Thème « maladie, docteur »
C’est le plus rigolo des docteurs. Rhumes, bosses, bobos, mal au ventre, et même disputes, rien ne résiste à ses jeux et à sa bonne humeur ! Mais à force de s’occuper de tous, il tombe malade, il est tout pâle. Heureusement, ses patients sont là !
Dans une salle d’attente il se passe parfois des choses étranges et ce n’est pas forcément du docteur qu’il faut avoir peur.
Mal dormi, mal au coeur, le poil raide, les yeux brillants, la tête qui tourne... voilà des raisons suffisantes pour appeler le Docteur Brosse. Il s'approche du lit de Diego et commence par l'ausculter. Puis il examine sa gorge, ses oreilles, et lui tapote le dos du bout des doigts.
« Ce n'est rien qu'une petite grippe. Dans trois jours, tu seras sur pattes. » Chic ! Diego va pouvoir jouer aux cartes avec Papa, qui est venu le garder. Au fait, quand on est malade, on doit forcément gagner, non ?
Il s’appelle David. C’est le garçon aux cheveux fleuris, et c’est mon meilleur ami. Mais, un jour, alors que j’arrosais les cheveux de David, un de ses pétales m’est resté dans la main…
Amos travaille au zoo.
Malgré des journées bien remplies, il trouve toujours le temps de passer voir ses vieux amis.
Mais, ce matin, atchoum ! Amos se réveille enrhumé, et il doit rester au lit.
Que vont faire ses amis sans lui ?
Ce matin, Marc le lapin s'est réveillé malade, et sa maman cherche désespérément un docteur. C'est le Docteur Loup qu'il faut aller voir, lui conseille le hibou. Le Docteur Loup ? Est-ce bien prudent ?
Nous sommes cinq dans la salle d'attente du docteur des jouets. Il y a l'oiseau mécanique, l'oiseau à roulettes, l'ours, la grenouille et moi. Nous avons tous un petit quelque chose qui cloche.
Ce livre, conçu à partir d'un poème d'Ernst Jandl, a reçu le Prix BolognaRagazzi 1998 et a été sélectionné pour le Prix Allemand de la littérature de jeunesse.
Il y longtemps, à Paris, dans une vieille maison aux murs recouverts de vigne vivaient douze petites filles. La plus petite s'appelait Madeleine.
Petite Mort se désole : les gens qu'elle emmène au royaume de la Mort sont tristes. Ils soupirent, ils ont froid. Jamais personne ne lui parle... Jusqu'au soir où Petite Mort vient chercher Elsewise. La fillette l'accueille avec joie : « Enfin, vous êtes là ! » s'écrie-t-elle en souriant.
Toudoum… Toudoum… Chaque matin, Sisanda commence par compter les battements de son cœur et le nombre de jours qu’elle a vécus depuis sa naissance.
Puis, elle regarde sa mère se glisser hors de la case pour aller courir dans les collines : Maswala, sa Mamantilope, cavale pour le plaisir pendant des heures, pieds nus, là où même les bergers ne vont pas avec leurs troupeaux.
Sisanda, elle, ne peut pas courir. Ni sauter, ni jouer avec les autres, ni rien, à cause de son petit cœur imbécile et de sa maladie idiote. Le médecin lui a dit qu’elle avait beaucoup de chance d’être encore en vie. Vraiment beaucoup. Ici, il ne peut rien faire, il faudrait opérer Sisanda dans un hôpital spécialisé à l’étranger. Et ça coûte cher… Un million de kels ! Elle a compté qu’il faudrait à ses parents trente-huit ans, trois mois et vingt jours pour réunir autant d’argent…
Mais tous ces calculs sont faussés lorsqu’elle découvre que Maswala pourrait gagner la même somme en courant aussi vite qu’une antilope…
Il y a souvent une histoire vraie à l’origine d’un roman de Xavier-Laurent Petit. Ce dévoreur de journaux a découvert l’existence de Chemokil Chilapong dans un article de Courrier international qui racontait comment cette simple fermière avait pu financer la scolarité de ses enfants grâce à sa victoire au marathon de Nairobi. Il n’en fallait pas plus pour que son imagination s’emballe et nous entraîne dans les foulées de Maswala, la mamantilope d’une petite fille au cœur malade…