Thème « grands-parents »
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
« Je déteste les céréales ! » disait chaque jour Rosaline. Et Grand-Mère répondait : « Les céréales sont bonnes pour toi, ma chérie. Tant que je vivrai, tu en mangeras. »
Alors Rosalie cessait de se plaindre. Elle voulait bien manger des céréales matin, midi et soir pourvu que Grand-Mère vive toujours. Or, un matin, Grand-Mère ne se leva pas comme d'habitude pour le petit-déjeuner.
Petit ventre se sentait seul. Il n'avait pas envie de jouer avec son voisin, l'écureuil, il le trouvait trop petit.
« Et moi ? Je suis là ! » lui dit sa grand-mère.
« Mais tu es ma grand-mère, tu ne comptes pas ! » dit Petitventre.
« Puisque je ne compte pas, je m'en vais », répondit-elle. « Et si tu t'ennuies, tu n'as qu'a inviter quelqu'un. Débrouille-toi. À ce soir, Petitventre. »
Un petit plant tout rabougri était bradé à l’entrée du supermarché. Hana l’a remarqué, l’a réclamé à son papa, l’a rempoté, arrosé, soigné, et protégé des chenilles. Le jour des grandes vacances, elle l’a emporté avec elle passer l’été chez sa grand-mère. Ses parents la désapprouvaient ? Hana a tenu bon. Le typhon souffle ? Le petit plant, enraciné dans le potager, résiste. La nature récompense souvent ceux qui prennent soin d’elle. Au coeur de l’été, Hana pourra bientôt inviter toute sa famille à un festin de tomates cerises !
Quand Laura, le terre-neuve d'Alice, prend des vacances à Paris, il faut s'attendre à ce qu'il ait la nostalgie de la mer...
« Moi, je ressemble à mon grand-papa. Je suis toute petite comme lui. Je n'ai qu'un cheveu sur la tête, comme lui. Je fais souvent la sieste, comme lui. Et quand on me regarde, je ne parle pas, je souris, comme lui. »
Pour la première fois, Djamilia vient passer ses vacances dans les montagnes du Kirghizistan, chez ses grands-parents éleveurs de chevaux, qui dorment dans une belle yourte blanche. mais où est Petit-Noir le poulain ? Parti tout seul à l'aventure, il s'est blessé à la patte. Il faut l'aider à téter sa maman, le rassurer, lui parler doucement, le panser... Djamilia est prête à apprendre tout cela, pour l'amour de Petit-Noir !
Voici l'histoire de Jean Carotte, un petit lapin qui en avait assez que tout le monde l'appelle « Mon petit lapin ». Alors, pour bien montrer aux grands qu'il n'est plus « leur petit lapin », Jean Carotte décide un jour de devenir le pire des lapins...
Chouette ! C’est aujourd’hui le grand jour : Papi m’emmène à la mer dans son camping-car, le plus beau de tous les camping-cars ! Un camping- car, c’est comme une vraie maison : on peut jouer dedans, dormir dedans, y préparer des pique-niques… Mais Papi ne voit pas les choses ainsi : sitôt garé, il faut sortir, partir en promenade, marcher jusqu’à la côte, chercher l’aventure… Je râle. Heureusement, une énorme tempête se lève : vite ! Il faut se réfugier… Devinez où ? Dans notre camping-car bien douillet !
Il y a bien longtemps, j’habitais tout en bas de la montagne ; et tout en haut, il y avait un petit village où vivait la plus belle ourse du monde ! Un soir, pour la retrouver, j’empruntai le minuscule chemin qui serpentait, à peine visible à travers les buissons et les herbes de montagne. Le ciel changea brusquement… et les premiers flocons tombèrent.
Le professeur Plume observe les oiseaux du cerisier pendant des journées entières. Son épouse, Madeleine, aime surtout leurs chants. Elle a même appris à siffler comme eux. Avec son visage tout fin, son petit nez pointu et ses yeux ronds, Madeleine ressemble un peu à un oiseau. D’ailleurs, Monsieur Plume, qui aime beaucoup sa femme, l’appelle tendrement sa « petite plume ».
Les kakis, c'est si bon que, dès l'automne venu au Japon, les corbeaux et les enfants rivalisent pour déguster les plus mûrs. Mais un corbeau, ça vole, sacré avantage ! Heureusement, les grands-parents de Ken-tchan sont là, avec leurs trucs et astuces, pour permettre au petit garçon de se régaler avec ses amis. Car ils savent bien que les kakis, c'est très bon aussi pour passer l'hiver en bonne santé.
Ma grand-mère, elle est plus savante que le guérisseur. Elle sait comment le chameau a eu sa bosse, et pourquoi la grue se tient sur une seule patte… Ma grand-mère à moi, elle est plus forte que cent lions, cent buffles et cent rhinocéros à la fois, même ! Et elle est plus douce que le coton-graine, plus belle que les fleurs de la brousse…
Jacquotte part en week-end chez les Renés, ses grands-parents écolos, et Sheila, sa baby-sitteuse adorée, l’accompagne ! Sheila la citadine va-t-elle goûter les joies de la campagne, le potager, les toilettes sèches ? Pas sûr. En plus Sheila s’est amourachée d’un certain Denis, et ici son précieux téléphone ne capte pas ses messages… En cherchant désespérément un endroit avec du réseau, elle risque même de faire une énorme bêtise…













