Thème « responsable »
Maman est partie faire des courses. Caramel et Lulu sont restés à la maison, au chaud. Mais Caramel s'impatiente : quand est-ce que Maman rentrera, dis, Lulu ? Caramel a beau attendre, compter jusqu'à 20, regarder la neige recouvrir l'arrosoir dehors... Toujours pas de Maman en vue.
Pendant que les parents ont le dos tourné et se gavent de tarte aux fruits, les bébés, en rampant, à quatre pattes, se sauvent. Heureusement, quelqu'un les a vus ! Un enfant, à peine plus grand qu'eux, tente de les protéger, tente de les ramener chez eux. Mais ce n'est pas facile, quand on est soi-même petit, de courir de montagne en grotte, et de grotte en taillis. Que faire quand les bébés ont soif? Que faire quand ils ont faim? Comment les empêcher de tomber de la falaise? Comment les faire redescendre de la corniche? Notre héros n'est pas prêt d'oublier cette folle journée! Théâtre de marionnettes en ombres chinoises, cet album mystérieux et poétique se déroule comme une comptine qu'on se plaît à chantonner.
En l’absence de sa maman partie faire les courses, Kika se réveille en pleurant. Aya, sa grande soeur, l’emmène jouer dehors. Mais tandis qu’Aya dessine tranquillement pour elle, Kika se volatilise. Maman partie, petite soeur partie… c’est trop pour une seule fille. Courage, Aya !
Aya joue à la poupée. Son grand frère en profite pour tenter de s'en aller en douce... Mais Aya s'en aperçoit ! « Où tu vas ? Je viens avec toi... »
Dans la collection Lutin Poche : « Viens jouer, Aya ! » et « Aya prépare le pique-nique ».
Il n'y a pas de doute, Albert, c'est un gentil petit gars. Seul GROS problème dans sa vie, il ne peut pas s'empêcher de mentir, de raconter n'importer quoi, ou de se laisser emporter par son imagination.
Ce que Chouchou préfère à la cantine, c’est le dessert. Mais aujourd’hui, l’affreux Gontrand lui a fait une sale blague pour lui piquer sa part. Chouchou est tout triste. Et Maman qui l’envoie chercher le pain de son goûter pour la première fois… Oh là là ! C’est compliqué de retenir ce qu’il faut dire ! Chouchou panique…Heureusement, il a faim, vraiment faim, trop faim ! Et son cri du cœur va sauver la situation… Aujourd’hui, c’est le jour du meilleur goûter du monde !
Quand la grande panthère noire part en chasse dans la savane, tout le monde s’enfuit. Les antilopes, en bondissant ; les singes, en donnant l’alarme ; les sangliers, en détalant.
Oui, tout le monde a peur. Vraiment tout le monde ? Non…Voici un tout petit humain, armé d’un tout petit arc, qui surgit entre les herbes hautes et regarde la panthère les yeux dans les yeux. Si fixement que l’animal recule doucement, puis déguerpit quand le petit humain décoche sa flèche. C’est bien lui le plus courageux de la savane !
Le roi et la reine n’ont qu’un désir : voir leur fils monter sur le trône et diriger le royaume. Mais cette mission semble être une bien lourde charge. Et si le petit prince avait d’autres envies, lui ?
Ce matin, papa sort faire quelques courses. Il confie la garde du phare à Mika, son petit garçon. Du haut de la passerelle où il est monté guetter les bateaux avec son ami Roscoff, le morse, Mika aperçoit une baleine. Elle s’approche, elle est très agitée. Que se passe-t-il ? Vite, Mika et Roscoff préparent un canot de sauvetage et leur matériel de plongée. Ils vont assister à un spectacle extraordinaire.
Maïmouna porte son bébé sur le dos, comme toutes les mamans africaines. Mimi, elle, porte sa poupée. Elle préférerait un vrai bébé.
« Si tu veux, j'emmène Angelo en promenade », dit-elle à Maïmouna.
Tandis que Nuno et son père redescendent vers la plaine, un rocher déboule du versant montagneux et vient s'écraser sur la tête du roi des animaux qui s'écroule, face contre terre. Alors, Nuno prend la couronne et la pose délicatement sur sa petite tête.
Quand Raoul range sa chambre, c'est pour la mettre sens dessus-dessous l'instant d'après. Quand Raoul décide de faire la vaisselle, il transforme toute la cuisine en piscine. Un jour, Fred, son grand frère, en a vraiment assez : « Je te préviens, si tu fais encore une seule bêtise, je t'emmène chez le bûcheron ! » Mais on dirait bien que Raoul s'en fiche, de son frère, du bûcheron et du reste. Le lendemain, c'est la maison tout entière qu'il démolit. Est-il possible d'être si fâché contre son petit frère qu'on souhaite l'abandonner à un inconnu ? Qu'on puisse se dire : bon débarras ? Oui, parfois, quand on est vraiment en colère contre son petit frère, on peut dire et faire des choses pareilles. Mais s'il est malheureux, s'il est en danger, alors on n'a plus qu'une idée en tête : venir à son secours.
Pips enfile sa chemise de nuit et se couche. Piiips ! Pips se précipite dans la chambre des parents. « J'ai soif ! » dit Maman. Pips lui apporte un verre d'eau puis se recouche. « Piiips ? » Pips se relève et va voir ce qui se passe. « J'ai perdu mon doudou », pleure Papa.
Max doit se faire une raison, jamais ses parents ne lui offriront le téléphone dont il rêve. C'est donc à lui de se débrouiller. Son idée géniale ? Avec son copain Tiago, ils vont frapper aux portes et demander un peu d'argent. S'ils expliquent qu'ils font une collecte pour une bonne cause, les gens les aideront. C'est aussi simple que cela. Et pour la bonne cause, ce n'est pas compliqué, il suffit de l'inventer…
Au Congo (ex-Zaïre), les eaux du Kasaï sont la seule école que fréquentent régulièrement Kumi et ses jeunes amis. Les cours qu'ils y reçoivent sont passionnants mais parfois dangereux : qu'il pêche du bord à la marmite ou au milieu de la rivière en pirogue, le mauvais élève risque ici beaucoup plus que cent lignes à copier. Quand rôde le terrible « ngando », la moindre inattention, la moindre faute peuvent vous coûter la vie.
Dominique Mwankumi [...] raconte avec vigueur et chaleur, un épisode de la vie en Afrique. Une démarche qui s'inscrit bien dans la ligne de la collection : des dessins réalistes et de vrais textes, pour non pas instruire les enfants mais leur donner à voir, et ainsi les faire réfléchir. (Lucie Cauwe, Le Soir, 4 mars 1998).
Ce jour-là , je suis rentré tout seul avec mon petit frère à la maison. Nous avons attendu Papa et Maman. Personne n’est venu.
Alors, nous avons construit une cabane. Une jolie cabane toute blanche, avec un mât pour le drapeau. J’étais fier. Je ne savais pas si nous allions pouvoir rester là quand nous serions grands. En tout cas, nous étions bien installés.