Thème « imagier »
Du rouge ballon au vert cornichon en passant par le gris souris, quel bonheur qu’il existe au monde autant de coloris ! Noir de la nuit ? Blanc des petites aigrettes de pissenlits ? Ou rose ? Il y en a vraiment pour tous les goûts et pour peindre chaque chose. Chacun peut bien sûr avoir sa couleur préférée. Mais l’important pour nos amies souris, c’est que la vie soit bariolée et les couleurs variées !
Du désert à la banquise, il n’existe pas un seul recoin de notre planète qui ne soit habité par des animaux. Ils sont tous attachants et la terre a besoin de chacun. Dans cet album, deux personnages entreprennent un tour du monde en ballon, pour nous faire découvrir la variété et la beauté de la faune. Ils survolent les continents, les océans, les climats, les habitats, et voient défiler les panoramas, les paysages qui s’enchaînent et les activités des habitants.
Dans un imagier, il y a des objets de la vie quotidienne, des ustensiles, des vêtements, des fleurs, des animaux, des aliments. Dans un grand imagier, il y a en plus des meubles, des détails, des actions, des saisons, des paysages, des instruments de musique, et même des mots très difficiles à prononcer, comme « excavatrice » ou « glockenspiel », parce que, si on n’apprend pas à le faire à trois ans, ce sera encore plus dur après.
Dans cet imagier-là, il y a en prime le style clair, net et coloré du père de nos héros chéris, Anton et Lola.
Il existe beaucoup de verbes pour désigner ce que nous pouvons faire avec notre corps et nos cinq sens. Ils sont variés et nuancés. Est-ce qu’on peut caresser un cactus ? Voir, est-ce exactement pareil que regarder ? C’est normal de ne pas pouvoir sentir quelqu’un qui pue ? Si tu as un balai, tu préfères jouer aux sorcières ou travailler à enlever les saletés ? Avec son dernier album, Tomi Ungerer nous aide à distinguer.
Les vacances dans la maison de papi et mami touchent à leur fin. Pour les faire durer encore un peu, les enfants jouent à passer en revue ce qu'ils préfèrent de cette maison : quelle chambre, quelle chaise, quel jouet, porte, escalier, assiette, photo… Quel inventaire ! Et le jardin ? On l'emporte tout entier, dans le cœur !
L'idée de Mon Petit Musée d'Orsay est simple : offrir au regard de chacun, et donc d'abord à celui des enfants, un détail tiré d'une œuvre appartenant au Musée d'Orsay. Passionné d'art, Grégoire Solotareff propose un accès libre, non académique, ludique, à la diversité des styles et des œuvres. Ce livre pourrait être un jeu pour tous les âges de la vie : pour les plus jeunes, celui de nommer, pour les adultes, celui de retrouver les tableaux dont sont extraits les détails. Et pour s'amuser aussi avec le langage, les légendes sont proposées en français, et en anglais.
Un enfant regarde un gâteau avec une mine gourmande : voici l'illustration du verbe « attirer ». Un jardinier remarque une feuille morte qu'il n'a pas encore ramassée dans son sac ; la légende de cette image est « presque ».
Plus de 300 notions et nuances sont illustrées ainsi, avec une simplicité non dépourvue de malice. En faisant appel aux associations d'idées, à la merveilleuse logique enfantine, et au goût du jeu, Christoph Niemann signe un imagier très original où seules les couleurs sont primaires !
149 mots, d'Aigle à Zèbre, illustrés par les détails de 149 tableaux de grands peintres, de Jérome Bosch à Picasso
Quinze familles, quinze intérieurs, quinze pièces à vivre, quinze inventaires, quinze univers. Ici, un squelette, là, un accordéon, ailleurs encore, un vêtement, un meuble ancien… Partout, de la vie. Car cet imagier pas comme les autres est pour Pascale Bougeault le prétexte à croquer sur le vif les portraits de toutes sortes d’êtres humains, à fixer les ambiances de cette installation artistique permanente qu’est la vie dans une maison ou un appartement. Bienvenue chez eux !
Il existe quantité de sports incroyables et ils sont tous merveilleux ! Ole Könnecke leur consacre un imagier pas comme les autres, qui détaille les règles de chaque jeu, montre des animaux sportifs en pleine action et pose des questions essentielles : « As-tu déjà pensé à la chance que tu as de ne pas être un sac de frappe ou un punching-ball ? »
De quoi susciter des vocations…









