Thème « relation avec le père »
Robert a passé une très mauvaise journée. Il n'est pas de bonne humeur et en plus, son papa l'a envoyé dans sa chambre. Alors Robert sent tout à coup monter une Chose terrible. Une Chose qui peut faire de gros, gros dégâts... si on ne l'arrête pas à temps.
« Dis Papounet, tu nous racontes une histoire à grosse voix ? » demandent les trois petites grenouilles installées dans le grand lit. Papa doit d’abord échauffer sa voix, puis éteindre la lumière.
« Oh là là , quelle grosse voix, s’inquiètent les enfants. Où est mon doudou ? Et si on allumait une petite lampe… »
Nous retrouvons la petite cochonne, qui dans La porte ! tentait vainement de trouver la tranquillité dans la salle de bain.
La voici maintenant qui s’inspire d’un célèbre conte pour séduire son papa…
« Moi, j'aime bien pêcher avec Papa. Enfin, j'aimais bien... avant. Maintenant, je n'ai plus très envie. Mais je n'oserais jamais le dire à Papa. Ça lui ferait trop de peine. Il est si heureux de pêcher avec moi ! Alors, je fais semblant d'être content... »
Kino est un petit dragon très impatient de grandir. Quand on est grand, on peut faire des tas de choses passionnantes : cracher du feu ! voler dans les airs ! Mais son raisonnable papa lui dit toujours : « Plus tard. » Pourtant, à quelque chose malheur est bon, car, le jour où le papa de Kino tombe malade, il envoie son dragonou lui chercher le remède, une fleur rare qu’on ne trouve que dans les montagnes. Pendant sa traversée de la forêt, grâce à sa rencontre avec de méchants monstres, Kino va se découvrir une maturité insoupçonnée…
Tous les dragons savent voler et cracher des flammes. Tous sauf la petite dragonne. Pourquoi est-elle si différente de ses frères et sœurs ?
Karl et Lütti ont décidé de passer une après-midi au calme. Enfin, surtout Carl. Car pour Lütti, le calme est synonyme d’ennui… Heureusement, dans le jardin, la vie est là , qui pousse, pointe le bout du nez et caquette. Karl et Lütti l’apprivoisent un peu.
Un jour de promenade avec ses soixante-treize enfants, Papa Quichon avise une petite maison, là -haut, sur la colline. C’était mon rêve de jeunesse, leur avoue-t-il : vivre dans une telle maisonnette, regarder le soleil se lever le matin, se coucher le soir, et fumer une petite cigarette. Le bonheur. Forcément, les soixante-treize enfants veulent savoir à quoi ressemble le rêve de jeunesse de leur père et hop, ils grimpent dans la maison…
Aujourd’hui, c’est le jour des bâtonnets de poisson. Toni adore les bâtonnets de poisson. Il les avale d’un coup de dents. « Miam ! Super bon ! » dit-il en descendant de sa chaise. Papa répond : « STOP ! Tu n’as pas mangé tes petits pois. »
Toni déteste les petits pois. Et sa petite soeur Lina, elle, mange déjà sa glace.
Lola est une petite souris, un campagnol, qui veut s’instruire et comprendre : qui sont ses ancêtres ? Le monde est-il rond ? Comment apprendre à nager dans la rivière (et recevoir quand même une bouée en cadeau) ? Quel est le secret d’un jardin bien entretenu ? Comment savoir l’heure en observant les pissenlits ? Elle a de la chance : son papa est tout disposé à répondre à ses questions, et plus encore.
Aujourd'hui, Bob se met au dessin, et c'est son papa qu'il a décidé de dessiner. Mais est-ce que cela va plaire à Papa ? Rien n'est moins sûr !
Le papa de Carole lui propose une histoire toute douce pour l'endormir paisiblement. Une histoire de licorne ? Non merci ! Carole a passé l'âge des histoires gnangnans ! Une histoire de Grand Méchant Loup ? Son papa devrait savoir qu'elle est hyper sensible! Une terrible histoire d'ogre ? A-t-il oublié qu'elle est végane ?! Pourtant, il y a d'autres histoires que Carole aimerait entendre…
Aujourd’hui, Momo va dormir chez son ami Armand. Comme on s’amuse chez lui ! Après le repas, vite au dodo ! Armand s’endort pendant les devinettes, Momo est tout seul maintenant. « Je veux ma chambre, je veux mon papa ! » dit-il à la maman d’Armand.
Des naufragés à la dérive échouent sur une île perdue au milieu de l’océan. Mais est-ce vraiment une île ? Sans le savoir, ils ont embarqué pour un nouveau voyage…
Un papa ne se perd jamais. D'ailleurs, ce jour où nous étions en promenade, Papa et moi, quand tout à coup nous n'avons plus su où nous étions, Papa a dit : « Je crois bien que le chemin s'est perdu, il va falloir le retrouver. » Nous, nous avions cherché les chiens qui s'étaient sauvés, puis nous avions vu des cèpes, et d'autres champignons, et ensuite, nous avions trouvé des framboises. Mais perdus, non, nous ne l'étions pas. Papa m'a posé sur ses épaules. J'étais si haut que je pouvais voir l'autre bout de la forêt. C'est comme ça que nous avons retrouvé le chemin. Nous étions loin de la maison, la nuit arrivait, et j'avais un petit peu peur. « Prends ma main », a dit Papa. Il y a des moments dont on se souvient toute sa vie. Quand on est loin de la maison, qu'on est fatigué, qu'on a un peu peur et froid, c'est si bon de sentir autour de soi le manteau et les bras de son papa.
Quand un enfant se met à décrire son papa, les images qui lui viennent à l'esprit peuvent surprendre. Surprendre, oui, mais aussi amuser et surtout émouvoir. Particulièrement le papa en question.















