Thème « orphelin, orpheline »
Jack est un méchant garçon. Il est petit, sans maison, sans maman, mais aux yeux de tous, il est surtout un méchant garçon. Il ne va pas à l'école, il dort dans les églises et il erre de portes en portes, sans savoir où aller. Le jour où de terribles géants mortels commencent à semer la terreur dans la région, Jack est accusé d'être le responsable de ce fléau. Il accepte de partir pour sauver le village. Sur sa route, il croise un petit homme amusant qui lui offre un haricot magique. Jack doit faire un voeu. Un voeu unique et capital pour le monde.
Il y a de cela fort longtemps, au coeur de la vieille ville de La Rochelle, il y avait un orphelinat. Là vivait Gervaise, une jeune fille de onze ans qui s’ennuyait affreusement terriblement. Or, cher lecteur, d’ici quelques pages, Gervaise va faire une rencontre des plus exceptionnelles. Bientôt, elle filera de toit en toit dans la nuit, cheveux aux vents, affrontant les pires dangers aux côtés des fiers brigands de la Compagnie des Griffes, lançant dans la nuit leur célèbre cri de ralliement : « Chassons, chats, avec chance et panache ! »
Chez les Dumordu, on est fermier de père en fils. C’est ce qu’Archibald Dumordu a déclaré à son fils Douglas, juste avant de mourir. Malheureusement, il n’a rien eu le temps de lui dire d’autre. Douglas veut bien devenir fermier, mais il ne sait pas traire les vaches, il croit que les carottes poussent dans les arbres, et ne peut conduire le tracteur qu’en marche arrière. Les fermiers des alentours se moquent tous de lui. Le père Tropenjus, c’est certain, ne voudra jamais qu’il épouse sa fille, la charmante Miranda.
Heureusement, il y a une chose que Douglas sait faire, c’est parler aux animaux. C’est une chance, car dans son poulailler, il y a un poulet qui s’appelle Ernest, un poulet merveilleux, qui peut transformer sa vie.
Valia, la petite orpheline, est mousse à bord de L’intrépide, le célèbre navire du corsaire Basile le Brave. Son quotidien n’est pas de tout repos entre faits d’armes et aventures à travers les mers. Valia veut être forte et courageuse à l’image du capitaine. Une mésaventure va lui faire découvrir une autre facette de Basile : un secret à chérir précieusement.
Il était une fois trois vilains brigands... dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle fit... des bienfaiteurs de l'humanité.
L'ogre avait eu vent de l'existence de trois jeunes enfants qui vivaient seuls dans une petite maison près du delta du fleuve. Cherchant à s'y introduire, l'ogre fit le tour de la maison. Il descendit tout entier dans la cheminée puis se retrouva complètement bloqué. L'ogre était pris au piège...
Une renarde trouve un renardeau orphelin. Elle le console, le nourrit et finalement décide de l'amener dans sa tanière où l'attendent ses trois petits. En route, la renarde et son protégé affrontent bien des dangers. Enfin ils arrivent à la tanière. Le renardeau est vite adopté par les trois autres. Le lendemain, quand maman renarde veut présenter son nouveau fils à sa voisine, elle n'arrive plus à le distinguer : tous quatre ont la même odeur.
C’est l’époque des châteaux forts et des chevaliers aux armures bizarres.
Roussette n’a pas la vie facile. À cause de ses cheveux roux, les gens la prennent pour une sorcière. Et ce jour-là, les enfants du village la poursuivent pour lui faire des misères. Elle tombe dans une vaste grotte. De drôles de créatures l’encerclent. « Ouste, les zaffreux ! » dit Roussette. Mais les zaffreux veulent jouer…
Il s'appelle Le Grand, elle s'appelle La Petite. Ils sont seuls au monde. Il ne leur reste plus qu'à se rencontrer, à s'inventer des fables. Pourquoi, le jour, les étoiles disparaissent ? Comment faire réapparaître le fantôme de leur mère ? Comment traverser des villes et frapper aux portes des maisons ? Ils sèment des cailloux sur les chemins et l'un d'entre eux les accompagne. Lorsqu'ils ont fait le tour du monde, ils s'interrogent. Comment donner un sens à leur histoire ?
Elle est douce, il est caractériel. Elle est gracieuse, il est rebelle. Elle se raconte des histoires, il est taiseux. Ainsi sont les jumeaux Gladys et Vova, aussi dissemblables qu’inséparables.
Très tôt orphelins dans un Caucase russe aux allures de décor de conte cruel, ils sont ballottés d’institution en famille d’adoption. De l’orphelinat misérable jusqu’aux richissimes Baldessari qui les accueillent à Paris, ils sont mal-aimés ou trop choyés, par des adultes qui les considèrent comme leurs jouets.
Et à quel fil se retenir quand ces adultes ne cherchent qu’à les séparer d’eux-mêmes et de leur passé ? Portés par l’amour du théâtre, Gladys et Vova mettront tout en oeuvre pour échapper à leur destin de marionnettes. Et découvrir, enfin, leur famille de coeur.
Jane Eyre, une jeune orpheline d’une dizaine d’années, est recueillie par une tante acariâtre qui la transforme vite en Cendrillon. Traitée comme une domestique, en butte aux brimades et aux humiliations, Jane se rebelle et est envoyée dans une pension où elle finira par devenir professeur, avant d’entrer comme préceptrice au manoir de Thornfield, sous les ordres de l’inquiétant et fascinant M. Rochester.
Mais le manoir et son maître recèlent un terrible secret…
Coups de théâtre, rebondissements inattendus, hurlements de rire terrifiants dans un manoir hanté par une présence menaçante et cachée, incendies criminels, histoire d’amour maudit, fuites éperdues dans la lande ont assuré à Jane Eyre un succès immédiat et durable.
Publié en 1847 sous le pseudonyme de Currer Bell, le roman trouve son inspiration dans de nombreux épisodes de la jeunesse tourmentée de son auteur. Virginia Woolf dira de Charlotte Brontë : « Elle écrira dans la rage quand elle devrait écrire dans le calme. Elle écrira sottement quand elle devrait écrire sagement. Elle parlera d’elle-même quand elle devrait parler de ses personnages. Elle est en guerre avec son sort. »
Plus personne ne peut vous dire comment les bons élèves de cette école de campagne du Missouri ont occupé leurs vacances d'été 1860. Non. Le seul qui soit resté dans l'Histoire, c'est Simon Green, le cancre, celui qui avait quadruplé son CE1. Cette année-là, les dindes avaient pondu comme des lapins. Beaucoup trop. Valaient des clopinettes. Cette année-là, à Denver, à mille kilomètres d'ici, on bâtissait à tour de bras, et rien à se mettre sous la dent. Là-bas, ils étaient prêts à payer une dinde cinq dollars. C'est bien simple, Simon, à peine sorti de l'école, il a fait ses comptes. A emprunté toutes ses économies à l'institutrice. A acheté mille dindes. A embauché comme charretier Bidwell Peece, le plus grand ivrogne du pays devant l'Éternel. Et s'est juré de faire fortune à la fin de l'été. L'oncle Lucas lui a fourgué en héritage son chariot le plus pourri. Et vogue la galère ! Ils n'étaient pas nombreux, ceux qui auraient parié sur un attelage pareil : l'ex-ivrogne repenti, le cancre indécrottable et les mille dindes réclamant chacune ses cinq litres d'eau par jour. D'autant que, très vite, ils ont été rejoints par Jabeth, un esclave noir en cavale qui rêvait du pays de la liberté. Et comme si ça ne suffisait pas, des types à dos de chameau se sont mis à les poursuivre. Parole, à dos de chameau ! Avec des fusils partout. Et les Indiens Potawatomis et leur chef John Prairie d'hiver les ont arrêtés sur leur territoire sacré. Et il y a eu aussi la fille qui piquait sa crise de nerfs dans la prairie maudite, et la cavalerie qui n'avait pas cavalé depuis si longtemps qu'elle prétendait faire un carton sur les dindes, et... Enfin, de quoi créer des liens entre Simon, l'orphelin, Bidwell, le vieil ivrogne bon à rien, et Jabeth, l'esclave en fuite. Et faire d'eux des héros inoubliables. Au point de vous donner furieusement envie d'être cancre, dans le Missouri, en 1860.
Picot est un petit garçon qui vit seul avec son frère et sa sœur. Il n'y a pas d'adulte dans cette maison-là. Pour consoler, rassurer, et acheter les céréales du petit-déjeuner. Et dehors la température chute et chute. Chaque jour, Picot prend le bus pour se rendre à l'école. Le chauffeur s'appelle Monsieur Gustave. Monsieur Gustave vient de Russie. On dit qu'il a mangé un phoque, un jour. Chaque matin, Picot s'endort et se réveille au terminus. C'est très loin de la ville le terminus, très loin de l'école. Alors Picot passe ses journées dans un zoo abandonné. On raconte qu'un jour les animaux s'en sont échappés pour aller chercher une vie meilleure. Il y aura t-il une vie meilleure pour Picot ?
Imaginez une ville grise, avec ses cheminées d’usines et ses nuages de charbon. Imaginez une gare gigantesque. Imaginez que dans cette gare une seule personne possède tous les trains, sauf un. Imaginez que, parmi tous les gens dans cette gare, il y a une petite orpheline qui survit en faisant le ménage sur les quais et s’accroche à son rêve de devenir mécanicienne. Elle s’appelle Finally. Elle a dix ans. Et aujourd’hui, elle trouve dans sa poche un étrange billet qui lui permet d’accéder au mystérieux quai 1001 et de monter à bord du rutilant Maydala Express. Où va-t-il ? Personne ne le sait vraiment. Mais c’est une occasion unique pour Finally de fuir la Ville Grise… et le début d’un voyage incroyable, semé de surprises et de dangers, jusqu’à la Gare la Plus Lointaine du Monde.
Orphelin, Olivier Twist passe sa petite enfance entre la maison de l'horrible Mme Mann, sorte de Cruella paroissiale, et le Workhouse, un asile pour indigents où la loi sur les pauvres affame les pensionnaires afin qu'ils ne prennent pas goût à l'oisiveté. Placé chez M. Sowerberry, croque-mort de son état, Olivier s'enfuit pour gagner Londres. Sa naïveté le conduit droit dans un repaire de malfaiteurs, une école du vice où l'on apprend à détrousser les passants...
Avec ce livre, Dickens entame contre l'injustice sociale une croisade qu'il poursuivra toute sa vie, sans se départir ni de son humour ni de son talent de portraitiste : c'est dans Olivier Twist que l'on rencontre l'inénarrable bedeau M. Bumble, l'irascible Grimwig, l'Astucieux Renard et, surtout, les célèbres truands Fagin, Sikes et Monks, figures depuis longtemps familières de la littérature anglaise.
Recommandé dans les programmes scolaires de 5e et de 4e
« Décrivez la vie d'une famille californienne en trois cents mots. » Avec un intitulé pareil, Clara-Camille Caramel avait peu de chances de gagner le concours d'écriture. La Californie, c'est loin, très loin de la Côte d'Azur. Et la vie de famille, elle ignore ce que c'est. Ses parents se sont tués en avion quand elle avait deux ans et demi, sa grand-mère est morte quatre ans plus tard. Mais l'écriture, c'est sa passion. L'imagination aussi. Et qu'imaginer, sinon ce qui vous manque ? Elle a gagné. Le gros lot consiste en un séjour dans une famille californienne. Une vraie. Avec un jeune homme charmant dedans. Il s'appelle Jeremiah et il écrit des lettres drôles, enjôleuses et poétiques à Clara-Camille. Le problème, c'est qu'arrivée à San Francisco elle tombe sur un Jeremiah de soixante-quinze ans qui vit seul avec un chien géant et fabrique des maisons dans les arbres. Clara-Camille a quinze jours pour se résigner. Mais si elle en profitait pour découvrir bien plus qu'une famille ?















