Thème « France »
Il y longtemps, Ã Paris, dans une vieille maison aux murs recouverts de vigne vivaient douze petites filles. La plus petite s'appelait Madeleine.
À 1 h 30 du matin, sur la ligne 12 du métro, les souris de Montparnasse-Bienvenüe se réveillent et découvrent avec horreur que des bandits ont volé leurs provisions et entièrement dévasté le magasin de monsieur Trou des Halles. Les pillards ont laissé des traces... C'est Minie qui organise le plan de bataille contre les pires ennemis des souris du métro. Pires que le mégot qui brûle et le chewing-gum qui colle... LES RATS !
Sous la terre, dans les tunnels du métro, trottent des colonies de souris. Minie Malakoff et Mickey Babylone sont inséparables. Mais Minie a des insomnies et, parfois, elle réveille Mickey et les deux souris s'en vont faire des courses en pleine nuit. Par une de ces nuits blanches surgit, dans le magasin Dubonnet, une étrange souris toute blanche avec un curieux chapeau sur la tête. Elle dit s'appeler Maxime et être une souris de laboratoire. Ce qui n'explique pas le curieux chapeau qu'elle trimballe sur son crâne.
Je t'emmène dans mon jardin, tu vas voir, on peut y jouer à plein de choses... à la conquête de l'Ouest, aux pirates, à la navette spatiale, au foot, à s'asperger, et ce n'est pas tout ! Le jardin de Christine Davenier est effectivement un lieu merveilleux. Mais finalement, est-ce que tous les jardins ne sont pas magiques pour l'enfant qui y joue ?
Une histoire d'amitié entre Odette, moineau de Paris et un vieux musicien des rues. Comment ce dernier reprendra goût à la vie, quand tous deux donneront des concerts dans le métro. Comment Odette apprendra la douleur de la disparition, quand un jour, à son retour des pays chauds, le vieux musicien n'est plus là .
L'aventure peut être au coin de la rue. Fabien, avec sa petite soeur Nelly et sa cousine Nathalie, s'est perdu dans la fête foraine. Seuls dans le labyrinthe des rues, ils vont croiser toutes sortes de gens et de lieux, s'amuser, s'émerveiller, frémir et devenir de vrais explorateurs. Mais où est donc la rue Saint-Michel ?
Jean a perdu sa maman. Heureusement que Nestor, le pigeon bleu, est là ! Il le ramène chez lui en passant par les quais de la Seine, Notre-Dame, Montmartre et la tour Eiffel.
Pour la première fois de sa vie, Richie le petit poney prend le train et monte à Paris : Il vient voir la Tour Eiffel, Attention attention! Hélas, quand il arrive sur place, la tour Eiffel est fermée. On ne peut que la regarder par en dessous. Un vendeur de porte-clef le console, il y a tant à voir, à Paris… A travers cet album splendide, tendre, et riche comme un « cherchez Charlie », Claire Braud nous entraine dans la visite d’un Paris connu et inconnu, tout en surprises et en pas de côté. Et, pour ce qui veulent suivre la visite « en vrai », on trouvera un plan de la ville, annoté par Richie lui-même, en fin de livre !
Puccini vit dans l'oisellerie de Monsieur Emile. De tous les oiseaux, c'est lui qui chante le mieux, mais ses voisins sont si bruyants, que personne ne l'entend. Puccini est désespéré. Un jour que sa cage est mal fermée, il s'envole... Mais Paris est une bien grande ville pour un si petit canari !
« Mon nom est Shadé. Ma mère est née au Sénégal, mon père au Mali. Moi ? je suis née à Paris. Quartier de la Chapelle. » Shadé doit garder ses petits frères, Kofi, Koao et Kakou qui cassent tout. Devant leur mère, ils ont l'air d'anges; en vérité ils sont infernaux. Alors Shadé les laisse à Akomba sa soeur, en échange d'un exercice de maths qu'elle lui fera, et elle part se balader. C'est bientôt Noël, les rues sont pleines de gens et d'aventures.
Toute la journée, sous le grand soleil de Provence, un homme peignait comme un fou. Il s’appelait Vincent. Un été, une sauterelle s’est réfugiée auprès de lui. Elle s’appelait Tetti. Vincent travaillait vite et fort, comme s’il savait que sa vie serait courte. Tetti, elle, savait que sa vie ne durerait qu’un été. Ensemble, sans le savoir, ils ont partagé leur goût pour les paysages.
Embarquez dans une aventure magique, à bord du bus 84, glissez dans une coquille et entrez dans l’histoire, visitez un Paris transformé,
voyagez sur une fourmi de dix-huit mètres avec un chapeau sur la tête, partez à la découverte de monstres – dont ceux de Léopold Chauveau exposés au Musée d’Orsay – et surtout, ne vous fiez pas aux apparences… C’est tout cela, et bien plus encore, qui vous attend dans ce nouvel album plein d’étrangitude !
En coédititon avec le Musée d'Orsay 
Paris, 31 décembre 1929. Apollodore est un vagabond, un gamin abandonné sur le perron d'un hôtel, il y a une douzaine d'années. Il y vit aujourd'hui. Il s'est imaginé qu'il y retrouverait la trace de ses parents. Quelle naïveté ! Cet hôtel, personne n'y met plus les pieds, il est maudit, ça aussi tout le monde le sait. Mais c'est fini : ce soir, dans quelques heures, Apollodore s'en va. Il quitte Paris, le vieil hôtel, la misère et son métier de tapeur de vitres, et cap sur l'Amérique ! Un petit tour pour saluer ses trois voisins solitaires, et il file, d'ailleurs il est déjà en retard. À moins que…
C'était en 1903, j'avais neuf ans. Un soir, ma tante Arthémise était venue dîner et, comme c'était l'anniversaire de mon frère, elle lui avait offert un appareil photographique. « Ma chère Aurore, ne sois pas jalouse ! » Ma tante me taquinait. « J'ai aussi un cadeau pour toi ! Demain et pendant trois jours, je t'emmène chez Monsieur Méliès pour faire du cinématographe ! ». « Le cinématographe ? Qu'est-ce que c'est que cette invention ? » demanda mon papa en regardant sa sœur de travers. Je n'avais pas vu le temps passer, rêvant de ma rencontre avec Monsieur Méliès, le créateur des spectacles cinématographiques. C'était un grand magicien qui savait tout faire, aussi bien inventer des trucages géniaux, que de fabriquer sa première caméra... Et qui créa tous ces films féériques, mystérieux et drôlatiques dont j'ai encore la nostalgie. Pourquoi ces films ont-ils disparu ? J'aimerais tant les revoir !
1953. Alain Moret, huit ans, vit dans une petite ville française. Bientôt, ses parents achèteront leur première voiture et changeront d’appartement. Ils auront la télévision, le téléphone, un réfrigérateur, une salle de bains. Les années cinquante sont celles du passage à la modernité.
Pour échapper aux brimades et aux injustices, Jules s’est évadé de l’orphelinat. Et le voilà accusé de vol à la place d’un pickpocket ! Il doit s’enfuir encore et trouve refuge dans les coulisses du théâtre des Funambules. Là , il va lier amitié avec Charles, le fils du mime Deburau, le comédien vedette, et sa cousine Louise, assister à la première représentation de sa vie et découvrir tout un monde, exigeant et enchanteur. Embauché comme figurant, il réussira même, grâce à son sens de l’observation, à tirer son protecteur d’un mauvais pas.
Après le film de Marcel Carné, Les Enfants du paradis, après la pièce de Sacha Guitry, Deburau, voici un nouvel hommage au destin romanesque d’un homme unique dans le Paris de 1830.















