Thème « nourriture »
Il était une fois, un loup. «Un loup ? Mais quel loup ?» me direz-vous. Les loups ont depuis longtemps disparu de nos bois. D’ailleurs c’est simple, il n’y en a plus que dans les livres. Et à passer de page en page, ce loup est devenu tout plat ! Il a grand besoin d’un bon repas. Justement, voici trois petits cochons bien dodus...
Une fenêtre s’éclaire dans la maison. C’est Mamie qui se lève si tôt. Elle est encore fatiguée pourtant. Que peut-elle bien faire de si bon matin dans la cuisine ? Ils sont ronds, ils sont beaux et c’est leur bonne odeur qui me réveille. Miam ! À moi les petits pains chauds.
Aujourd’hui, c’est le jour des bâtonnets de poisson. Toni adore les bâtonnets de poisson. Il les avale d’un coup de dents. « Miam ! Super bon ! » dit-il en descendant de sa chaise. Papa répond : « STOP ! Tu n’as pas mangé tes petits pois. »
Toni déteste les petits pois. Et sa petite soeur Lina, elle, mange déjà sa glace.
Il était une fois un chien, un cochon, un canard et une poule.
« Si on mangeait une pizza ? » propose le chien.
« Bonne idée ! » répondent le canard et le cochon.
« Bof ! » dit la poule. Pas facile de se motiver quand il fait un temps de chien, voire même un froid de canard !
« Attention, surtout n'allez pas par là ! Un loup féroce rôde dans le bois ! ». Mais aucun des habitants de la forêt ne semble se méfier car tous les ventres gargouillent à l'idée de goûter enfin « le » sacré sandwich !
Un ours vivait dans les bois.
Ce matin-là, il aperçut quelque chose sur le rocher plat de la clairière, près de sa grotte. «Qu’est-ce donc ?» se demanda l’ours. C’était orange, long et pointu, avec d’abondantes feuilles vertes à l’une des extrémités. «Miam ! C’est délicieux !» Les jours suivants, l’ours découvrit 2 cadeaux, puis 3.
«Quelqu’un doit bien m’aimer pour me donner tout ça !» se dit-il. Il décida de laisser à son tour un présent pour accueillir son nouvel ami.
C'est l'histoire d'un loup qui avait toujours très très très faim. Il avait mangé tous les animaux de la région et réussi à attraper la petite poule rousse, qui lui avait toujours échappé. Sa faim était si grande qu'il jugea bon de la faire grossir un peu avant de la manger. Mais ni le pain dur, ni le blé, ni les vers dodus ne lui convenaient. « C'est pas bon » disait-elle à chaque fois. Elle proposa au loup, en échange de sa liberté, de lui dévoiler une recette secrète.
Maya et sa mère vont à la librairie. La fillette a un rendez-vous un peu spécial. La libraire l’accompagne et la rassure : « Ne t’inquiète pas, c’est un vrai gentil. Il ne faut pas croire tout ce qu’on lit… » Quand Maya entre dans le salon de thé, l’ogre tourne la tête, encore plus intimidé qu’elle. Puis de sa voix moussue et douce, il se met à raconter une histoire d’ogre.
Voici un oeuf. Monsieur Loup voit l'oeuf. Il s'en lèche déjà les babines. Mais Madame Fouine a aussi vu l'oeuf. « C'est mon oeuf », dit le loup. « Ah bon ? Parce que vous couvez maintenant ? » demande la fouine...
Alex, le cochon gourmand, se penche pour cueillir des framboises lorsqu'il voit soudain une grande ombre derrière lui... Un monstre énorme l'attrape et s'apprête à le dévorer. « Monstre, ne me mange pas ! » crie Alex en tremblant. Le monstre ne l'écoute pas. Il regarde les fruits. « Des framboises ! dit-il. Je vais les déguster. Toi, le cochon, je te mangerai tout à l'heure. » Et le monstre met Alex dans sa poche.
L'ogre avait eu vent de l'existence de trois jeunes enfants qui vivaient seuls dans une petite maison près du delta du fleuve. Cherchant à s'y introduire, l'ogre fit le tour de la maison. Il descendit tout entier dans la cheminée puis se retrouva complètement bloqué. L'ogre était pris au piège...
Kiawak est fier : jamais il n'a pêché un poisson aussi gros. Mais quelque chose le tracasse : le poisson qu'il vient de tirer au bout de sa ligne lui sourit. « Comment ce poisson peut-il me sourire alors que que je l'emmène pour être tué, coupé en morceaux et mangé ? » se demande le jeune Inuit.
Des jours sans manger. Rien à cueillir. Les hommes sont à la chasse. Les petits se tiennent le ventre. Leur ventre est en colère. Ils me regardent tous. Moi, Ama. Vite, je me jette contre le mur. Je fais un cheval, le corps d’un cheval. Au-dessus du taureau, une antilope. Près de l’antilope, mon cheval. En regardant ma peinture, les enfants se voient hors de la grotte. Que la lune passe. Que la lumière passe tant qu’ils rêvent. Mais Attuk, mon fils, a disparu.