Thème « jeu, jouet »
Olie-Boulie fait une Madame-neige, et sa Doudoue, une Doudoue-neige. Puis toutes les quatre construisent une maison-neige, l'abri idéal pour déguster des sorbets au popotamelos et des glaces dans des cornets de gaufrette Krakékrok. Mais avant de risquer de fondre, les nouvelles amies d'Olie-Boulie doivent filer au pôle Nord. Vivement les vacances d'été pour partir les y retrouver !
Les tout-petits aiment que les plus grands jouent avec eux. Mais ce qu’ils aiment par-dessus tout, c’est quand il y a dans les parages un plus petit qu’eux. Alors là, c’est la fête ! Non seulement le tout petit peut jouer, mais il devient le grand de quelqu’un. Le petit bébé espiègle de cet album propose successivement à son chien d’attraper un ballon, de jouer à cache-cache, de grimper très haut. C’est trop dur pour un tout petit chien, qui préfère jouer à se faire des câlins et des chatouilles !
Le marchand a donné un ballon à Akiko. Les ballons sont faits pour s'envoler. C'est pour ça qu'on leur met une ficelle. Chaque fois qu'Akiko lâche la ficelle, le ballon monte au plafond. Heureusement, maman a une idée formidable : elle attache une cuiller à l'extrémité de la ficelle. Maintenant, le ballon flotte. Il est juste à la hauteur d'Akiko. Alors elle l'emporte au jardin, cueille des fleurs pour lui et lui propose du thé. Ce que voudrait Akiko, c'est dîner avec le ballon, dormir avec le ballon, et qu'il reste toujours avec elle. Mais les ballons sont faits pour s'envoler. Alors comment faire pour ne pas être triste ? Une merveille d'intimisme et de délicatesse venue du Japon.
Aujourd’hui, atelier bricolage : Banfolé explique à sa petite sœur Fantawa comment fabriquer une télécommande de l’espace. Il va voler le premier, et son assistante ne doit absolument toucher à rien. Mais que faire quand tout est interdit ? Alors que son frère vole vers la lune, Fantawa bricole des commandes surprises… Chtong ! Vouuu ! Nuuut ! Tokoutokoutok ! Là-haut, Banfolé n’a jamais autant rigolé !
Blaise le poussin masqué est exceptionnel : il peut faire toutes sortes de bêtises sans craindre de se faire disputer, puisqu'il suffit qu'il ôte son masque pour qu'on ne sache pas qui il est. Pratique, non ? Il peut ainsi être roi des sports, poète, dresseur de monstres, accomplir des exploits uniques au monde, et même critiquer Claude Ponti (qui ne peut pas s'empêcher de le mettre dans tous ses livres) !
Attirer l'attention des filles, ce n'est pas du gâteau. Anton est prêt à tout. Il a des accessoires, des idées et de grands projets. Mais les filles ne le regardent pas. Les filles ne le regardent jamais. Anton a du courage, Anton est persévérant, il prend des risques, fait tout comme un grand, veut croire à l'impossible jusqu'à... LA CATASTROPHE ! Mais cette fois, c'est gagné, les filles n'ont d'yeux que pour lui !
Anton arrive tout joyeux avec de quoi partager un bon goûter, mais il pose ses conditions : Greta, Nina et Lukas doivent le lui demander très gentiment. Vexés, ils refusent de se joindre à lui : ils ont trop de travail, disent-ils. Ils doivent ratisser, bêcher, biner. Anton se venge : il fait le mort !
Incompréhension, rivalité, jalousie, amitiés contrariées, longueurs d’onde différentes… Le sujet pourrait être morose, Ole Könnecke en fait un bijou d’humour. Rarement dans un album pour enfants la mort aura été aussi finement utilisée – pour de rire !
C'est l'histoire d'un petit lapin qui a trouvé une combine pour ne jamais faire ce qu'on lui dit. Dès qu'un grand lapin lui donne un ordre, Petit lapin crie : « Au loup ! » et le grand lapin, apeuré, s'enfuit. Plus besoin de ranger sa chambre, d'apprendre l'alphabet, de faire pipi dans le pot, de prendre son bain ! Petit lapin fait ce qu'il veut de sa vie, et c'est le paradis. Jusqu'au jour où une grosse voix, une voix beaucoup plus grosse que la sienne hurle dans son dos : « AU LOUP ! » Cette fois, c'est au tour du petit lapin d'avoir peur.
C’est la nuit. Tout le monde dort, sauf le Petit Lapin en peluche d’Étienne.
« Comme j’aimerais être un vrai lapin sauvage et me promener sous la lune ! » se dit-il. Armé d’un crayon pointu, au cas où il rencontrerait un renard,
Petit Lapin s’aventure dans le jardin. Et comme toujours dans la vraie vie, les choses ne se passent pas comme prévu. Les vrais lapins sauvages mangent des choux et n’ont pas du tout envie de se promener sous la lune… Quant au renard, c’est une renarde ! Elle trouve Petit Lapin immangeable, mais suffisamment à son goût pour en faire un compagnon de balades nocturnes !
Lapinou et Lapidoux adorent jouer à cache-cache. Aujourd'hui, c'est Lapidoux qui s'y colle. Il compte jusqu'à 10, et commence à chercher. Tiens, deux oreilles dépassent d'un buisson. Mais au toucher, elles ne sont pas du tout douces comme celles de Lapinou. Et pour cause, ce sont celles du grand loup gris. « Chut ! » dit le grand loup gris. « Pour une fois que je fais une partie de cache-cache avec le vieux loup roux. Tu vas me faire repérer ». Lapidoux s'éloigne sur la pointe des pattes, tout émotionné. Un peu plus loin, les branches d'un arbre ont bougé. Deux oreilles dépassent. Mon Dieu qu'elles sont rêches ! Et pour cause, ce sont celles du vieux loup roux. Il était en train de compter, et maintenant, il ne sait plus où il en est. « Vous en étiez à trois », je crois, risque Lapidoux, avant de s'éloigner sur la pointe des pattes. Un peu plus loin, un bouquet de roseaux frémit. Mais oui, et ce sont bien des oreilles qui dépassent. Lapidoux les attrape. Horreur ! Ce ne sont pas du tout celles de Lapinou, mais celles d'un gros loup noir. Et celui-ci ne joue pas du tout à cache-cache !
Crôa ! Crôa ! Crôa ! 3, 7, 10… jusqu'à 50 grenouilles jouent à cache-cache dans la maison ! Sous un casque, dans l'eau du bain ou sur une plante… Au fil des pièces, on s'amuse à les chercher dans un décor foisonnant, et soudain : Diiing ! Vlouff ! Miaaaou ! Dérangées par un habitant, les voilà qui bondissent de leur cachette, pour le plus grand plaisir des petits détectives.
Si Marion n'a pas le droit de voir l'intérieur de la boîte mystère de son frère Simon, c'est pour une bonne raison : c'est parce que c'est quelque chose de terrible, d'horrible, de monstrueux qui fout la pétoche ! Quelque chose qui se cache et qui ferait mieux de rester caché...
En faisant les courses, Calinours a dépensé tout son argent. Mais pourquoi son panier est-il à nouveau vide ?
Tout le monde se presse sur la ligne de départ : Freddy le lapin et ses cousins, Vincent le blaireau, Didi l’écureuil et… Lucy la tortue. Les autres sont unanimes : Lucy n’a aucune, mais vraiment aucune chance de gagner. À moins qu’un imprévu ne s’en mêle…
Et justement, voilà le loup qui, apercevant toutes ces proies rassemblées, décide de leur tendre un piège. Clac ! Et hop ! Lucy arrive loin derrière, elle est la seule rescapée. Elle pourrait continuer la course. Mais elle a mieux à faire que de gagner toute seule !
Sur sa route pour venir à ma fête d’anniversaire, j’ai confié deux missions à Mamie Georges : mettre son déguisement dans le train, et m’acheter un maximum de ChocoTrain à la voiture-bar, le seul endroit où l’on en trouve. Rien, je dis bien rien n’arrêtera Mamie Georges dans l’accomplissement de ses missions.
Ce que Colette et Mo aiment le plus au monde, soyons clairs, c’est jouer. Alors pourquoi pas jouer aussi avec l’école ? Jouer à y aller, ou pas. À énerver la maîtresse, ou à la calmer. À être à l’heure, à évacuer le stress, etc.















