Thème « initiation, épreuve »
Dans son palais, le prince Espoir du Jour a tout pour être heureux, mais il rêve de grands espaces et de pays merveilleux où le bonheur serait parfait. Sur les conseils de son amie, la fée Coquelicot, il s’embarque pour un long voyage, seul aux commandes de l’avion de ses parents. Il visite l’île aux coquillages, l’île aux parfums, l’île aux chansons, l’île aux sourires… Toutes ressemblent au paradis, et pourtant, chacune recèle un affreux secret. Mais alors, le bonheur parfait, où se cache-t-il ?
Au coeur de la forêt profonde, la Tigresse pleure la mort de ses petits. Des chasseurs les ont tués. Depuis, elle rôde autour des villages, le coeur empli de haine et de chagrin. Un soir, elle détruit les maisons, dévore les hommes et les bêtes, mais cela n'apaise pas sa colère, au contraire. Le pays est plongé dans la terreur. Le roi consulte la vieille Lao Lao, qui lui déconseille formellement de lever une armée. Une seule chose, selon elle, peut apaiser sa colère. Le roi doit lui donner son fils unique, Wen. Le roi et la reine ont le coeur brisé. Wen est si petit! Son père l'accompagne pourtant aux abords du territoire de la Tigresse. « Je n'ai pas peur », dit-il à son père. Il marche longtemps, puis, fatigué, s'endort au pied d'un arbre. Déjà la Tigresse a senti son odeur...
Terrible nouvelle, il paraît qu'un Tournemire vole les enfants dans les maisons et les remplace par des objets. Mose et Azilise, les héros de cette histoire, savent, eux, qu'ils n'ont pas été volés. Simplement il leur arrive des choses très étranges. Et à leurs parents aussi, d'ailleurs. Mais plus que du Tournemire, c'est de l'effaceur d'enfants qu'ils devront se méfier !
Turlututu est grand maintenant; le temps est venu pour lui de quitter ses vieux parents. Turlututu chevauche alors son fidèle Galopin et part à l'aventure. Un croque-mitaine, une île mystérieuse, un château fort et une certaine Lili : Turlututu rencontre tellement de nouvelles choses et de nouvelles personnes !
Un livre animé enchanté et enchanteur, à mi-chemin entre le mystère du Moyen-Âge et la comptine...
En cette belle nuit, le ciel est sombre comme de l’encre. Des étoiles brillent, qui sont autant de pierres précieuses. Dans une maison des montagnes du pays de l’Est dort une enfant nommée Nisnoura. Tout semble normal, mais les apparences sont trompeuses…
Contrairement aux autres Pozzis, Abel ne sait pas changer de couleur de robe quand bon lui semble et bien qu’il ne soit plus très jeune, au lieu de construire des ponts, il est ramasseur d’herbe.
Comme tous les Pozzis, Abel mesure environ vingt centimètres, il n’aime que le potage et il n’a qu’une seule crainte, c’est le Lailleurs. De ce pays peuvent surgir de grands dangers. Mais comment le savoir ? Il faudrait un Pozzi qui ait le Don. Heureusement, il y en a un parmi eux que seul Capone, leur chef, peut reconnaître.
Chargé avec d’autres Pozzis de retrouver Adèle perdue dans le Lailleurs, Miloche sort de l’arbre-grotte où ils ont trouvé refuge. Il découvre, gisant sur le sol, la bête qui a failli tuer Antoche la veille et qu’une flèche a terrassée. Or cette flèche ne peut appartenir qu’à un Lailleurien. Quel est donc ce Lailleurien qui a voulu les sauver ? Miloche est prêt à tout pour le savoir. Y compris à réveiller la bête aux épines dorées, coupantes comme des lames. Y compris à la suivre dans la forêt sombre et froide. Jusqu’où le mènera sa quête ?
Lily quitte l'étoile ronde sur laquelle elle vit depuis toujours et part en voyage avec sa valise magique et son oiseau Tody. Elle rencontre Nem, le nuagien, qui l'emmène au royaume des nuages où elle va vivre une aventure extraordinaire.
Une histoire poétique écrite et illustrée par Thibault Prugne, racontée par François Morel sur les musiques aux sonorités gitanes de Jean-Pierre Jolicard. « Téo entendait de la musique partout : dans le cliquetis des mâts et le clapotis des vagues, dans le chant des mouettes et le souffle du vent. »
Parfois, quelqu’un change votre nom et vous devenez Mô-Namour. Parfois, ce même quelqu’un dit qu’il veut jouer et vivre avec vous, mais il ne fait que vous obliger à lui faire des gâteaux, vous prendre pour une balle, et vous envoyer partout à coups de coups. Parfois, quelqu’un d’autre, une étoile tombée de votre douleur, par exemple, vient vous dire la vérité : Hiltedi Kiltème Mézilteveu Dumal. Alors il faut partir, chercher ailleurs la paix. C’est ce qui est arrivé à Isée. Elle était devenue orpheline, elle était devenue une victime, mais ça ne pouvait pas durer.
C'est à Moussa que Grand-père a confié ses herbes et son pipeau magiques. Ce sont des armes puissantes et Moussa saura s'en servir, s'il le faut. Si, par exemple, l'affreux Gloupic Dévortou vient à menacer sa famille...
Le roi et la reine cherchaient un professeur pour leur fils, le prince Pouf. De nombreuses têtes couronnées leur ayant recommandé un certain Monsieur Ku, ils le firent venir au château, contre l’avis de leur chambellan. Au soir de la première leçon, quand ils surent ce que Petit Prince Pouf avait appris, ils furent un peu inquiets. Au soir de la deuxième leçon, quand ils surent ce que Petit Prince Pouf avait appris, ils furent encore plus inquiets. La troisième leçon les horrifia. Et pourtant, ces trois leçons allaient suffire à Petit Prince Pouf pour devenir un grand roi. Elles allaient aussi faire le bonheur de ses parents. Et le malheur du chambellan.
Depuis que Maman est parti vendre des crêpes au Japon, Papa est tout le temps très fatigué et Rebecca doit jouer toute seule. Mais Caillou le chat lui parle du tilleul immense, là-bas, de l’autre côté de la Colline-aux-Renards-Bleus et de ses fleurs magiques. Si Papa en boit une tisane, alors il ne sera plus jamais fatigué ! Alors Rebecca et Caillou s’élancent sur le chemin et partent à l’aventure.
À force de ressasser leurs aventures dans le Lailleurs, Abel, Adèle, Antoche, Miel, Miloche, Alysse et Ulysse ont fini par inventer une longue histoire, peuplée de monstres, de nuages aux yeux verts et de soleils à l’envers que les autres Pozzis ne se lassent pas d’écouter. Ce soir, le chef Ignace leur a demandé de raconter les dix épisodes de leur aventure, en musique, en chansons et en une seule fois. Ce sera la Grande Représentation. Tous les Pozzis sont invités, même les chefs disparus, qui flottent dans le ciel transformés en nuages roses. L’un d’entre eux se démarque des autres, il paraît plus grand, plus rose, plus brillant aussi. Il s’agit du Chef Pozzi, celui par qui tout a commencé…
Chez les Pozzis, c’est la fête ou plutôt la récréation. Au programme : concours du meilleur lanceur de boulettes-rectangles et du plus grand avaleur de potage.
Mais Abel, l’extra-lucideur qui voit mieux et plus loin que les autres Pozzis, n’a pas le cœur à s’amuser, ni même à danser avec la belle Adèle. A-t-il compris que son chef, Capone, était en danger ou bien est-il inquiet pour les bébés Pozzis ? À moins que le danger ne vienne du Lailleurs car le danger vient toujours du Lailleurs…
Mais flûtedezut, zutdeflûte, que se passe-t-il au pays si paisible des Pozzis ?
Les Pozzis ont peu de mémoire, comme chacun sait. Pourtant, ceux qui sont partis dans le Lailleurs n’ont rien oublié de leur expédition. Depuis leur retour au pays, ils bavardent, confrontent leurs souvenirs, se murmurent des secrets au creux de l’oreille. Or les Pozzis sont censés ne rien savoir du Lailleurs, c’est la règle. Et leur chef Léonce finit par interdire toute discussion à ce sujet. Il ne faut plus en parler, plus y penser. Jamais. Après cette interdiction, Miloche pâlit à vue d’oeil, se laisse dépérir, mugit quand il en a la force en direction du Lailleurs… Mieeeeeeel ! Ni Alysse ni Ulysse n’ont de doute, Miloche appelle son âme-frère rencontrée dans le Lailleurs. Comment va-t-il surmonter cette séparation ? Les deux Pozzis, très inquiets, sont prêts à tout pour l’aider.