Thème « relation avec le père »
Boum! C’est difficile de marcher. «À bras Papa» demande bébé. Alors abracadabra! Papa se transforme et bébé se retrouve dans la poche du kangourou, sur le ventre du singe, dans la gueule du loup… Mais patatras ! C’est Papa qui fait boum!
C’est Bébé qui monte, qui monte sur les jambes de Papa. Oh hisse ! Sur les genoux de Papa. Et puis, c’est Bébé qui monte, qui monte tout là-haut sur le dos de Papa. Et encore plus haut sur les épaules de Papa, puis au-dessus de la tête de Papa… Youpi ! Pour un bisou tout là-haut !
Tap tap tap, voilà le petit lapin qui monte, monte, monte. Bam bam bam, c'est le petit crocodile qui monte. Boum boum boum, c'est le grand éléphant et tip tip tip, la petite souris. Petite Grenouille, elle, veut monter toute seule, hop hop hop. Il manque juste Papa, clop clop clop, pour un dernier petit bisou. Bonne nuit mes doudous !
Il fait nuit. Deux yeux brillent dans le noir. CRAC ! « Papa, le loup est là ! » CLIC ! Papa allume la lampe de poche. « Mais non ! C’est juste un escargot. Regarde comme il est beau ! »
Comme elles sont rassurantes les grandes mains de Papa. Ce sont elles qui sentent bouger bébé dans le ventre de Maman. Qui peuvent bercer son petit corps tout entier et rattraper le petit enfant qu’il devient, en bas du toboggan. Un seul des grands doigts de Papa suffit pour le guider. Jusqu’au jour où le petit n’en a plus besoin… Sauf pour les câlins !
Une série de six petits livres à regarder, à écouter et à sentir avec le tout-petit... Des livres qui racontent les bébés. Des livres qui rencontrent les bébés. Des livres qui parlent de la vie de tous les jours: les mots qui racontent les émotions partagées, les rires et les larmes...
Aujourd'hui, Lola est seule avec son papa. "On va bien s'amuser!" dit-elle. Mais son papa n'a pas envie de jouer, il est trop fatigué. "C'est toujours la même chose", marmonne Lola en montant dans sa bibliothèque. Alors Lola, à l'aide d'un drôle de livre caché dans un coffre en bois, va s'inventer des papas, des papas et encore des papas... 36 papas rien que pour Lola !
Le papa d'Alba est parti. « Savez-vous où il est allé ? » demande la petite fille aux fourmis. « Il nous a dit qu'il voulait voir la forêt », répondent-elles. Dans la forêt, Alba se retrouve nez à nez avec un éléphant. « Je cherche mon papa », dit-elle. Alors, l'éléphant la saisit avec sa trompe, la dépose sur sa tête et se met à courir en direction du lac...
Ce matin-là, près du rivage, tout autour de l’île, un brouillard épais s’est levé. Sitôt réveillée, Annette rejoint son père qui prépare son départ pour la pêche. La fillette attend le moment de porter pour lui son précieux filet. Annette est fière d’aider son papa. Lentement, la barque s’éloigne de la berge et Annette la suit du regard. Mais dans la maison vide, elle trouve le temps long.
Pendant les vacances, Tora et son papa iront camper au milieu des bêtes sauvages. Mais Papa est un peu ennuyeux. Il veut d’abord faire des courses, rouler longtemps en voiture… De plus, pour voir les bêtes sauvages, il faut regarder attentivement. Tora ne voit pas un seul animal. Papa regarde son GPS et ne voit rien non plus. Puis soudain, Tora voit l’anaconda, les 4 hippopotames, le lion, le troupeau de girafes… Mais son papa voit-il la même chose ?
Les autres disent que mon papa est mort. Moi, je crois qu'il est au ciel. Je pense à lui tous les jours. Et lui, est-ce qu'il pense à moi aussi ? Je l'attends. Ca fait longtemps maintenant qu'il est parti. Il a peut-être une nouvelle maison cachée dans les nuages ? Maman dit qu'il est toujours là, près de moi, dans mon coeur. Mais ce que je voudrais, c'est qu'il soit ici. Il me manque tellement !
« Chafi, c'est mon père. Il sait faire plein de choses incroyables : servir le thé à la menthe très haut sans renverser, parler deux langues, siffler entre ses doigts et surtout porter des sacs très très lourds ! Il est éboueur. Un jour, moi aussi je serai éboueur ! »
« Comme mon père me l’a appris, je me suis levé tôt et j’ai réveillé la lampe assoupie.
Comme mon père me l’a appris, je me suis habillé et j’ai choisi mes armes avec soin.
Comme mon père me l’a appris, j’ai attelé les chiens au traîneau et je suis parti en direction du vieil inukshuk. »
Gini ne veut pas être grand. Il aime trop se blottir dans la douce fourrure de sa maman, boire son lait tiède et se promener agrippé à son cou. Mais un jour, son papa le prend fermement par le bras et l'entraîne dans la forêt.
Julie est fâchée contre son papa. Il a quitté la maison et Julie ne voulait pas. Mais c'est comme ça... Alors, Julie a dit à son papa : « Je ne veux plus te voir ! Jamais ! »
L’Ogre était rustre et devait bien peser le poids d’un boeuf charolais. Son crâne était chauve depuis longtemps et la longue barbe qu’il portait souvent mal peignée était toujours sale. Le fils de l’Ogre, quant à lui, avait un coeur sensible et délicat. Le père avait un appétit d’Ogre et cuisinait merveilleusement. « Tu es le fils de l’Ogre et un Ogre qui se respecte mange des enfants ! »















