien être Saucisse ?
L'elfe est condamné à mourir de faim pour avoir poussé la sorcière dans un étang. Un chevalier passe et le délivre. L'homme est triste et, sous son armure, à la place du cœur, se cache une tortue vivante. Que cherche-t-il ? La sorcière, justement, et une princesse aussi. L'elfe promet de l'aider. Mais la sorcière a plus d'un tour dans son chaudron. Elle envoie sur leurs traces un mercenaire. Pour les tuer.
Addie est autiste. Lorsqu’elle apprend en cours d’histoire que sa petite ville de Jupiner a persécuté, torturé et exécuté au Moyen Âge des dizaines de sorcières, elle est bouleversée. Ces femmes accusées de sorcelleries n’étaient-elles pas autistes ou neuroatypiques comme elle ? Victime de brimades en classe, Addie se sent particulièrement concernée par leur sort. Elle décide de mener campagne pour que la ville de Jupiner rende hommage à ces sorcières injustement traitées.
Les trois filles de Nils Swedenborg et de son épouse Ingrid ont grandi. Elles ont maintenant seize ans, seize ans un quart et seize ans et demi.
L’âge des idéaux, des projets, des passions. Agnes et Greta ont trouvé les leurs : l’une passe son temps plongée dans les broderies, les chiffons, les jupons ; pour l’autre, c’est gourmandise et pâtisserie. Leur sorcière de mère compte sur l’aînée pour sauver l’honneur.
Hélas, il semblerait que Johanna ait l’art et la manière de toujours remettre au lendemain ce qu’elle pourrait entreprendre… Elle a des qualités pourtant. Un esprit sarcastique et persifleur. Elle sait réfléchir. Alors qu’attend-elle pour accomplir de grandes et vilaines choses ?
Parce que sa mère a réussi à la vexer en la traitant de créature humaine, Johanna réagit. Ce ne sont pas les idées malveillantes qui manquent. La sienne est diabolique.
Elle s’appelait Violante. Elle était arrivée après nous à l’école, et elle restait toujours un peu à l’écart. Avec sa tignasse de cheveux noirs, sa tache rouge sur la joue et son regard de flamme, elle ressemblait à une sorcière. On s’en méfiait, et on s’en moquait. Elle nous inquiétait, et elle nous fascinait. Mais quel était son secret ?
Camille fugue. Elle ne sait pas encore où elle va, mais elle est bien décidée à mettre le plus de distance possible entre elle et ses parents. Quand elle voit le petit écriteau déposé par deux marins : « Recrute garçon à tout faire contre gîte et couvert », Camille voit l’occasion idéale de prouver qu’à quinze ans elle peut se débrouiller seule. Mais ce que la jeune fille est loin d’imaginer, c’est qu’en signant le drôle de contrat que le propriétaire de la péniche lui tend elle deviendra son esclave et devra travailler pour lui… à vie. Commence alors un voyage au cours duquel Camille découvrira Éther, une terre de magie qui pourrait bien dissimuler le mystère de ses véritables origines…
Son nez n’est pas du tout crochu. Elle ne chevauche aucun balai, ne touille aucun chaudron. Pourtant, Ingrid est une sorcière. Et une belle.
Le jour où elle débarque au village de Skelleftestad, tous les hommes tombent raides. Elle pourrait prendre celui qu’elle veut. Alors pourquoi choisit-elle d’épouser Nils Swedenborg, qui est certes beau, joyeux, fidèle et travailleur, mais aussi pieux et indécrottablement stupide ? Pour se ranger ? Mener une vie tranquille au coin du feu, avec le charpentier du cru, et s’en aller prier au temple tous les dimanches ?
Non. Une sorcière a un besoin viscéral de tours et de magie. C’est leur fille qui raconte l’histoire. Elle connaît la réponse. Et cette réponse fait froid dans le dos.
Il y a bien longtemps, à Dentown, les eaux du lac scintillaient en été. On venait s’y baigner ou s’aimer au bord de son eau transparente comme une vérité.
Maintenant, on y croise seulement les ombres menaçantes de son fond. Il y a eu la Noyée, cette pauvre fille avec ses grosses lunettes, puis ce petit garçon aux bottes jaunes, disparu comme par enchantement. Plus personne ne vient au lac maudit, sauf ceux qui ont des voeux à lui faire exaucer.
Norah, elle, voulait une nouvelle vie rêvée, juste un peu trouble comme l’eau du lac : devenir quelqu’un d’autre. Une Claudia, reine de beauté du lycée au regard bleu saphir. Un simple petit arrangement, pas vraiment un mensonge.
Puis soudain une épaisse couche de poudreuse noire a recouvert les arbres. Le vieux Preston avec son sourire de squelette est sorti de son tombeau. Et, surtout, Richard Tyler est mort en se vidant de son sang. Les trois sorcières de la forêt, elles, le savent bien. Le lac tient toujours ses promesses. Il donne, il prend sous son eau qui s’éveille. À Dentown, ce qui vivait hier va devoir mourir.











