Thème « grand-mère »
La mamie de Lou aime beaucoup les animaux. Ceux des livres, les doudous de Lou et puis les vrais : les chats, les vaches, les moutons… Elle comprend même leur langage et peut donner à manger à l’oiseau lorsqu’il dit : « J’ai faim ! »
Tous les vendredis, Sam passe dire bonjour à sa Mamie qui habite une maison de retraite. Il sait déjà tout ce qui va se passer : pas grand-chose à part le tic ! tac ! tic ! tac ! du réveil. Mais aujourd'hui, Mamie l'emmène dans le jardin. « Sais-tu que j'arrive à faire pleuvoir ? » dit-elle.
Grand-Mère a étendu son futon sur la véranda pour qu’il sèche au soleil après la lessive. Le premier à s’y installer pour faire sa sieste, c’est le chat. Hmmm… On est si bien sur ce futon tout doux qui sent le propre ! Au lieu de le chasser, Grand-Mère s’installe à ses côtés, bientôt suivie par la poule et ses poussins, un petit garçon, le chien, la chèvre et la famille cochon… et voilà toute la maisonnée qui pique un roupillon !
Un titre intrigant pour une histoire hilarante et délirante. Pendant que Maman vise le titre de championne du monde de deltaplane, Chouchou est gardée par Mamie Georges, pile le jour de son grand chantier d’été. Il faut vider la maison, tout passer à la machine à laver : meubles, jouets, murs, fenêtres… puis tout remettre en place. C’est un sacré chantier ! Heureusement, à l’heure de la pause, Chouchou a droit à son plat préféré.
Sur sa route pour venir à ma fête d’anniversaire, j’ai confié deux missions à Mamie Georges : mettre son déguisement dans le train, et m’acheter un maximum de ChocoTrain à la voiture-bar, le seul endroit où l’on en trouve. Rien, je dis bien rien n’arrêtera Mamie Georges dans l’accomplissement de ses missions.
Le gâteau pour Mamie est prêt. C'est Jeannot qui doit le lui apporter. C'est fragile. Il faut le tenir bien droit, mais en marchant, ce n'est pas évident. Aïe, quelque chose a bougé. C'est un petit chou qui s'est détaché. Il n'y a qu'une solution, se dit Jeannot : le manger. Un chou en moins, ça ne se remarque pas beaucoup.
« Je t'ai vu ! » crie l'écureuil à Jeannot. « Ca a l'air bon. Donne-moi juste un chou et je ne dirai rien à ta maman. »
Deux choux en moins, ça ne se voit pas tellement. Le problème, c'est qu'en chemin, Jeannot va aussi rencontrer la pie, la souris et le renard...
C'est l'été, il pleut, et, dans la maison de campagne, Mamie et Grand-Mamie travaillent beaucoup. Qui veut jouer avec moi ? Personne ! Pas un ami dans le voisinage. Heureusement, l'observation du nid d'hirondelles sous l'avant-toit est captivante. Quatre petits sont nés. Leurs parents les nourrissent et, ces jours-ci, leur apprennent à voler. Le petit dernier a plus de mal, il tombe, il a besoin d'aide… Me voilà !
Une fenêtre s’éclaire dans la maison. C’est Mamie qui se lève si tôt. Elle est encore fatiguée pourtant. Que peut-elle bien faire de si bon matin dans la cuisine ? Ils sont ronds, ils sont beaux et c’est leur bonne odeur qui me réveille. Miam ! À moi les petits pains chauds.
Mine a trouvé un joli coquillage en se promenant avec Poka. « Regarde Poka, c’est un cadeau pour Grand-Mère Dorée. Je vais l’emballer et l’envoyer par la poste .»
Ce sera pour demain, car Poka veut que sa petite fille dorme. Lorsqu’elle est seule dans sa chambre, Mine entend une petite voix sortir du coquillage. C’est Bercarte, le bernard-l’hermite qui veut toujours jouer aux cartes. Il ne sait pas que ses six amis s’inquiètent pour lui…
Ce n’est que la deuxième fois que ce petit garçon voit sa grand-mère venue le garder. Il n’est pas rassuré. Elle est bizarre. Mais bientôt, cette grand-mère pas comme les autres l’invite à se transformer en jaguar aux yeux d’or, et tous deux partent à travers des paysages somptueux. Féroces, intrépides, lestes, félins, comme en rêve ils gravissent des montagnes et boivent de l’eau au goût de clair de lune…
Hipollène est presque grande et son père a décidé de lui apprendre tous les secrets de la chasse aux glousses. Ils habitent dans l'Arbre sans fin. Au bout d'une branche il y a toujours une autre branche. Grand-Mère sait tout de l'arbre. Grand-Mère meurt, l'arbre pleure. Hipollène se cache dans sa maison secrète. Elle est si triste qu'elle se transforme en larme, et c'est le début de son immense voyage.
Petit Pierre et ses amis, Jars et Orang-outan, travaillent dans une belle caserne de pompiers. En cas d’alerte, ils sont prêts. Leur camion rouge ultrarapide bénéficie des équipements dernier cri : tuyau long de plusieurs kilomètres, aspirateur à fumée, canapé de sauvetage. Cette nuit, l’heure est plus grave que d’habitude. Tout un quartier de la ville est en feu et, au milieu des flammes, en haut d’une tour, il y a la mamie de Petit Pierre et Bubulle, son poisson rouge… Vite ! On a besoin des meilleurs pompiers du monde !
« Je déteste les céréales ! » disait chaque jour Rosaline. Et Grand-Mère répondait : « Les céréales sont bonnes pour toi, ma chérie. Tant que je vivrai, tu en mangeras. »
Alors Rosalie cessait de se plaindre. Elle voulait bien manger des céréales matin, midi et soir pourvu que Grand-Mère vive toujours. Or, un matin, Grand-Mère ne se leva pas comme d'habitude pour le petit-déjeuner.
Julian est avec Mamita, sa grand-mère. Leur métro s’arrête et des sirènes montent à bord. Julian adore les sirènes. «Moi aussi, je suis une sirène», dit-il. Une fois seul, il s’apprête, couronne sa tête de longues feuilles vertes qu’il orne de fleurs colorées, noue un long rideau crème à sa taille. Il est prêt. Mamita et lui partent main dans la main vers la parade.
Un petit plant tout rabougri était bradé à l’entrée du supermarché. Hana l’a remarqué, l’a réclamé à son papa, l’a rempoté, arrosé, soigné, et protégé des chenilles. Le jour des grandes vacances, elle l’a emporté avec elle passer l’été chez sa grand-mère. Ses parents la désapprouvaient ? Hana a tenu bon. Le typhon souffle ? Le petit plant, enraciné dans le potager, résiste. La nature récompense souvent ceux qui prennent soin d’elle. Au coeur de l’été, Hana pourra bientôt inviter toute sa famille à un festin de tomates cerises !
Boun vit avec sa grand-mère, dans un village au bord d'une forêt tropicale. Un matin, tandis qu'il joue seul, Boun aperçoit un papillon, un magnifique papillon rouge. Il volette autour de la maison, se pose sur la tête du cochon, sur le museau du buffle. « Reviens ! » lui crie Boun, « Je veux que tu te poses sur moi aussi ! » Le papillon s'éloigne déjà et se pose sur une feuille de bananier. Boun s'approche avec un filet. Trop tard ! Il s'est envolé. « Et si je me cachais sous un carton ? » se demande Boun. « Et si je me déguisais en fleur ? » Patience, Boun ! C'est quand tu ne le guetteras plus, ne le chasseras plus, que tu seras parfaitement immobile, presque endormi, que le papillon viendra se poser sur toi et te chatouiller du souffle léger de ses ailes...
Un texte délicat et drôle et des images chatoyantes pour cette éternelle histoire d'un enfant et d'un papillon.