Thème « physique, chimie »
Galilée lui a tout appris : à lire, à écrire, à observer les étoiles, à calculer leur course... Alors, ce n'est pas aujourd'hui qu'il est affaibli par l'âge, la cécité et surtout sa condamnation par le tribunal de l'Inquisition qu'Angelo va laisser tomber le vieux professeur. Oui, le génie a osé braver l'interdit de L'Église en démontrant que la Terre tourne autour du soleil ! De protégé, Angelo le jeune berger toscan devient protecteur du savant, en emportant en cachette jusqu'aux Pays-Bas le manuscrit interdit de Galilée, le Discours sur les deux sciences nouvelles, le premier livre de physique du monde, pour le faire imprimer librement...
Ce livre est l'odyssée des grands aventuriers, des grands découvreurs, des grands savants qui ont affirmé un peu trop tôt pour leur époque qu'il devait bien y avoir quelque chose au bout de l'océan, que le ciel ne tournait pas au-dessus de nous, mais que c'était bien la Terre qui tournait sur elle-même parce qu'elle était ...ronde ! C'est aussi un livre sur ces moments de l'Histoire où l'on prenait les génies pour des fous ou pour des sorciers. Des fous et des sorciers sans qui nous serions peut-être encore persuadés que notre Terre est plate...
Les auteurs du Mystère du corps humain relèvent un nouveau défi : nous initier aux splendeurs vertigineuses de l’Univers. Avec ses 523 infos époustouflantes, sa recette du cake aux myrtilles, sa photo de l’Univers bébé, ses blagues qui aident à comprendre ce qui est complexe et sérieux et ses dessins pour entrevoir l’invisible et rêver à l’infini, ce livre illustre la formule fameuse : « un mystère n’est pas quelque chose qu’on ne connaîtra jamais, c’est quelque chose qu’on n’en aura jamais fini de connaître. »
Une vie pour la science, une science pour la vie. En ce vendredi d'octobre 1891, la gare grouille de monde. Mania Sklodowski vient seule en France rejoindre sa soeur Bronia. Elle part loin de la Pologne et de la domination russe vers une vie possible. Une vie d'études, le nez plongé dans les livres. À vingt-quatre ans, elle pourrait être comme n'importe quelle jeune fille avide de connaissances parmi les douze mille étudiants de la Sorbonne. Une jeune fille à nouveau perdue dans la foule. Mais cela serait mal connaître Mania. Elle s'appelle maintenant Marie, elle accumule les premiers prix universitaires, elle se marie avec un certain Pierre Curie et, à force de recherches, elle fait la découverte du radium. Toute son existence s'emballe. Les honneurs pleuvent, les journalistes du monde entier souhaitent l'interviewer, la gloire ne lui laisse plus de répit. Marie Curie veut seulement vivre pour son travail. Toujours aller plus loin. Alors que la Première Guerre mondiale éclate, elle décide de mettre en place un système de radiologie mobile. Il lui faut de l'argent, des moyens. Alors Marie Curie découvre le pouvoir de son nom.
À la verrerie de Goetzenbruck, dans le nord des Vosges, le travail est rude mais magique. Tout au long de l’année, la fabrique expédie ses fameux verres de montre et de lunettes aux quatre coins du monde. En cette veille de Noël, c’est plus beau encore : les souffleurs façonnent boules et pommes de pin pour la décoration des sapins. Deux jeunes débutants, Charles et Stefan, vont avoir le droit, cette année, de pratiquer le « bousillage », c’est-à-dire de fabriquer des objets pour eux-mêmes avec du verre fondu, et de manier pinces et mailloches. Ils vont même avoir le privilège d’entrer avec le père de Charles dans l’atelier d’argenture, où le chimiste oeuvre en secret à transformer les boules en miroirs…