Thème « sœurs et frères : aîné, cadet »
Simon, alias Superlapin, est contrarié. Quand sa maman les a mesurés, lui et son petit frère Gaspard, elle a trouvé que Gaspard avait beaucoup grandi : trois centimètres ! Et Simon, un peu seulement : un ridicule centimètre. Du coup, Simon voit des injustices partout. Fâché ? Pas seulement. Triste aussi. Et au bord de détester Gaspard, le chouchou de la vie… Heureusement, au square, il suffit qu’un grand tente d’embêter Gaspard pour que Simon retrouve son rôle, sa place et son amour de frère le plus grand, le plus protecteur !
Simon adore la petite maison où il est né. La quitter pour une plus belle ? Impossible. Pas question. Pourtant, quand son petit frère Gaspard manifeste son inquiétude à son tour, Simon trouve les mots pour lui parler du déménagement.
Cette poussette est à Cléo Quichon, et à elle seule ! C’est sa propriété privée, sa chasse gardée. Que quelqu’un d’autre y touche sans autorisation, la pousse, s’y installe ? Pas question ! Évidemment, une poussette, c’est fait pour pousser les gens, c’est mieux s’il y a quelqu’un dedans…
Gaspard n’est pas content du tout. Être à la fois le petit frère de Simon et le grand frère de Suzanne, c’est vraiment pas facile. Trop petit pour aider papa à bricoler… trop grand pour attendrir maman et se faire admirer… Dégoûté, il se venge en faisant plein de bêtises. Et il en rajoute en accusant bébé chat. Pourtant, Gaspard a des idées et de la bonne volonté. Il suffit que le vent se lève et fasse voler les feuilles sur la clôture repeinte de frais pour qu’il ait l’occasion de le prouver !
Max adore sa vieille salopette bleue. « Cette salopette est dégoûtante ! » dit Marie, la soeur autoritaire de Max. Alors, avec l'argent que Maman a donné à Marie pour acheter une salopette à Max, ils partent tous les deux au Grand Magasin...
Aujourd’hui Simon et son petit frère Gaspard vont faire les courses avec leur mère au supermarché. Maman a été très claire : on achète à manger, et rien d’autre.
Les deux lapins font quelques tentatives devant les bonbons, les cartes Kikojun et les peluches Bloubiga : « Moi veux ça ! » Inflexible, Maman emplit son caddie de bons légumes, quand, tout à coup, elle aussi se met à hurler comme une folle…
Gaspard et son grand frère Simon ont passé une journée de rêve à construire une Méga Giga Grande Cabane trop stylée !
Mais c’est la nuit maintenant, et il faut dormir. Aïe ! Gaspard a oublié son doudou dans la cabane. Sans doudou, pas de dodo ! Que faire ? « Gaspard, va chercher ma cape ! » dit Simon.
C’est décidé. L’heure est grave. Il est temps pour Simon de révéler à Gaspard qu’il est Superlapin, un superhéros capable de braver les ténèbres pour rapporter son doudou à un petit frère sans défense...
Pendant que Simon, alias Superlapin, jouait aux billes avec son petit frère Gaspard, une odeur bizarre est montée dans la pièce. Très, très mauvaise, cette odeur. Elle venait de la couche de Gaspard. « Il faut aller sur ton pot ! » a dit Maman. « C’est pas moi, c’est Simon ! » a pleurniché et menti Gaspard. Simon est parti jouer chez son ami Ferdinand. Le soir au dîner, quand Simon raconte sa journée à la piscine, un endroit pour grands où les couches sont interdites, Gaspard est intéressé, et il a une bonne idée…
À Noël, c’est connu, le Père Noël descend du ciel pour apporter des cadeaux aux enfants. Simon et son petit frère Gaspard ont tout préparé avec leurs parents : un sapin décoré, un goûter pour le voyageur en traîneau et ses rennes. Mais aïe ! Il neige à gros flocons. C’est bien joli, mais si cette tempête empêchait le Père Noël de trouver la maison ? Simon et Gaspard sont très inquiets, auront-ils leurs cadeaux ? Vite, il faut aider le Père Noël…
Quand Raoul range sa chambre, c'est pour la mettre sens dessus-dessous l'instant d'après. Quand Raoul décide de faire la vaisselle, il transforme toute la cuisine en piscine. Un jour, Fred, son grand frère, en a vraiment assez : « Je te préviens, si tu fais encore une seule bêtise, je t'emmène chez le bûcheron ! » Mais on dirait bien que Raoul s'en fiche, de son frère, du bûcheron et du reste. Le lendemain, c'est la maison tout entière qu'il démolit. Est-il possible d'être si fâché contre son petit frère qu'on souhaite l'abandonner à un inconnu ? Qu'on puisse se dire : bon débarras ? Oui, parfois, quand on est vraiment en colère contre son petit frère, on peut dire et faire des choses pareilles. Mais s'il est malheureux, s'il est en danger, alors on n'a plus qu'une idée en tête : venir à son secours.
Léo, le grand frère d’Élia, a des oiseaux. Il en prend soin et les nourrit chaque jour. Pas question de les partager. Évidemment, Élia est fascinée par les oiseaux, et tentée de leur donner la becquée, elle aussi. Alors, quand Léo lui dit non pour la centième fois, Élia se venge en avalant les biscuits des oiseaux. « Tu vas te transformer en oiseau, des plumes vont te pousser et demain je te mettrai en cage avec les autres ! » maudit Léo. Aïe, ça gratte ! Élia a l’impression que c’est exactement ce qui est en train d’arriver…
Jules n'a pas très envie de jouer au football avec ses frères. Ni de faire du vélo. Lui, ce qui l'intéresse, ce sont les livres. Surtout les aventures de Supercochon, qui se bat avec fougue et ténacité contre le gros cancrelat rose. Évidemment, ses frères se moquent de lui. Ils pensent que les livres sont ennuyeux et ne servent à rien. Ils se trompent. Car si un loup s'approche avec des intentions malhonnêtes, les astuces de Supercochon peuvent se révéler extrêmement précieuses. En effet, cancrelat rose ou loup affamé, un méchant est un méchant. Mieux vaut courir vite et faire preuve de jugeote. Une folle poursuite s'engage. Heureusement que Jules connaît tout Supercochon par coeur. Et pour l'estocade finale, comment fait-on lorsqu'on ne dispose pas d'un « superpoing extractible à propulsion nucléaire » pour mettre le méchant K-O ? Ma foi, un bon livre bien lancé peut très bien faire l'affaire. À présent, même les frères de Jules le savent : la vie imite l'art.
Un jour Ernest, le petit lapin, trouva un livre et l'emporta chez lui. Son petit frère Victor, qui n'en avait jamais vu, lui demanda : « Un livre, ça sert à quoi ? », « Un livre, ça se lit », expliqua Ernest, « et si on ne sait pas lire, on regarde les images. Tiens, feuillettons-le ensemble. ». Ils s'installèrent et ouvrirent l'album...quand tout à coup surgit un renard. Les livres peuvent-ils, à l'occasion, servir à se défendre ?
Benny en a assez de rester enfermé. Son petit frère aussi veut sortir. « Veille sur lui, Benny », dit Maman Cochon. « Qu’il ne tombe pas à l’eau, surtout ! »
Au bord de la mare, Benny et son petit frère retrouvent leurs amis… Mais aussi leurs ennemis, dont l’affreux Marco Rulle qui pousse le petit cochon à l’eau. Heureusement, leur bien-aimée Klara est là . Elle se jette à l’eau pour le sauver et, ensuite, elle le serre contre elle pour le réconforter.
Le jour de son anniversaire, un petit chevalier reçoit par la poste un paquet-cadeau qui lui fait très plaisir. C’est un pistolet ! Grâce à lui, le petit chevalier se sent plus fort. Capable de traverser la forêt, de franchir tous les obstacles, de vaincre la bête tapie dans les fourrés ! Mais, pendant son périple, Mère Nature lui réserve une épreuve qu’aucune arme ne peut combattre, un nouveau cadeau encore plus rigolo, et une métamorphose qu’un tout petit chevalier ne pouvait pas imaginer. Même dans ses rêves les plus fous…
Même dans la préhistoire, il y a très très longtemps, le rêve des enfants, c’était de faire comme les grands. Louve a observé comment ses parents entretenaient le feu dans la caverne. Ce matin, elle est la première réveillée. Chouette ! C’est elle qui va s’en occuper. Pour ranimer les braises, il faut souffler, puis rajouter du bois coupé. Louve sait, mais voilà Ours, son petit frère, qui voudrait s’en mêler dès qu’elle a le dos tourné…