Thème « méchanceté, cruauté »
Brutus ne sait plus parler gentiment à ses amis, il les insulte constamment. Mais ses vilaines moqueries finissent par se retourner contre lui, et là enfin, il comprend !
Pauvre petit Ignace ! Depuis quelque temps, il rentre de l’école le cœur barbouillé.
Son entourage a beau redoubler d’attention, ses douleurs empirent jour après jour...
Et si Hannibal la terreur, le voleur de goûter, y était pour quelque chose ?
Rien ne va plus au pays des lapins : les carottes disparaissent mystérieusement les unes après les autres.
Arrive un grand lapin blanc qui dit avoir la solution…il suffit de chasser les lapins noirs, puis les lapins gris, puis…Ça ne va pas, non ? Heureusement que le gentil p’tit lapin est là pour remettre les pendules à l’heure…
Anna et sa maman habitent une grande maison au bord de la forêt. La petite fille l’aime beaucoup mais elle s’y ennuie aussi souvent, car personne ne vient la voir. Elle a pris l’habitude de se promener dans les bois. Un jour où elle part chercher des châtaignes, elle aperçoit quelque chose de nouveau : la vieille maison voisine est habitée ! Anna veut découvrir qui sont ces nouveaux voisins, au risque de dévoiler le secret qu’elle partage avec sa maman.
Un as de la mécanique, deux frères bêtes et méchants, un concours de chant, un soulier qui glisse, une course-poursuite… C’est la version très rock and roll que Geoffroy de Pennart nous offre de Cendrillon, à découvrir sur les chapeaux de roues.
C’est l’histoire d’un éléphant féroce qui règne sans partage sur la savane. À coup de canon à eau, il tyrannise les autres animaux. Nul n’ose s’opposer à lui. Mais l’éléphant s’ennuie. Lui vient alors l’idée de lancer un défi que personne ne relèvera… sauf peut-être un tout petit ouistiti !
La terrible sorcière Blanche règne sans partage sur son royaume. Crainte de tous, elle n'a aucun ennemi digne de ce nom. Sauf, peut-être, un petit garçon nommé Isaure, protégé par une étrange aigue-marine… Un conte médiéval où un enfant puise en lui le courage et l'audace de résister à la tyrannie.
À la ferme, presque tous les animaux s'entendaient bien. Seules Germaine et Lulu se disputaient souvent. Personne ne parvenait à les réconcilier. Lulu était une belle poule, dodue et coquette. Germaine était moche et toujours de mauvaise humeur. Et les choses ne s'arrangèrent pas avec le temps...
Après son couronnement, Léon le lion changea. Il décida les lois selon son humeur. Un jour, il en inventa une qui interdisait aux oiseaux de voler. Les animaux commencèrent à avoir peur, puis à se révolter. Pendant ce temps, aux confins du royaume, la maman de Guili, le petit oiseau, éduqua son enfant en lui donnant tout l’amour du monde et oublia de lui briser les ailes…
La marâtre de Blanche-Neige, Dracula, Barbe-Bleue, la Reine de cœur... Iconiques ou méconnus, ces grands méchants de contes, romans ou mythes nous effraient de génération en génération. Et si nous leur donnions la parole pour qu'ils nous livrent leur version des faits ? Sincères ou manipulateurs...est-ce si évident ? Introduits par la spécialiste Sophie Van Der Linden.
Melric, le magicien du roi, a-t-il du souci à se faire ? Le sorcier Sondrak est de retour, plus malfaisant que jamais. Ah, l’affreux sorcier est décidément prêt à tout pour prendre sa place auprès du roi ! Mais rira bien qui rira le dernier . . .
Nous sommes dans une école de cochons. Louis, le jeune loup vient d'y faire son entrée. Tout le monde regarde le nouveau : « Il fait un peu peur », « Il a l'air méchant », « Il doit sentir mauvais »...disent-ils. Louis est seul et malheureux. Comment va-t-il réussir à se faire une place dans ce monde de cochons ?
En 1879, dans un hôtel parisien, les filles de Mark Twain montrent un dessin extrait d’un magazine à leur célèbre papa et le supplient d’inventer une histoire. C’est ainsi qu’est né Johnny, jeune garçon démuni entraîné malgré lui dans une quête pour retrouver un prince disparu. Les notes de cette histoire inachevée sont confiées à Philip Stead. Il la termine et, ce faisant, redonne vie à Mark Twain en imaginant des échanges (parfois hilarants) avec le célèbre auteur. Quant aux magnifiques illustrations d’Erin Stead, elles accompagnent cette belle fable sociale avec subtilité et élégance.
Au fil du temps, La Barbe bleue n’a cessé d’inspirer dramaturges, illustrateurs, écrivains, musiciens, avec un succès jamais démenti. À son tour, Elsa Oriol a succombé à la troublante fascination de ce conte, mais gare ! car la magie de son talent ne se contente pas de nous séduire ; elle exerce sur le lecteur un véritable envoûtement…
La fille de l’empereur possédait trois cent quatre-vingt-dix paires de chaussures, huit cent douze chapeaux, cinquante ceintures en queue de serpent. Mais ce qu’elle aimait par-dessus tout, c’était les oiseaux. Son jardin comptait cent et une volières habitées par les oiseaux les plus rares. Mais hélas ! Combien de têtes avaient-elles coûté, de combien de serviteurs ! Jusqu’à la nuit où Valentina rêva de l’oiseau qui parle. Personne ne le trouva. Puis, après onze longs mois, un jeune serviteur rapporta dans un écrin un tout petit oeuf dans un nid…
Il était une fois un ogre qui avait une horrible réputation. Dès que le bruit courait qu’il se trouvait dans les environs, les gens se bandaient les yeux, se bouchaient les oreilles et se recroquevillaient sous les tables. Un après-midi, alors qu’il partait en quête de son dîner, il aperçut devant une petite maison, une jeune fille qui s’activait dans le jardin. « Comment pouvez-vous rester aussi calme ? s’exclama-t-il. N’avez-vous pas entendu parler de moi ? Où diable vivez-vous ? » Il réalisa qu’elle ne le craignait pas.