Thème « peinture »
Un trait magique, des couleurs vives, un brin de folie pour 4 albums tout-carton qui s'amusent drôlement à malmener la réalité pour le plaisir des tout-petits...
Voir aussi : « Ma petite fille est toute petite » ; « Je voudrais un petit garçon »; « La mer est très mouillée »
Le grand frère de Yoshimi avait une belle boîte de couleurs et un grand carnet à dessins. Moi aussi, je veux peindre, disait Yoshimi. - Tu ne peux pas, ce sont de précieuses couleurs magiques !
Grand Lapin habite une gigantesque maison, Petit Lapin une minuscule. Grand Lapin a de très longues oreilles, Petit Lapin de très courtes. Grand Lapin porte des tee-shirts XL, Petit Lapin des XS. Quoi qu’il fasse, Petit Lapin est plus petit que Grand Lapin…
La petite souris Ludivine découvre la peinture par hasard, au détour d’un déménagement. Sa nouvelle passion pourrait mettre toute sa famille en danger. Attention, Ludivine !
Ce matin, Léo trouve un petit mot de son ami Art : « Mon cher Léo, j'ai ressenti le besoin de prendre un peu l'air. Je pars quelque temps. Prends soin de toi. À bientôt. »
Léo fixe la feuille de papier. Il décide de sortir marcher. Tous les jours, il peindra le portrait de son ami. Ainsi, il sera toujours avec lui.
Un nuage suit Marcel dans le ciel, comment échapper à cette traque peu ordinaire ? Après quelques vaines tentatives, Marcel va finalement découvrir qu’une peur affrontée est une peur surmontée.
Marius, le peintre, est un éléphant très poli. « Veuillez accepter mes plus plates excuses, dit-il à Dame Coccinelle qu’il a failli écrabouiller. Puis-je vous inviter à prendre une tasse de thé ? » C’est ainsi que leur amitié se noue. Milady Coccinelle chante des airs d’opéra à Marius et Marius peint Lady Coccinelle. Et lorsque Coccinelle est prise au piège d’une toile d’araignée et que Marius est saisi par la fièvre, leur dévouement n’a pas de limite.
149 mots, d'Aigle à Zèbre, illustrés par les détails de 149 tableaux de grands peintres, de Jérome Bosch à Picasso
Qu’est-ce qu’une oeuvre d’art, un beau dessin, un tableau réussi ? Les avis sont partagés.
Pour Paty, qui a préparé son expo à la dernière minute en faisant poser ses amis, c’est l’horreur. Aucun ne se trouve ressemblant, ils partent tous fâchés en poussant des cris ! Elle a envie de tout annuler. Heureusement, Michou le galeriste le lui interdit. Car le jour du vernissage, Paty va avoir une surprise…
Un superbe recueil de poésie peuplé de loups, de chats, de fourmis et d'oiseaux de toutes sortes, illustré par des oeuvres de Paul Klee, Marc Chagall, Man Ray, Fernando Botero, Hans Erni, Francine van Hove...
Il a peint des jungles luxuriantes, des couchers de soleil tropicaux, des charmeuses de serpents sous la lune, des combats de bêtes féroces, mais n’est presque jamais sorti de Paris. Il a été calomnié de son vivant, moqué, boudé, exclu des expositions officielles, et même accusé d’escroquerie, mais des poètes comme Apollinaire et Alfred Jarry, et ses jeunes confrères Picasso, Braque, Léger et Delaunay lui trouvaient du génie. C’est en hommage à son caractère et à son style qu’un courant de peinture a été qualifié de « naïf ». Alors qui mieux qu’un enfant pouvait nous faire approcher le Douanier Rousseau ? Driiiing ! Sa petite voisine Charlotte sonne à sa porte, et le voici qui vient ouvrir…
L'oeuvre d'Eugène Delacroix suscite le rêve. Les sujets qu'il traite sont puissants, ses personnages vivants et ses couleurs créent des atmosphères, miroirs des sentiments humains. Après avoir recherché les sources d'inspiration du peintre, allant de Chateaubriand à Byron, l'Arioste, Goethe, fouillant dans son journal intime, dans les notes de son voyage au Maroc, Colette Hellings raconte une histoire pour chaque tableau. Elle exprime ses émotions, l'impuissance face à la douleur de Marguerite, l'émerveillement du Natchez devenu père, la révolte devant l'enlèvement de Rebecca et évoque les ambiances exotiques et les subtils parfums du Maroc. Une invitation à la découverte et redécouverte des tableaux d'Eugène Delacroix.
Juan de Pareja raconte son enfance et l'étrange destin qui le fit esclave et artiste-peintre promis à la postérité. Devenu le serviteur et l'ami de Vélasquez, qui refuse de lui enseigner son art, il sera pourtant son élève en secret.
À vingt et un an, le peintre Ugo Dolfi est déjà célèbre, et comme il aime passionément la belle Nadéja et en est aimé, un avenir radieux semble s'ouvrir devant lui. Mais soudain, avec la disparition tragique de la jeune femme, sa vie se déchire. Muré dans la douleur et la solitude, il peint farouchement et, grâce à son art, il tente de rejoindre l'image de celle qu'il n'a cessé d'aimer. Jusqu'au jour où, mystérieusement, il passe à travers l'un de ses tableaux, et se retrouve dans un château perdu au coeur d'une forêt. Dans ce lieu hanté de personnages étranges, et où le fascine le portrait de la comtesse Isabelle, la jeune femme à la rose, une quête ardente commence. Faut-il croire Franz Kramer, l'énigmatique châtelain, lorsqu'il déclare que la frontière entre les vivants et les morts est poreuse, et que l'amour et la passion de la beauté peuvent accomplir des miracles ?
Une petite fille s’ennuie, trop seule dans l’appartement familial. Son père, imprimeur, vient d’acheter de nouvelles machines et doit travailler dur, ainsi que sa femme. Un chat blanc s’inquiète, perdu dans les rues après le déménagement de son maître, le peintre Félix Vallotton, membre du groupe d’avant-garde des Nabis. Mais le hasard fait bien les choses. Le chat gratte à la porte de la petite fille. Après des jours d’hésitation et d’enquête, elle se décide à rapporter l’animal à son propriétaire. Elle l’ignore encore, mais une formidable récompense l’attend : elle va fournir un travail très bien payé à son père et procurer un excellent imprimeur-graveur au peintre ! Et peut-être aussi gagner un chat bien à elle ?
C’est l’histoire d’un petit garçon bavard, curieux et un peu triste.
Bon élève, il aurait pu étudier le droit ou la médecine. Mais, dans l’Italie du XVe siècle, lorsqu’on est un bâtard, le fils d’un notaire et d’une fille de ferme, on doit vite apprendre un métier. Léonard de Vinci aime dessiner. Parfait ! À seize ans, on l’envoie en apprentissage à Florence, chez un artisan peintre.
Dix ans plus tard, Léonard est le peintre le plus doué de sa génération. Les commandes pleuvent. Mais, il traîne à finir ses tableaux. Parfois, il ne les finit pas du tout. Et, les clients perdent patience. C’est que Léonard a d’autres idées en tête. Des projets un peu farfelus qu’il consigne dans ses carnets : un char d’assaut, une bicyclette, un sous-marin… Car, l’auteur de la Joconde se voyait ingénieur, inventeur, fabricant d’armes… Tout sauf le plus grand peintre de la Renaissance.
Avec un vrai talent pour faire vivre le passé, Sylvie Dodeller dévoile ici, comme elle l’a déjà fait dans la biographie de Molière, la petite histoire cachée sous les aspects quotidiens de la vie. Dans un style précis et accessible, elle parvient à rendre humain un personnage énigmatique, considéré comme l’un des plus grands génies de notre histoire. Chaque chapitre regorge de détails et dévoile de façon vivante la période de la Renaissance. Les livres de Sylvie Dodeller sont à l’opposé des livres d’histoire figés dans le temps.