Thème « lapin, lièvre »
Simon, alias Superlapin, est contrarié. Quand sa maman les a mesurés, lui et son petit frère Gaspard, elle a trouvé que Gaspard avait beaucoup grandi : trois centimètres ! Et Simon, un peu seulement : un ridicule centimètre. Du coup, Simon voit des injustices partout. Fâché ? Pas seulement. Triste aussi. Et au bord de détester Gaspard, le chouchou de la vie… Heureusement, au square, il suffit qu’un grand tente d’embêter Gaspard pour que Simon retrouve son rôle, sa place et son amour de frère le plus grand, le plus protecteur !
Simon a beau être un Superlapin, ses goûts en matière d’alimentation ne sont pas supervariés… Quand sa maman l’appelle pour manger ses tartines, quand son papa lui dit de finir son bifteck et ses légumes, Simon répond : « Pouah ! Berk ! C’est pas bon ! » Lui, tout ce qu’il veut, c’est manger des pâtes, un point c’est tout. Mais que se passe-t-il quand Maman fait du gâteau au chocolat, et que la condition pour en avoir un gros morceau, c’est de manger d’abord... sa soupe ?
C’est la veille de la rentrée et Simon a une nouvelle réplique préférée. Quand sa maman lui dit : « Tu vas aller à l’école », quand son papa lui promet : « Tu vas apprendre l’alphabet », Simon prend un air effaré et grognon et il crie : « Ça va pas non ! »
C’est le jour de la rentrée et Simon ne veut pas y aller. Mais une fois sur place, après avoir un peu pleuré, il s’aperçoit qu’on fait plein de choses formidables à l’école. Alors, le soir, quand la maîtresse lui dit qu’il faut partir, savez-vous ce qu’il répond ?
La piscine ? Cet endroit horrible où l’on grelotte de froid, de peur et de honte en maillot de bain, où l’on boit la tasse, où des monstres marins peuvent nous attaquer ? Simon le Superlapin n’a qu’une réponse quand ses parents lui annoncent que la première séance est pour demain : « Jamais de la vie ! » Pourtant, quand il aperçoit Lou qui tremble encore plus que lui sur le bord du bassin, Simon n’écoute que son courage et découvre que, la piscine, ce n’est pas aussi terrible que ce qu’il croyait…
Simon adore la petite maison où il est né. La quitter pour une plus belle ? Impossible. Pas question. Pourtant, quand son petit frère Gaspard manifeste son inquiétude à son tour, Simon trouve les mots pour lui parler du déménagement.
Ce n'est pas un matin comme les autres. Maman me dit que je peux rester encore au lit, car il n'y a pas d'école. Le bus scolaire est resté bloqué... par la neige. La neige ?! Mais je n'ai pas envie de rester au lit ! Je veux vite mettre mes chaussures et courir dehors ! Malheureusement, maman dit non. « Quand il aura cessé de neiger. Sinon, tu vas attraper un rhume. » Il faut se contenter d'une toute petite sortie sur le balcon. Tout est si calme dehors, ni voitures, ni passants. Nous écoutons le silence de la neige qui tombe et nous avons l'impression d'être seuls sur la terre. À midi, la neige tombe encore, et à l'heure du goûter aussi. Le soir, à la télévision, un monsieur explique que tant qu'il neige, l'avion qui doit ramener papa à la maison ne peut décoller... Mais comme une journée si étrange ne peut s'achever que de manière extraordinaire, c'est à l'heure du coucher et sous les étoiles que le petit garçon de cette histoire pourra enfin jouer dans la neige.
Pour rendre visite à son ami Bob, qui travaille sur une base scientifique en Antarctique, Simon le lapin a pris un train, un bateau, un avion, et enfin un parachute. Là -bas, il a vu des manchots, des trous à pêche, des tondeuses à neige, des aurores australes et aussi des… yukimarimos. Vous vous demandez ce que c’est, des yukimarimos ? Simon, lui, en rêve encore.
Lapin a trouvé une graine de carotte. Mais pour la planter, il a besoin de l'aide de la taupe. Et pour l'arroser, il demande l'aide de l'éléphant... Elle a intérêt à être grosse, cette carotte, parce que Lapin va devoir la partager avec beaucoup de monde !
Pour son anniversaire, Pat le lapin a reçu un splendide cadeau : la paire de patins à roulettes grâce à laquelle son grand-père a rencontré sa grand-mère. Chouette, on peut aller partout avec eux ! Enfin, presque… La campagne où vit Pat est pleine de trous, de creux et de flaques. Et s’il grimpait dans un train pour Paris ? Quelle aventure ! C’est lisse et ça glisse par ici ! Ces larges avenues donnent des ailes ! Vite, plus vite, mais… pas trop vite ! N’oublions pas que ces patins sont sentimentaux et favorisent les rencontres !
Tomi voudrait tout le temps jouer au ballon. Mais dans la montagne, jouer au ballon, c'est difficile. Si on ne le rattrape pas à temps, il rebondit, roule, et commence à descendre, à descendre. Alors, les amis de Tomi se lancent à sa poursuite.
C'est la veille de Noël. Marie et Max attendent le Père Noël. Mais Max voudrait bien voir le Père Noël, alors il descend dans la salle de séjour et s'installe devant la cheminée...
Quand Simon joue avec son ami Ferdinand, c’est toujours ce dernier qui décide. Et Ferdinand se garde les choses les plus intéressantes à faire, et il envoie Simon chercher les accessoires et accomplir les corvées, et il lui fait du chantage affectif ! Heureusement, Simon le Superlapin a un super petit frère en la personne de Gaspard. C’est Gaspard qui, en voyant son frère tout triste et dépité, lui fait prendre conscience du problème. Un copain pas très gentil, peut-on vraiment appeler ça un ami ?
Gaspard n’est pas content du tout. Être à la fois le petit frère de Simon et le grand frère de Suzanne, c’est vraiment pas facile. Trop petit pour aider papa à bricoler… trop grand pour attendrir maman et se faire admirer… Dégoûté, il se venge en faisant plein de bêtises. Et il en rajoute en accusant bébé chat. Pourtant, Gaspard a des idées et de la bonne volonté. Il suffit que le vent se lève et fasse voler les feuilles sur la clôture repeinte de frais pour qu’il ait l’occasion de le prouver !
Marie a mis une pancarte sur la porte de sa chambre pour en interdire l'entrée à Max. Mais Max ne sait pas lire. Alors Marie lui raconte l'histoire d'une vilaine fouineuse qui s'appelait Pandore...
Max est un incorrigible gourmand. Heureusement, Marie a toujours une bonne histoire pour tenter de remettre son petit frère dans le droit chemin. Cette fois-ci, elle lui raconte celle de Midas, qui avait horreur des légumes. À force de gourmandise, Midas transforma tous les membres de sa famille...en desserts.
Max adore sa vieille salopette bleue. « Cette salopette est dégoûtante ! » dit Marie, la soeur autoritaire de Max. Alors, avec l'argent que Maman a donné à Marie pour acheter une salopette à Max, ils partent tous les deux au Grand Magasin...















