Thème « mariage »
Découvrez l'histoire de la princesse au petit pois et entrez dans son monde grâce à ce livre-théâtre plein de magie...
Il était une fois la plus ravissante des princesses, gracieuse, aimable, délicate, raffinée, noble, joyeuse... Ah ! Le tableau eût été parfait, et le mariage avec un charmant prince assuré...
... si seulement la belle n’avait eu la fâcheuse habitude de roter à tout-va !
Quand on s’appelle le roi Kipu et que l’on rêve de se marier, la tâche est drôlement compliquée. Car aucune princesse ne veut devenir la reine Kipu… et encore moins la mère d’une lignée d’enfants Kipu !
Par chance, le roi fera la rencontre de la délicieuse demoiselle Quipette. À ses côtés, il parviendra enfi n à assumer sa singularité, et peut-être même à s’en amuser !
Il était une fois un Roi qui avait décidé de prendre sa retraite. Son fils, bien sûr, allait prendre sa place. Mais le Roi lui dit qu'il gouvernerait le pays avec son frère. Seulement, le Prince ne savait pas qu'il avait un frère. Il ne savait pas que, pour le rencontrer, il allait devoir entreprendre un très long voyage. Il ignorait aussi ce qui l'attendait au bout de ce long voyage.
Monsieur Monsieur tombe amoureux de Mademoiselle Moiselle sous une branche de Charmilla Moremilla, prend toutes sortes de formes face aux montres molles, mais redevient lui-même en pensant à sa chérie.
Et il s’achète des chaussures neuves pour lui plaire…
La belle vie !
Être une fille viking, c’est pas toujours facile. En plus, depuis quinze jours, j’habite chez mes cousins au Groenland. Et moi, je n’ai pas l’habitude de m’ennuyer au Groenland. Je ne vais quand même pas me mettre à coudre comme ma mère, faire des courses de boucliers comme mon père ou nager nue parmi les phoques dans l’eau glaciale, comme ma grand-mère !
C'est bientôt le mariage de la fille de Madame la Taupe. Tout le monde se fait faire des robes par Élise, la couturière. Elle est très douée, Élise. Les robes et les manteaux qu'elle confectionne sont magnifiques. Mais on dit qu'elle a mauvais caractère. On ne sait même pas si elle viendra au mariage. La vérité, c'est qu'Élise se trouve moche. Elle pense que les jolies robes, les volants, les dentelles, ce n'est pas pour elle. Martha l'araignée, qui habite dans un coin de la salle de bain et avec qui Élise papote souvent, le soir, est la seule à comprendre qu'elle est malheureuse. La seule à deviner qu'elle aimerait bien aller au mariage. Soudain, il lui vient une idée : cette fois, ce sera elle la couturière. Elle va tisser en secret pour son amie la plus belle robe qu'on puisse imaginer...
Parce qu'ils ont juré de s'aimer toute la vie, Grégoire offre à Gloria une bague avec une pierre bleue et Gloria donne à Grégoire une bague avec une pierre rouge. Mais un jour, Gloria trouve abandonnée dans l'herbe du parc la bague de Grégoire. Grégoire l'a-t-il perdue ? Grégoire l'a-t-il jetée ? Grégoire aime-t-il encore Gloria ? Et pourquoi est-il en retard à leur rendez-vous ? Gloria ne trouve pas de réponse à ses questions.
Dans la grande forêt, un petit éléphant est né. Il s'appelle Babar. Voici son histoire triste et gaie : comment sa mère fut tuée par un chasseur, comment il s'enfuit à la ville où il fut recueilli par la vieille dame et devint roi, en revenant dans son pays.
Un mariage, c’est pour fêter l’amour. C’est aussi pour s’amuser ! Julian et Marisol s’échappent du repas des mariées et jouent sous l’arbre à sirènes. Après ses caracoles avec Gloria, la petite chienne, la robe de Marisol est toute sale. «Oh non !» dit-elle, mais l’imagination de Julian et la compréhension des grands-mères lui redonnent des ailes!
Maître Shkaf, l'instituteur, n'en peut plus. C'est l'été, il fait trop beau, les enfants refusent de travailler, ils chahutent et ne l'entendent plus, même quand il crie. Et puis, un jour d'orage, Maître Shkaf se met réellement en colère, parce que la classe persécute Michail. Le maître tonne et menace, mais il voit que les enfants ne comprennent pas pourquoi il est si fâché. Alors il leur dit de sa voix douce et timide habituelle : Je vais vous raconter une histoire de Bouc Emissaire. L'histoire de l'unique Bouc Emissaire du Monde Entier - et de sa femme. C'est quoi, un bouc et misère ? dit Denis.
Une histoire pour tous les gens intelligents. Une histoire tellement belle et enthousiasmante que les enfants veulent créer un club de Boucs Emissaires.
Oh la la, ce que c'est dur d'être belle; et fatiguant aussi. Parce que les gens, ils ne pensent qu'à ça, à votre beauté, c'est comme une obsession. La jolie petite princesse connaît ce problème à fond. Elle en a assez des compliments, assez des jalousies aussi. Elle veut être moche, et pauvre en plus, pour voir ce que ça fait. Elle se déguise en mendiante laide et, là, plus personne ne s'intéresse à elle, surtout pas le très beau prince qui passe justement par là et dont elle tombe aussitôt amoureuse. Comment se faire aimer quand on est moche ? Comment se fier à l'amour de l'autre quand on est belle ? Pour répondre à ces questions délicates, la jolie petite princesse a surtout intérêt à être intelligente.
Pour rien au monde, Corbelle ne voudrait quitter son peuplier. Elle peut y boire paisiblement son chocolat avec son amoureux, Corbillo, et plonger de toute sa hauteur pour gagner la terre, ses ailes grandes ouvertes. Un jour, une marque bleue est tracée sur leur arbre. Leur domicile conjugal va être abattu, et Corbelle et Corbillo doivent déménager. Adieu train-train, une nouvelle vie s'annonce. Chercher un nid d'amour n'est pas chose facile, surtout quand on a mauvais caractère, de nombreuses exigences et des regrets plein le coeur. Très vite, rien ne va plus. Heureusement, Corbelle et Corbillo ont des amis pour veiller sur eux.
Mais quel est son problème à cette petite princesse-là ? Elle n'est ni horrible, ni trop jolie, ni trop nulle comme certaines de ses cousines sur le cas desquelles Nadja s'est déjà penchée... Alors, quel est son handicap ? Ce grave défaut qui poserait problème à l'heure de lui chercher un mari ? Cette petite princesse est d'un tempérament inquiet, et voudrait tout le temps faire plaisir à tout le monde. Elle ne sait pas encore que ce n'est pas possible. Elle vit dans l'angoisse de faire de la peine à quelqu'un. En fait, elle ne vit pas. Elle couvre ses proches de cadeaux, qu'elle pèse au préalable afin d'être équitable, et quand elle voit ses amies, elle se demande à laquelle dire bonjour en premier sans que les autres en soient peinées. Alors, choisir parmi des prétendants, vous imaginez. Pauvre princesse, dans la vraie vie, on l'enverrait chez un psychanalyste, et au bout d'un certain nombre d'années, elle ne craindrait peut-être plus de se faire détester une bonne fois pour toutes. Mais heureusement, cette princesse vit dans un conte. C'est l'auteur qui décide et qui, d'un coup d'inspiration magique, va lui envoyer le mari idéal : le Père Noël, bien sûr.
Georges Clounet s'apprête à passer une soirée tranquille. Il vient de coucher ses « crapauds », François et Hector, et il est en train de faire la vaisselle. Tranquillement, donc. Sa femme est chez sa copine Dorothée pour la soirée au moins. Tout est calme chez les Clounet. Jusqu'à ce qu'un drôle de petit personnage vienne frapper à la porte pour faire, dit-il, un Contrôle des Pères, obligatoire une fois par an. Georges Clounet n'avait jamais entendu parlé de cette nouvelle loi, encore moins du Service de surveillance des familles ni de la brigade des vérifications à domicile. Mais bon, si c'est obligatoire, et malgré la moustache bizarre de ce drôle de bonhomme, Georges Clounet n'ose pas trop refuser...
Dans un château au beau milieu d'une forêt régnait un roi dont la grande passion était de mettre des oiseaux en cage. Il avait même promis la main de sa fille Albertine à celui qui lui apporterait le plus bel oiseau du pays. Cet oiseau, c'était Grand Corbeau, qui était bien trop malin pour se laisser attraper. Le roi le savait, mais cela lui était égal car plus les jours passaient, plus ses cages se remplissaient d'oiseaux de toute sorte sans qu'il eût besoin de donner la main d'Albertine. Une nuit, Grand Corbeau décida de donner une bonne leçon au roi : il enleva Albertine.