Thème « grands-parents »
Monsieur et madame Canard sont encore dépassés par leur fille Bébé Canard. Elle a horreur de ses nouvelles lunettes. Mais, une fois de plus, Grand-papa saura quoi faire.
Bon Papa, c’est le papa de Papy et le papy de Maman. Il est très vieux. Je crois qu’il a connu les dinosaures. Quand on est ensemble, on rigole beaucoup. Par exemple, quand il vient me chercher à l’école, il arrive en avance en disant à la maîtresse qu’il a rendez-vous chez le docteur. En vrai, c’est pour m’avoir plus longtemps avec lui.
Le mercredi, c’est Papy qui s’occupe de moi. Enfin, « s’occupe de moi », c’est vite dit… Ce n’est jamais lui qui choisit ce qu’on va faire dans la journée ! Et ce matin, Papy me demande :
- Tu veux aller au parc ou à la bibliothèque ?
- Hum… Je ne sais pas trop ! Et toi ?
- Moi ? Ça m’est égal ! Bon, ben… je vais boire un café en attendant que tu te décides !
Bébé Canard traverse une dure journée. Un bébé flambant neuf vient d'entrer dans la maison, et il monopolise toute l'attention. Mais grâce au ciel, Bébé Canard a un Grand-papa qui sait résoudre les problèmes les plus délicats !
Chaque enfant a son étoile. Comment faire pour la voir ? Il faut dormir. Elle ne s'allume dans le ciel qu'au moment où l'on s'endort...
Aujourd’hui, rien ne va pour Momo. « J’en ai marre, dit-il, quelle horrible journée ! C’est pas juste ! »
Heureusement, Papy arrive et lui propose une partie de pêche à la lune.
Pour cela, il faut : un seau, une louche, de la patience et ouvrir grand ses yeux et son coeur.
On dit que les grands-parents ne sont pas marrants, les grands-parents sont lents, les grands-parents sont maladroits… Découvrez ici la vérité vraie sur les grands-parents, à travers les yeux d’un petit-fils admiratif.
Enfin les vacances ! C'est mon moment préféré ! Du moins jusqu'à cette année : mes parents ont décidé de m'abandonner chez mes grands-parents, pour ne partir que tous les deux. Sans moi, leur oisillon…
Aujourd’hui est un grand jour. Lucette a décidé d’apprendre à faire de la bicyclette. Sans roulettes. Il n’y a pas de temps à perdre : ce soir, Lucette doit être une grande. Mais pourquoi est-elle si pressée ?
Mimi part en vacances chez ses grands-parents. Elle a emporté du pain pour Zoé, la chèvre, et un joli panier pour promener Pistache, la cane. Mais Pistache n'a aucune envie d'aller se promener: elle vient d'avoir des petits.
Petit Ours aime beaucoup aller chez Grand-Papa et Grand-Maman Ours, dans leur jolie petite maison nichée dans les bois. Il peut essayer le grand chapeau de Grand-Papa Ours, ou manger les goûters délicieux que lui prépare Grand-Maman Ours. Parfois il va sous la tonnelle et Grand-Maman raconte des histoires de quand elle était petite, et d'autres fois Grand-Papa Ours raconte des histoires de lutin qui a perdu ses chaussures...
Petit-Ours aime beaucoup aller chez Grand-Papa et Grand-Maman Ours, dans leur jolie petite maison nichée dans les bois. Il peut essayer le grand chapeau de Grand-Papa Ours, ou manger les goûters délicieux que lui prépare Grand-Maman Ours. Parfois il va sous la tonnelle et Grand-Maman raconte des histoires de quand elle était petite, et d'autres fois Grand-Papa Ours raconte des histoires de lutin qui a perdu ses chaussures...
Dans la série Petit-Ours : « Petit-Ours », « L'Amie de Petit-Ours », « Papa-Ours revient », « Un baiser pour Petit-Ours ».
Picot sait ce qu’il veut. Et ce qu’il veut, c’est des câlins ! Mais personne n’est disposé à lui en faire. Heureusement, la tendresse peut s’exprimer de bien des manières…
Un hiver, le père de Philippe Dumas est mort. Il n'est pas parti en voyage, il ne nous a pas quittés, il n'a pas disparu. Il est mort. Et sa mort n'est pas un accident à taire, à passer sous silence, à étouffer, parce qu'en parler c'est tout simplement pouvoir mieux vivre et trouver des réponses à nos questions : Qu'est-ce que ça veut dire mourir ? Comment cela se passe-t-il ? Y a-t-il quelque chose après ? En parler, c'est aussi accepter que sa mort fasse partie de sa vie même et de ses tourbillons, exactement comme l'avait été sa naissance dans une fratrie nombreuse et la saveur des dragées d'alors. Ou ses bêtises d'enfants, ses récompenses d'adolescent, l'horreur de la Grande Guerre mais aussi la douceur des sentiments. Ou la saveur des dragées à la naissance de ses enfants et de ses petits-enfants. Ou sa maladie et les pansements des souvenirs. En parler, c'est faire fuir la peur qui se nourrit de silence et d'omissions. Comprendre que chacun doit trouver ses réponses, ne rien attendre ou tout espérer de l'après et, surtout, vivre intensément.
Les parents de Marjorie sont dans une cage. Elle sait qu’en vérité ça s’appelle une prison, mais elle préfère le mot « cage », comme plage, sage, nage, nuage…
Il y a beaucoup d’autres mots que Marjorie aime bien. Pourtant, elle n’ose plus les dire depuis que, d’un simple regard, sa grande sœur lui ordonne de se taire. C’est comme si les rayons de soleil que Lucile avait dans les yeux avant le départ de leurs parents étaient devenus des langues de serpent qui voudraient piquer. Et quand elle parle, c’est avec une voix de crapaud en colère !
Alors, le jour où Lucile lui interdit de devenir copine avec Margot, qui vient d’emménager dans le quartier, Marjorie hoche la tête pour dire oui.
Et quand Lucile aux yeux de serpent décide de s’« amuser un peu » avec la nouvelle voisine, Marjorie serre les lèvres et se tait. Mais elle commence à avoir très peur.
Si je vous dis que mon grand-père est magicien et que mes parents voyagent partout dans le monde, ça donne l’impression d’une famille géniale, non ? Mais non. D’abord parce que j’habite chez mes autres grands-parents, pas du tout amusants. Et surtout parce que je m’appelle Tim Ellento et que la malchance, dans ma famille, c’est une malédiction. Le genre de malchance qui fait que des choses très bizarres et pas franchement rassurantes vous tombent dessus.