Thème « relation fille, garçon »
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
Cousa n’aime pas trop raconter. Aussi, quand sa grand-mère, au repas du soir, lui demande si elle a passé une bonne journée, elle répond seulement : « Oui, grand-mère, très bonne. »
En fait, c’est une première journée de vacances extraordinaire que Cousa vient de vivre. Ses frères ne voulaient pas jouer avec elle ? Tant pis. Elle est sortie, elle est allée jusqu’à la rivière, elle s’est baignée et, là, un ours géant est arrivé, et il s’est approché tout près… Mais ça, c’est son secret.
« Dis, Papa, donne-moi une histoire qui soit une aventure ! » Pas de problème, Papa a plein d’histoires à inventer. Des histoires de chevalière, de soldats qui veulent faire la guerre. Et Papa est toujours là pour trouver le dénouement, parfois même à ses dépens.
Castor-Têtu est à la recherche de la squaw idéale. Se pourrait-il que la bien-nommée Fleur-de-Cactus fasse l'affaire, elle qui ne correspond à aucun des critères indispensables ?
La Princesse Rosebonbon a une chambre de princesse, un lit de princesse, des chaussures de princesse, et une robe de princesse. Elle a même des cheveux de princesse. Mais elle n’a pas de prince charmant.
Au fait, est-ce réellement l’ingrédient qui manque à son bonheur d’enfant ?
Mine veut faire du foot ! « Mais c’est un sport de garçon ! » lui dit Poka.
« Oui, et alors ? » Poka inscrit Mine à un club, lui achète des protège-tibias et des chaussures à crampons.
Pendant l’entraînement, les garçons ne sont pas tendres avec elle. « Un peu de nerf, Mine », dit l’entraîneur. Mine aimerait bien pleurer mais elle n’y arrive pas.
" Le skate, c’est pas pour les filles ! " a décrété Ferdinand en se jetant sur celui de Simon, que Lou voulait emprunter poliment. Quel culot ! Bientôt les deux garçons se lancent dans un duel acharné, et tombent, et se moquent, et se disputent... Mais pendant ce temps, qui récupéré le skate calmement et donne à cette brute de Ferdinand une leçon de style avant de lui clouer le bec ? SuperLou bien sûr !
Un garçon amoureux, il s'appelle le Futur, pleure sa fiancée partie à l'autre bout du monde. Une fille le console en lui disant qu'elle est juste derrière lui, puisque la Terre est ronde. Le garçon ne la croit pas, mais il est intrigué, il s'approche et hop ! la fille lui vole un baiser. Ça ne se fait pas ! Il exige qu'elle aille le porter à sa fiancée. La fille est d'accord à condition qu'il l'élance. Il le fait. Mais ce baiser, qui sait jusqu'où il ira et qui l'aura ?
"Pourquoi la beauté ne fait-elle pas partie des droits de l'homme ?" se demande Hoch, ainsi surnommée à cause de sa taille imposante. Et comment faire pour supporter les journées qui se ressemblent toutes, quand on ne rêve que d'amour absolu et de feux d'artifice ? Hoch, la narratrice de cette histoire presque vraie, est une guerrière douce, émotive, convaincue du triomphe ultime de la vérité et de la raison dans un monde violent, masculin et injuste. Ce livre raconte ses combats et ses amours, l'entrée dans le jazz-band du lycée, une fugue, des déboires et des merveilles, avec une émotion communicative et pudique, une inlassable passion de vivre.
Alyan est un petit garçon. Pourtant il préférerait être une princesse ou une fée, avoir des cheveux longs et des vêtements roses. Sa mère s’inquiète, son père ne voit rien. À l’école, on se moque de lui, on l’insulte, on le frappe. Il essaie de s’échapper en faisant de la magie, mais ça ne marche pas toujours. Seule sa soeur Nina est consciente de son chagrin. Elle est décidée à le défendre envers et contre tous. Jusqu’où ira-t-elle pour protéger son frère ?
ALYAN : Pourquoi t’es une fille ?
NINA : Je ne sais pas.
ALYAN : Pourquoi tu sais pas ? Qui choisit alors ?
NINA : Moi. C’est moi qui ai choisi.
ALYAN : T’as eu le droit de choisir, toi ?
NINA : Je me suis concentrée, j’ai fait l’imagination et ça a marché.
ALYAN : C’est quoi la magination ?
Si Jonas n'avait pas eu si peur que son ami Grégoire vienne chez lui et voie l'appartement dans lequel il vit, il ne lui aurait sans doute jamais proposé d'aller regarder les filles à la sortie du Lycée. Et Grégoire ne serait jamais tombé amoureux de Melle X, qui porte un manteau rouge et fume la pipe. Et rien ne serait arrivé. Peut-être que personne n'aurait découvert le secret de Berriau, le prof de latin que tout le monde hait.
Tout le monde sauf Jonas. Parce que Jonas a, lui aussi, un secret. Il sait que les gens sont faits pour vous surprendre, et les idoles pour vous décevoir. Il a aussi compris, en regardant brûler des cahiers dans la cour, un jour de mai, qu'il se méfiait des révoltes. Et qu'il était idiot de vouloir sauver quelqu'un contre son gré.
Loïc connaît un arbre magnifique auprès duquel il va se réfugier, seul. Pourtant, quand il rencontre Ariane, il est si troublé qu'il l'invite. Elle ne ressemble pas à celle qu'il imaginait, elle est si brusque ! Elle prend peu à peu possession de l'arbre, elle y suspend un poisson rouge, elle y fait une cabane. Loïc est furieux, c'est son arbre, après tout. Ce que ne sait pas Loïc, c'est que les arbres ne sont pas éternels. Ce qu'il ne sait pas, c'est que les filles brusques sont aussi fragiles.
Léa et Tom ont grandi. Ils viennent d’avoir quinze ans. Il est loin le temps où Léa soutenait son frère quand il se battait pour porter des shorts à l’école primaire. Maintenant, quand Tom s’élève contre les stéréotypes liés à son genre, Léa n’est plus derrière lui. Si elle veut retrouver leur complicité d’hier, elle va devoir faire des efforts pour se mettre à la place de Tom et comprendre ce que vivent les garçons de son âge. Il y a du boulot ! Entre le female gaze omniprésent, la culture du viol, le harcèlement de rue, les injonctions vestimentaires… Tom subit un sexisme encore plus fort que lorsqu’il avait dix ans !
Ça fait maintenant quatorze ans qu'Alexa Victoire Hannibal, dite Alex, est un garçon manqué. La nuit de sa naissance, elles étaient huit femmes de la famille à guetter la merveille, le prodige, le miracle promis par l'échographie : le premier garçon depuis des siècles dans une lignée exclusivement féminine. Mais tout le monde peut se tromper, même les échographies. Alors pendant toutes ces années, Alexa s'est appelée Alex, a joué au foot, s'est baignée en T-shirt, est devenue la reine du roller et a souri quand on lui disait : « Bonjour p'tit gars ! »
Or, depuis quelques jours, en se regardant dans son miroir, Alex commence à se demander à quoi ça ressemblerait d'être une fille, une vraie fille, une fille réussie. L'éveil du printemps, en quelque sorte. Mais comment le dire ? Et à qui ? Et pourquoi ? Et à quoi bon ? Et après ? Alex a su patiner à deux ans, avant de parler. C'est ce qu'elle adore dans les patins, rollers, snake-boards et autres quads : ils sont un langage à eux tout seuls. Quand on glisse, le vendredi soir, le long de l'avenue d'Italie, on peut se taire. Les arabesques en disent long. Les pleins et les déliés des mouvements sont plus éloquents que des phrases. Surtout quand on sait trop bien ce qu'on voudrait crier à la terre entière, et plus particulièrement à Abdel Leroy-Merlin, le pote de toujours, qui lui ne sait pas patiner d'ailleurs. Mais qui écoute et qui observe. Le problème, si Alex se change subitement en fille, comme un vieux crapaud en princesse, c'est que ça va se voir et se commenter, dans la cour du collège où les langues de vipère passent leur temps à décortiquer la vie privée des filles. Le problème, si Alex ne fait rien, c'est qu'elle sera toujours privée de la vie privée des filles. Mais il arrive que le hasard, le printemps et les rollers arrangent quelque peu les choses.
Au château de Monseigneur, l’atmosphère n’est pas à la fête. Une guerre se prépare et Monseigneur est bien décidé à la gagner. Mais avant de la mener, il prend deux décisions. Sa fille Christine sera enfermée dans un couvent ; quant à son fils adoptif Thibault, il l’accompagnera sur le champ de bataille. Telle est sa volonté et malheur à celui qui songerait à s’y opposer. Or Christine, l’intrépide, refuse d’étouffer sous un voile et Thibault, le sensible, refuse de verser le sang.
Et s’ils changeaient de rôle ?
THIBAULT : Nous devons obéir
CHRISTINE : Pourquoi ?
THIBAULT : Je ne sais pas
CHRISTINE : Prends ma place alors. Obéissons chacun à la place de l’autre. Va prier toi tu as le coeur si pur. Je garde ton épée moi. Et je tuerai tant d’ennemis. Que mon père à nouveau me verra
Consultez le dossier « Pièce (dé)montée » sur le site Canopé
La famille de Pauline, c’est très simple : une arrière-grand-mère, une grand-mère, une mère et une fille. Quatre femmes, quatre filles uniques, quatre célibataires.
Pas d’homme. Les hommes sont des ennemis, des traîtres, des absents.
On s’en passe ! Ce discours officiel n’a pourtant pas empêché Pauline de tomber amoureuse d’Oliver. Se passer des garçons ? Quel dommage… Elle en est curieuse, au contraire.
Gourmande. Avide. Les problèmes commencent le soir où le conseil de famille se réunit pour lui annoncer un secret, une vérité qui dérange. Ou plutôt deux. Son père est un extraterrestre !
Et toutes les filles d’extraterrestres qui se respectent, arrivées à l’adolescence, deviennent des garçons…