Thème « lapin, lièvre »
Baby-sitter de petits lapins, lui, Francisco, le chat sauvage du désert ? Pourtant, par amitié pour madame Lapin, Francisco accepte. Il commence par montrer aux lapinous sa façon de dîner, de se laver et de se coucher. Mais, rapidement, il découvre que les lapins ont d’autres habitudes, et une maison étonnante, avec une table, une salle de bains, une chambre à coucher… Et, la première surprise passée, ce n’est pas pour lui déplaire.
Ils sont vraiment amis, Grignotin et Mentalo. Des amis, ça joue. Par exemple à être Robin des Bois ou Don Diego de La Vega, alias Zorro, et à voler les riches pour donner aux pauvres. Mais quand l'un pique le sandwich au saucisson de l'autre pour se le donner à lui-même parce qu'il a faim, est-ce que l'amitié peut survivre ? Oui, ils sont très amis, Grignotin et Mentalo. Des amis, ça passe beaucoup de temps ensemble, parfois ça vit sous le même toit. Mais quand l'un a envie d'un animal de compagnie et que l'autre est triste et jaloux, est-ce que l'amitié peut survivre ? Toutes les amitiés, peut-être pas. Mais celle-là, oui.
Grignotin et Mentalo se promènent au clair de lune. Grignotin est préoccupé : est-ce que Mentalo l'aime ? Comment il l'aime ? Un peu ? Bien plus ? Mentalo n'écoute pas, ce qui l'intéresse, c'est la belle lune. Il propose à Grignotin de s'asseoir un instant pour l'admirer. Mais Grignotin ne l'entend pas de cette oreille. La lune est en train de lui voler son ami. Alors il se fâche et plus rien ne tourne rond...
C’est trop injuste ! Pendant que Mentalo trime dans le potager pour qu’il y ait de quoi manger cet hiver, son ami Grignotin se la coule douce en compagnie des autres animaux. Mentalo a bien envie de leur donner une leçon : il va préparer un spectacle pour tous les habitants de la forêt qui s’appellera La cigale et la fourmi de Jean de la Fontaine.
Grignotin est emballé ! Il serait parfait dans le rôle de la cigale ! À condition de changer un tout petit peu la fin de la pièce… et que, par amitié, la fourmi lui offre un morceau de vermisseau pour passer l’hiver.
Delphine Bournay a, très tôt, avec ses deux soeurs, imaginé bien des histoires pour se faire rire. Delphine Bournay a décidé d’en faire son métier après des études aux Arts Décoratifs de Strasbourg. Elle a créé la série des Grignotin et Mentalo, deux copains qui ont vraiment le sens de l’amitié, dont la première des aventures illustrées a été récompensée par le Prix Sorcières en 2007.
Grignotin et Mentalo sont inquiets. Voilà un moment qu’ils sont penchés sur la carte du monde, et ils ont beau chercher partout, ils ne trouvent pas leur forêt. Est-il possible qu’elle n’y soit pas ? Est-ce un oubli ? Sanglier vient les aider… mais en reniflant la carte de trop près, il en mange un morceau. Évidemment, il est incapable de dire quel pays il a mangé. Mentalo propose de lui ouvrir le ventre, mais Sanglier n’est pas d’accord. Que faire ?
Ce livre est le cinquième tome des aventures de Grignotin et Mentalo. Comme dans les épisodes précédents, on y ressent le plaisir que Delphine Bournay éprouve à suivre ses personnages, à les laisser décider des péripéties de chaque histoire au gré de leurs disputes et réconciliations quotidiennes.
Imaginez que vous êtes un lapin, que vous êtes invité à un bal costumé et que vous souhaitez créer la surprise. Oh, ce ne sont pas les idées qui manquent : chirurgien, mousquetaire, cosmonaute… Mais comment trouver le déguisement qui vous permettra de dissimuler vos oreilles ? Le renard de ce livre a lui aussi des problèmes vestimentaires. Pour des raisons mystérieuses, il a mis tous ses vêtements en pièces et n’a plus rien à se mettre ! Mais pour Grenouillette et Têtard, la vie est belle : ils sont installés dans le train express régional, direction Paris, pour aller acheter… un violon.
Tous les matins, Jeanne et son frère Jean jouent à se faire peur en prétendant que le chien du voisin est un monstre féroce. Mais un soir, pour s’être un peu trop attardés dans la forêt, les voilà surpris par la nuit. Et là, on ne joue plus, car ça fait vraiment peur ! Ou plutôt si : on joue toujours. Pour chaque cri, pour chaque ombre, Jean a une histoire à raconter à Jeanne.
Celle d’Abraham le magicien, le grand sorcier de la Lune, par exemple…
Comment deux lapins qui étaient voisins devinrent amis sans cesser de se disputer.
Il était un géant qui ne se séparait jamais de sa casquette; d'abord parce qu'il était chauve et qu'il avait honte de son crâne nu. Et puis parce que sa casquette était très spéciale (avec un haricot vert frais brodé sur le devant). Or un jour, le géant ne retrouva pas sa précieuse casquette. Désespéré, il était prêt à tout pour la retrouver...
Le lièvre et la tortue, on connaît. Mais Sébastien le lapin et Madame Laterre la tortue, c'est une autre histoire. Une histoire de course à travers le monde, de solitude et d'amitié. Une belle histoire de découverte du monde, des autres et de soi-même.
Autrefois les petits lapins, comme les enfants, perdaient leurs dents de lait et attendaient sagement le passage de la petite souris. Mais un jour, la maison de la petite souris fut cambriolée par un rat, dont la femme adorait tout ce qui brille, y compris les petites dents de lait...
Tout le monde connaît la petite souris qui vient remplacer, la nuit, les dents de lait perdues des enfants par des petits cadeaux. Il y a longtemps, elle faisait la même chose pour les dents des petits lapins. Jusqu’au jour où un rat, qui voulait décorer sa maison et offrir un collier de perles à sa femme, vint lui voler son sac de dents…
Dans ce coffret, une belle histoire et une bonne idée : la petite boîte pour ne plus perdre ses dents de lait et ne pas rater le passage de la petite souris.
Il était une fois un lapin qui venait de s’installer dans un nouveau terrier. Ce lapin cherchait par tous les moyens à devenir ami avec ses voisins. Mais ni le mulot ni le hérisson ne lui adressaient la parole. Le lapin décida alors d’acheter une magnifique sonnette. Ainsi, quelqu’un aurait forcément envie de sonner à sa porte.
Une nuit, pas de doute, la sonnette retentit dans son terrier. Est-ce vraiment prudent d’ouvrir sa porte à une heure pareille ?
Christian Oster à propos de son livre :
« Parfois, on s'offre dans les livres, ce qu'on ne peut avoir dans la vie. Ici, je me suis offert une magnifique sonnette. Je n'en ai pas dans mon nouveau chez-moi, on ne peut que frapper à ma porte. »
Rabounia, qui vit entre les pages 56 et 63 du Grand Recueil des histoires pour le soir, est réveillée par ces cris insupportables. Elle a beau savoir qu’il est formellement interdit de sortir de son histoire, trop, c’est trop ! Alors, elle chausse ses baskets et se dirige vers une tout autre histoire que la sienne et qu’elle n’est pas certaine de bien comprendre.
Comme chaque matin, Tortue fait son jogging dans les champs. Lièvre, qui passe par là, éclate d'un rire bruyant : « Alors, Carcasse-à-pattes, tu te crois dans la fable ? »
Mais Tortue, ne se laisse pas impressionner et lui lance un défi : « À la course je vous battrai. J'en fais le pari ! »
On m’appelle Bonheur à cause de mes moustaches arc-en-ciel. Qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, je suis toujours joyeux. Mais alors que j’apporte des graines à mon ami monsieur Zibou, elles tombent et se mélangent ! À quoi ressemblera cette plantation du destin ?















