Thème « prince, princesse »
Il était une fois une princesse qui était nulle. Nulle en tout. Elle était nulle en cuisine. Elle était nulle en dessin. En calcul, elle était archi nulle. Elle était complètement nulle en orthographe. Et en lecture, ouh là là ! qu'est-ce qu'elle était nulle ! Même ses jouets, elle ne savait pas s'en servir. Le jour vint où il fallut songer à lui trouver un mari. Evidemment, il ne fallut guère de temps aux princes des royaumes voisins et pas voisins pour s'apercevoir combien cette princesse était nulle. Ses parents, démoralisés, décidèrent de faire une pause et de partir en vacances. Sans elle. C'est alors que le miracle se produisit. Car au fond, peut-être cette princesse n'était-elle pas si nulle que ça. En tout cas, pas pour tout le monde.
À sa naissance, la princesse Harmonie semblait promise à un destin sans nuage, et le royaume tout entier s'en réjouissait. Seule la sorcière savait que la petite princesse aurait une jeunesse tourmentée. Tourmentée à cause de ses pieds, qui seraient beaucoup, beaucoup trop grands. Mais la sorcière savait aussi que, le jour venu, elle seule pourrait venir en aide à la princesse.
Que faire quand on est une princesse avec des petits doigts affreusement boudinés ? Renoncer à se marier et pleurer dans son château ou aller chiper les doigts de la Belle aux super doigts dans la forêt voisine ? Accompagnée de son fidèle Mon Chien, un serviteur zélé, la princesse s’enfonce dans la forêt des contes perdus, peuplée de personnages de seconde zone. Arrivera-t-elle à transformer son petit doigt Chipolata en auriculaire princier ? Réussira-t-elle les épreuves de stupidité, de débilité et de crétinerie ultime ? Rien n’est moins sûr, car pour y parvenir elle devra laisser son intelligence de côté, et la princesse est aussi intelligente que ses doigts sont boudinés.
Pivoine est une princesse, une vraie. Comme en plus elle travaille bien en classe, on l’imagine entrer dans une de ces écoles d’élite pour devenir quelqu’un de très important, qui parle d’« évaluation » et de « croissance ».
Mais les mots qui font rêver Pivoine sont très différents : il s’agit d’« aspirateur » ou de « fer à repasser ». Ce qu’elle adore, c’est ranger la chambre de ses amies, faire son lit ou vider le lave-vaisselle… Une princesse qui fait le ménage ! Inutile de dire que ses royaux parents ne sont pas du tout d’accord…
Dans un château au beau milieu d'une forêt régnait un roi dont la grande passion était de mettre des oiseaux en cage. Il avait même promis la main de sa fille Albertine à celui qui lui apporterait le plus bel oiseau du pays. Cet oiseau, c'était Grand Corbeau, qui était bien trop malin pour se laisser attraper. Le roi le savait, mais cela lui était égal car plus les jours passaient, plus ses cages se remplissaient d'oiseaux de toute sorte sans qu'il eût besoin de donner la main d'Albertine. Une nuit, Grand Corbeau décida de donner une bonne leçon au roi : il enleva Albertine.
Lors d'une escapade en forêt, la princesse Lila - fille du roi - contrarie le peuple des insectes. Du coup, ceux-ci se fâchent et s'en vont. C'est la pire des catastrophes. Sans les insectes, qui s'y activent jour et nuit très utilement, la forêt se meurt. Et dans une forêt morte, les hommes ne peuvent plus vivre... La coupable réussira-t-elle à réparer ses torts et à restaurer les équilibres naturels ? Elle doit faire vite. Chaque jour compte. Heureusement, ses deux marraines vont lui venir en aide, et ce sont des marraines qui ne ressemblent à nulle autre.
Petit Ours se promène à vélo dans le bois. Il s'approche d'un étang pour se rafraîchir lorsqu'une petite voix l'interpelle : « Bonjour ! Je suis la princesse Grenouille. »
« Grenouille, certainement, mais princesse, ça m'étonnerait vraiment ! » répond Petit Ours.
« Il était une fois... » Cette histoire de prince et de princesse commence comme toutes les autres. Elle commence dans un royaume magnifique sur lequel règne un roi généreux et juste. Elle commence au milieu de plantes grasses et vertes, d'animaux bariolés, d'habitants joyeux et heureux de vivre dans leurs parures brillants. Mais cette histoire se poursuit bien différemment la nuit où une terrible tempête détruit le royaume. Cette nuit-là, la fille du roi est née. Dans le secret. Depuis personne ne l'a jamais vue. On dit qu'elle reste enfermée dans le plus haut donjon du royaume. On dit qu'elle attend le jour de ses noces pour se dévoiler à son époux et à son peuple. On dit... Mais on dit beaucoup de choses : lisez plutôt la suite !
Le prince Désolant est tombé fou amoureux de la princesse Poussiéreuse. Dès qu’il l’a vue apparaître dans un nuage de poussière, un balai à la main, il est parti tuer un ours pour le lui offrir. La princesse a trouvé cela beaucoup plus original que des fleurs et lui a immédiatement donné son coeur. Mais l’amour ne suffit pas, le prince Désolant et la princesse Poussiéreuse ont un problème : les écureuils qui hébergent le prince dans leur arbre sont allergiques à la poussière…
Prenez une gentille princesse, maîtresse d’école, mettez à ses côtés un vieux dragon protecteur et acariâtre… et posez-vous la question capitale : comment diable l’intrépide chevalier pourra-t-il conquérir le cœur de la dulcinée ? Ah, mais sachez qu’un chevalier vient TOUJOURS à bout de ses défis !
Avant sa naissance, Princesse est frappée d'un sort imaginé par la terrible sorcière Dysplasia... qui la transformera petit à petit en statue. Heureusement, Princesse est une enfant joyeuse qui ne se laisse pas abattre. De plus, elle a un frère qui refuse de reculer devant l'adversité.
Un jour, le roi dit à son fils : « Tu es grand, maintenant. Il est temps que tu aies ton propre château. » Et il lui montre la tour qu'il a fait construire pour lui.
« Hm, hm. Mais je ne veux pas rester ici, dit le prince. Un dragon pourrait facilement y entrer... »
Dans la famille de Jean, on est corsaire de père en fils et l'on écume les mers au service du roi. C'est plus dangereux que d'aller à l'école. A neuf ans, Jean embarque comme mousse et l'aventure commence : poursuites canonnades et abordages. « Mort aux Anglais ! » crie Jean avec ses compagnons d'armes. Mais un jour, il rentrera chez lui à Saint-Malo, où l'attend Toinette, la « fille des fées », qui lui a juré un amour éternel. Et ils se marieront. Et il ne sera plus question de faire la guerre.
Il était une fois un prince dont le meilleur ami était un cochon. L’amitié de ce cochon lui était d’un grand réconfort, car jusqu’à présent l’amour ne lui avait jamais souri. Mais la compagnie d’un cochon, même très sympathique et altruiste, ne risquait-elle pas de réduire encore les chances de séduction du prince ? Comme ils ne veulent pas se séparer, prince et cochon mettent au point une stratégie. Cette stratégie est excellente.
La chance suivra-t-elle ?
Louise et ses camarades fées ont contrôle de transformation. Elles vont devoir transformer leur nounours en poisson rouge ou leurs biscottes en gâteau d'anniversaire. Normalement, tout le monde peut y arriver. Mais aujourd'hui est une journée particulière. Louise a un affreux secret sur sa meilleure amie. La maîtresse est complètement débordée par les coups du destin et de la magie. Et des crapauds frappent à la porte de la classe, les yeux brillants d'espoir.
Ils sont nés dans un couple royal sans enfant, grâce à l’aide d’une inventrice et d’une sorcière. Chaque jour, le robot de bois doit réveiller, avec une formule secrète, sa sœur la princesse qui se transforme en bûche dès qu’elle s’endort. Un matin, il oublie et une servante jette la bûche par la fenêtre. Pour retrouver sa sœur et rattraper sa bêtise, le vaillant petit robot est prêt à traverser la terre entière jusqu’au Pôle Nord, et même à donner sa vie...