Thème « grand-père »
Le professeur Plume observe les oiseaux du cerisier pendant des journées entières. Son épouse, Madeleine, aime surtout leurs chants. Elle a même appris à siffler comme eux. Avec son visage tout fin, son petit nez pointu et ses yeux ronds, Madeleine ressemble un peu à un oiseau. D’ailleurs, Monsieur Plume, qui aime beaucoup sa femme, l’appelle tendrement sa « petite plume ».
Papipa est mort et cela éveille beaucoup de questions chez Raoul. « Si tu ne pleures pas, c’est parce que tu gardes tes larmes à l’intérieur ? » demande-t-il à son papa.
« Et qu’est-ce que c’est d’être enterré ? Est-ce que ce n’est pas dangereux d’être au ciel ? », s’inquiète sa petite sœur.
Raoul la rassure : « Papipa a dû retrouver Maminou et elle le tient par la main. » De toutes façons, pour Raoul, Papipa est toujours un peu là…
« Dis pépé, qu'est-ce qu'il y a dans cette boîte ? – Dans cette boîte, mon p'tit pote, il y a toute une histoire. Ouvre. – Qu'est-ce que c'est qu'ce truc ? – Ce truc, comme tu dis, n'est pas une poêle à frire. Laisse-moi te raconter... »
Découvrez la fabuleuse histoire du ukulélé et de ses inventeurs. Un voyage musical écrit, lu et chanté par Thomas Fersen.
On n'a pas tous les jours l'occasion de partir au Kenya faire la connaissance de son grand-père. Et on n'a pas tous les jours l'occasion de devenir la meilleure amie d'un éléphanteau. Ni de se perdre dans la brousse. Elsa sait tout cela, et elle est bien décidée à profiter de chaque seconde de ses vacances !
Barzolo et Barzolino se promènent dans la montagne, dans les grandes prairies d'herbes hautes. Les deux oursons se souviennent qu'ici, « avant », ils venaient pêcher, faire du ski, se baigner, s'amuser avec Grand-Papa. Mais, depuis, les deux oursons ont reçus une lettre leur disant que Grand-Papa s'était endormi pour toujours. Maintenant rien n'est plus pareil dans la montagne...
De mémoire de loup, on n’a jamais vu de petite louve aussi douée que Camille. Une moyenne de 30/20 à l’école, première en tout, première partout, même dans la cour de récré quand elle joue à chat ! Jusqu’au jour où le professeur de chasse lui donne un devoir qui lui hérisse le poil. Camille doit faire le portrait de son grand-père et elle est incapable d’écrire une seule ligne ! Elle ne sait rien de lui. Quand elle interroge ses parents à son sujet, ils évitent de lui répondre, comme s’ils lui cachaient quelque chose. Camille flaire un lourd secret. Qui était ce grand-père dont on ne veut rien lui dire ?
Un hiver, le père de Philippe Dumas est mort. Il n'est pas parti en voyage, il ne nous a pas quittés, il n'a pas disparu. Il est mort. Et sa mort n'est pas un accident à taire, à passer sous silence, à étouffer, parce qu'en parler c'est tout simplement pouvoir mieux vivre et trouver des réponses à nos questions : Qu'est-ce que ça veut dire mourir ? Comment cela se passe-t-il ? Y a-t-il quelque chose après ? En parler, c'est aussi accepter que sa mort fasse partie de sa vie même et de ses tourbillons, exactement comme l'avait été sa naissance dans une fratrie nombreuse et la saveur des dragées d'alors. Ou ses bêtises d'enfants, ses récompenses d'adolescent, l'horreur de la Grande Guerre mais aussi la douceur des sentiments. Ou la saveur des dragées à la naissance de ses enfants et de ses petits-enfants. Ou sa maladie et les pansements des souvenirs. En parler, c'est faire fuir la peur qui se nourrit de silence et d'omissions. Comprendre que chacun doit trouver ses réponses, ne rien attendre ou tout espérer de l'après et, surtout, vivre intensément.
Mlle Mouette est vraiment chouette : dans sa classe, les huit élèves font un peu ce qu’ils veulent et progressent à leur rythme. Ferdinand n’en revient pas de s’y sentir aussi bien, lui qui jusqu’alors a fréquenté l’école en pointillé, obligé de déménager au gré des petits boulots de son grand-père. Et lorsque la minuscule main de Gaufrette se glisse dans la sienne, Ferdinand n’a plus qu’une envie : y rester le plus longtemps possible.
Mais son nouveau bonheur est fragile. La directrice est loin d’apprécier les méthodes éducatives plutôt originales de Mlle Mouette. Pour éviter la catastrophe, Ferdinand et ses nouveaux amis, Gaufrette, Babouche et un gros monsieur qui sent la bière, vont user de micropouvoirs pas si petits que ça. Des pouvoirs surnaturels qui leur sauveront la mise mais les placeront aussi dans des situations plus qu’embarrassantes…
Tous les troisièmes dimanches de chaque mois, Lola retrouve son Papy Jacquot et pendant des heures, tous les deux, en silence, ils font des origamis. Or un dimanche, impossible pour Lola de lui rendre visite. Même si ses parents ne lui disent rien ou si peu, même si elle ne parle pas, Lola comprend que son grand-père est à l’hôpital et qu’il est très malade. Un jour, elle rencontre un drôle de garçon qui parle tout le temps et qui a d’étranges activités : il pêche mais avec une canne à pêche sans fil ; il chasse les pigeons mais avec un lance-pierres sans pierres et il est prêt à aider Lola à envoyer un signe à son grand-père.
Mon père dit qu’on va saluer Grand-Père Charles. Ça veut dire qu’on va au cimetière. Il est mort avant ma naissance, je ne l’ai jamais connu. Quand même, j’aime bien discuter avec lui, mentalement. Sur sa tombe, il y a ce chat trop mignon, un peu bizarre aussi. À 8 ans, on ne croit plus aux fantômes. En tout cas moi, je n’y crois pas. Alors quand je découvre mon grand-père dans ma chambre, au milieu de la nuit, je n’ai pas peur, je suis surtout très curieuse...
Les dunes de sable, le désert de Mauritanie et son grand-père Hassen, le chamelier : Yani ne les avait jamais vus. C’est la première fois que sa mère l’emmène à la découverte du pays où elle a grandi, avant de partir étudier la médecine. Un monde si proche et si loin à la fois, que Yani imaginait à peine, avec sa chaleur écrasante et la beauté infinie du ciel étoilé. Mais le temps presse : Hassen veut à tout prix transmettre à Yani l’art ancestral de guider un troupeau à travers les mille pièges du désert, jusqu’à l’oasis bienfaitrice. Et voilà Yani à la tête de 114 chamelles…
Où Ferdinand pourrait-il trouver un lit pour la nuit ? Pourquoi pas chez Babouche, son copain bourré de tics sonores ? Un peu trop bruyant ! Alors chez Stéphanie, la fiancée de son grand-père ? Le problème, c’est qu’elle est en froid avec le fringant papy. Et chez Gaufrette ? Son amie muette lui fait un peu la tête, jalouse de Zibeline, la fille époustouflante qui fait battre le coeur de Ferdinand. À moins qu’il ne finisse par dormir dans la rue, livré à lui-même. Ferdinand aura bien besoin de ses micropouvoirs pour trouver un refuge et déjouer les plans d’inquiétants pyromanes.
Il est gentil, pépé Marcel, mais se lever à quatre heures du matin pour aller à la pêche alors qu’il n’y a même pas école, « faut être fou » !
Mais comme maman insiste, Octave accepte – en râlant quand même un peu – d’accompagner son grand-père dans la nuit noire pour pêcher la daurade. Les minutes passent, et le petit garçon commence à s’ennuyer ferme au bord de l’eau… et en plus, pépé s’est endormi !
Soudain, la ligne frétille, s’agite : ça mord ! Octave a beau tirer de toutes ses forces sur la canne, il se fait brusquement entraîner sous l’eau…
Au bout de la ligne : un poisson géant ! Et pas n’importe lequel : il s’agit d’Aurata, la reine des daurades royales.
Aurata a besoin d’Octave : les poissons de l’île sont menacés par l’arrivée prochaine d’un chalutier qui pêche tout sur son passage. Mais qu’est-ce qu’Octave peut bien y faire ? « Ch’uis qu’un tout petit garçon… », dit-il.
Mais Aurata a un plan, et Octave va devoir risquer gros pour l’aider…
Mon papi est aviateur. Il a donné un nom à son petit avion : Paloma. Je vole avec lui depuis que j’ai sept ans. Vu d’en haut, tout est beau, même des choses moches, comme l’école ou l’autoroute. Le dimanche, on se retrouve à l’aéroclub. Il m’achète des bonbons, on choisit le plan de vol, on vérifie que tout marche bien et on décolle. Enfin, jusqu’à maintenant. Parce qu’hier, papa m’a annoncé que papi avait un problème au coeur. Il doit se faire opérer, alors plus de vol pendant au moins trois mois. C’est triste, mais j’ai une idée…
Et pourtant, Thomas était persuadé de bien connaître son grand-père. Il l'avait toujours vu là, souriant, gentil, dans le cadre familial. Il aurait juré qu'aucune surprise ne pouvait venir de la part de ce petit homme tranquille. Aussi va-t-il d'étonnement en étonnement au cours du voyage qu'il entreprend avec son « Pépé la Boulange », à bord d'une vieille traction rafistolée. L'étonnement grandit encore lorsqu'il découvre Belle-Île, le pays natal de son pépé, et que l'enfance de Julien Granger s'impose tout à coup, sauvage et magnifique tout à la fois. Enfin Pépé la Boulange avait gardé tout au fond de son être un secret plus intime. Des rapports tendres et vrais entre un vieil homme pas gâteux et un enfant pas infantile... En arrière-plan, la splendeur de Belle-Ile.
« Mon grand-père m’avait promis une tarte aux pommes pour le goûter, j’ai donc pressé le pas. Il faisait un temps glacial […] Un silence étrange semblait descendre du ciel. Je n’ai jamais vu la neige tomber, mais j’avais appris dans un livre que le moment qui précède les premiers flocons ressemblait à ça. J’ai voulu me rappeler où j’avais lu ça exactement et j’ai commencé à faire mentalement la liste de tous mes romans préférés, jusqu’à repenser à un polar où l’inspecteur Maigret revenait dans son village d’enfance parce qu’il avait reçu une lettre dans laquelle on annonçait qu’un crime se préparait là-bas. J’avais oublié les détails mais je me souvenais bien qu’il faisait un froid intense, que les après-midi étaient gris, que l’inspecteur Maigret parcourait le village d’un bout à l’autre, et qu’après il se réchauffait devant le poêle de l’auberge où il était logé. »
Comme dans ses romans préférés, Maléna enquête sur un crime survenu dans le village de son grand-père. Un innocent est accusé du meurtre de l’infirmière, l’affaire pourrait avoir un lien avec la maison abandonnée du mystérieux Anglais et avec le vol d’un diamant inestimable en Angleterre dans les années trente…