Thème « mort, deuil »
Une histoire d'amitié entre Odette, moineau de Paris et un vieux musicien des rues. Comment ce dernier reprendra goût à la vie, quand tous deux donneront des concerts dans le métro. Comment Odette apprendra la douleur de la disparition, quand un jour, à son retour des pays chauds, le vieux musicien n'est plus là.
Comment guérir d’une blessure ? Comment combler un vide ? Comment supporter une absence ? Comment survivre à la mort d’un être cher ? L’ours croit qu’il n’y arrivera pas. Qu’il restera inconsolable du départ de son ami le petit oiseau. Il ne se sépare plus du cercueil qu’il lui a fabriqué.
Mais c’est en acceptant de passer par toutes les étapes de la souffrance et du deuil – révolte, souvenirs, chagrin, solitude…– qu’il va enfin reprendre goût à la vie, et faire de nouvelles rencontres.
Le professeur Plume observe les oiseaux du cerisier pendant des journées entières. Son épouse, Madeleine, aime surtout leurs chants. Elle a même appris à siffler comme eux. Avec son visage tout fin, son petit nez pointu et ses yeux ronds, Madeleine ressemble un peu à un oiseau. D’ailleurs, Monsieur Plume, qui aime beaucoup sa femme, l’appelle tendrement sa « petite plume ».
L'histoire de Pochée la tortue qui croyait avoir trouvé le bonheur et l'amour avant de perdre son compagnon, Pouce. Elle dut pourtant faire beaucoup de chemin, chercher des fraises des bois, lire des messages à propos de cadeaux, supporter un escargot baptisé Truc, une tortue appelée Nestor et un hérisson du nom de Pépin, avant de comprendre comment on peut être heureux de nouveau.
Chez les Pozzis, c’est la fête ou plutôt la récréation. Au programme : concours du meilleur lanceur de boulettes-rectangles et du plus grand avaleur de potage.
Mais Abel, l’extra-lucideur qui voit mieux et plus loin que les autres Pozzis, n’a pas le cœur à s’amuser, ni même à danser avec la belle Adèle. A-t-il compris que son chef, Capone, était en danger ou bien est-il inquiet pour les bébés Pozzis ? À moins que le danger ne vienne du Lailleurs car le danger vient toujours du Lailleurs…
Mais flûtedezut, zutdeflûte, que se passe-t-il au pays si paisible des Pozzis ?
Papipa est mort et cela éveille beaucoup de questions chez Raoul. « Si tu ne pleures pas, c’est parce que tu gardes tes larmes à l’intérieur ? » demande-t-il à son papa.
« Et qu’est-ce que c’est d’être enterré ? Est-ce que ce n’est pas dangereux d’être au ciel ? », s’inquiète sa petite sœur.
Raoul la rassure : « Papipa a dû retrouver Maminou et elle le tient par la main. » De toutes façons, pour Raoul, Papipa est toujours un peu là…
Cette histoire se passe à Touvabihin, un pays sans soleil où le noir n'existe pas. Un pays où il est interdit de pleurer et où les habitants portent un drôle de sac dans le dos, qui les cajole pour les empêcher d'être tristes. Cette histoire est celle d'une princesse, de son meilleur ami, le chien Timothée, et d'un secret très important. Une princesse qui a un grand besoin de pleurer, qui écrit une lettre à la Mort, et qui, un jour, réussira à changer le monde et à faire revenir le soleil.
« Chaque fois que tu te sentiras triste de ne plus me voir, je serai là. Tout près. » Depuis que sa grand-mère est partie, Babou la cherche désespérément. Qu’a-t-elle bien pu vouloir lui dire ?
Jojo est un type bien. Assurément. Gentil comme tout, cela va de soi. Et généreux, à n’en pas douter. Qui aide les vieilles personnes à traverser le boulevard de la jungle ? Qui change les couches d’Ozone, le bébé géant ? Qui prend soin du souvenir de Padouk ? Et qui se préoccupe des ailes des perroquets ? Jojo, vous l’aviez deviné. Parce que Jojo est un type bien.
Barzolo et Barzolino se promènent dans la montagne, dans les grandes prairies d'herbes hautes. Les deux oursons se souviennent qu'ici, « avant », ils venaient pêcher, faire du ski, se baigner, s'amuser avec Grand-Papa. Mais, depuis, les deux oursons ont reçus une lettre leur disant que Grand-Papa s'était endormi pour toujours. Maintenant rien n'est plus pareil dans la montagne...
Voici Véra. Un jour d’automne, elle remarque une feuille morte. « Qu’est-ce que c’est, morte ? » demande-t-elle à son papa. Et les explications de son papa amènent d’autres questions. Véra observe autour d’elle les fleurs qui fanent, les animaux écrasés sur la route. Elle ressent quelquefois de la tristesse, et d’autres fois elle n’éprouve rien de particulier. Mais un jour, la mort frappe un peu plus près, et les questions se font plus précises.
Voilà Dora. Elle se sent un peu seule. Dans sa classe, les autres filles se moquent d’elle. Elle s’interroge : où était-elle avant sa naissance ? Pourquoi est-elle différente de ses parents ? En vacances, elle rencontre Bigarrée, qui est très différente elle aussi, parce qu’elle a un oeil bleu et un oeil vert.
Animée par la curiosité et la passion de comprendre, chacune d’elles fait l’expérience de la vie.










