Thème « nourriture »
Boum ! Cloum, ploum, doum. Quel est ce bruit au beau milieu de la nuit ? Mickey se lève pour aller voir et se retrouve plongé, tout nu, dans une drôle d’aventure… et le pétrin plein de levain de la pâte à brioche du lendemain. Trois cuisiniers, sosies du comique Oliver Hardy, le mélangent avec le beurre et le fourrent au four pour une heure. C’est alors que Mickey dit non ! sort de là, modèle un avion avec le reste du pâton. Et comme il manquait du lait, Mickey l’intrépide décolle pour le chercher, au sommet de la Voie lactée.
Maman me dit tout le temps : « Bouboule, tu vas être malade à manger autant de gâteaux. Tu vas faire des cauchemars ! » C'est vrai que nous mangeons beaucoup de gâteaux, mon chien Baballe et moi. Mais il n'est pas né le gâteau qui nous rendra malades !
Dicodorus le crocodile est la terreur des animaux qui veulent traverser la rivière. La rivière, c’est sa soupe. De la soupe au zèbre le lundi, au gnou le mardi, régime le mercredi, à l’antilope le jeudi, à la gazelle le vendredi, et à l’autruche le samedi et le dimanche. Dicodorus, le crocodile à l’épaisse carapace, va pourtant se faire un ami… et changer de menu.
Les parents d’Octavio attendent un bébé. Ils cherchent un prénom. Octavio refuse de participer. Il n’en veut pas, lui, de ce rival ! Soudain, Maman loup salive. Elle a une envie. « Devinez quoi… » dit-elle à Papa loup et Octavio. « Ça se croque, c’est tendre, juteux et bien rouge ! » Papa loup et Octavio se mettent en route. Mais que veut croquer Maman ? Le Père Noël ? Ce serait dommage. Le Petit Chaperon rouge, alors ?
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre… puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de « Prout de chamois »… Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d’un tour dans son sac. Ce n’est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera !
Sur terre, il y a plus de huit milliards de personnes... et pas deux qui soient semblables !
Dans cet album avant-gardiste devenu classique, Peter Spier nous emmène dans un grand voyage autour du monde, à la découverte des particularités culturelles de chaque pays (traditions, vêtements, gastronomie…), et rend ainsi hommage à tout ce qui fait la richesse de notre humanité.
ll a suffi qu’une crêpe volante atterrisse sur ma tête pour que Grand-Père, inspiré, invente son plus beau conte…
« Dans la ville de Ratatouille, il n’y avait jamais de courses à faire. La nourriture tombait du ciel, trois fois par jour, à l’heure des repas. Il pleuvait de la soupe et du chocolat chaud, il neigeait de la purée, il tombait des hamburgers et des saucisses. C’était une vie délicieuse, pleine de bonnes surprises goûteuses et variées. Jusqu’au jour où le temps se détraqua... »
Maya et sa mère vont à la librairie. La fillette a un rendez-vous un peu spécial. La libraire l’accompagne et la rassure : « Ne t’inquiète pas, c’est un vrai gentil. Il ne faut pas croire tout ce qu’on lit… » Quand Maya entre dans le salon de thé, l’ogre tourne la tête, encore plus intimidé qu’elle. Puis de sa voix moussue et douce, il se met à raconter une histoire d’ogre.
Plus que tout au monde, la sorcière Tambouille adore cuisiner. Soufflé de crapaud, langue de loup aux choux, rat en gelée... Elle prépare des mets rares, des mets raffinés. Mais elle est persuadée qu'aucun de ses invités, fantômes, squelettes, gnomes, vampires et farfadets, non, personne n'apprécie ce qu'elle fait. Il suffit de prendre quelques décisions radicales, Tambouille ! Tu verras, les gens peuvent changer...
Yvette et Jules, les petits poulets, se sont échappés du pré pour aller faire les fous dans la forêt et ses cabanes aux mille trésors. Là-bas, dans les arbres, tout est vraiment fantastique, on peut même compter les étoiles avant de s'endormir. Alors, quand un renard passe une tête à la fenêtre de leur petit paradis, ils ne savent plus quoi penser. Les yeux du renard brillent-ils de gourmandise ou de bonheur de les rencontrer ? Doit-on se méfier de tous les renards, même des renards à la retraite ? La vie leur réserve encore de grandes surprises...
Souvenons-nous : dans l’album Cornebidouille, Pierre avait flanqué l’affreuse sorcière dans les cabinets. Mais voilà, une Cornebidouille, ça ne disparaît pas comme ça. Elle revient et elle n’est pas contente !
Elle fait un bruit d’enfer sous la cuvette, laisse des traces et des flaques mouillées partout dans la maison… Envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes, Pierre ruse et trouve un moyen imparable pour éliminer non seulement la sorcière, mais l’horrible brouet de sa propre mère !
C’est au salon du livre de Limoges que Pierre Bertrand a fait rêver Magali Bonniol en lui racontant l’histoire de Cornebidouille, au point de lui inspirer des images sur les phrases qu’il tressait. Une amitié et une collaboration sont nées. Après le premier album, un enfant, dans une classe, avait imaginé qu’enfermée dans les toilettes, la sorcière construisait sa maison dessous. Il n’en fallait pas plus pour que naisse la suite de ses aventures, qui permet aux auteurs d’évoquer l’horreur d’être forcé à ingurgiter une nourriture immonde.
On m’appelle Bonheur à cause de mes moustaches arc-en-ciel. Qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, je suis toujours joyeux. Mais alors que j’apporte des graines à mon ami monsieur Zibou, elles tombent et se mélangent ! À quoi ressemblera cette plantation du destin ?
Dans mon assiette, il y a une chose étrange. Ça ressemble à un oeuf, mais poilu. C'est plutôt gris à l'extérieur et tout vert à l'intérieur. Cette chose, Maman tient absolument à ce que je la mange, parce qu'elle est excellente pour la santé. D'accord. Mais Mamie la regarde d'un air dégoûté. Ils sont tous les trois du même avis, et ils sont formels : cette chose dans mon assiette n'est autre qu'une crotte de nez de géant.
Que faire pour qu'un ogre cesse de dévorer les enfants ? Lui préparer des repas délicieux chaque jour, bien sûr ! C'est ce que fit la petite Zeralda du haut de ses six ans...
Pour le bûcheron : des betteraves. Pour la poule : de la pizza. Et pour le rat : de la raclette. Dans cette forêt, les habitants ne peuvent manger que les aliments qui correspondent à la première lettre de leur nom. Mais Gérard le géant, lui, n’en peut plus de manger du gigot. Il demande alors à Fionnelle la fée de l’aider à découvrir enfin le goût du lapin, des langoustines… et du loup.
Prenez 4 petits moutons, 1 grand méchant loup et 1 idée de génie... et vous obtiendrez une histoire farfelue où le plus malin n’est pas celui qu’on croit !