Thème « feu »
Un incendie ravage une maison. Vite, il faut se dépêcher, il y a peut-être des gens en danger... Grande échelle, lance à incendie, voiture-pompe, ambulance : voilà les armes des pompiers. Mais, quand le feu est éteint, le travail n'est pas terminé, il faut tout ranger à la caserne.
Un sujet qui passionne les petits, même si les pompiers sont habillés en jaune.
Bon documentaire détaillé sur les différentes actions des pompiers, et bonne lisibilité des dessins sur fond blanc. (Tout lu - tout cru, 1993, Rennes).
Après Classe de Lune et Classe sous-marine, les élèves prennent place dans un hélicoptère, direction : une île volcanique ! Un petit amoureux de la nature se laisse rapidement envouter par la beauté des fleurs. Distrait, il glisse vers le bord du cratère où il rencontre les êtres de lave.
« Qu'est-ce que c'est au juste qu'un dragon? » demande le jeune Dong-Dong à son grand-père. Celui-ci lui explique que le dragon est un animal fabuleux, qui était assez mal vu en Occident au Moyen Âge, mais qu'on a toujours vénéré en Orient. En Chine, on a même une raison très précise de lui être reconnaissant et de le célébrer chaque année. « Voici laquelle... » Heureusement, il y aura toujours (en Chine et ailleurs) des grands-pères qui prendront plaisir à raconter de belles légendes à leurs petits-fils.
Kakio est gardienne du feu pour un soir. Elle doit le recharger d'heure en heure. Mais Kakio s'endort. Le feu est mort... Kakio regarde les siens et le foyer éteint. Elle décide de fuir, d'aller plus loin que l'horizon.
La grand-mère de Silvia habite une maison située sur un versant de l'Etna, le redoutable volcan sicilien. Vivre sur le flanc d'un volcan présente des avantages quand on y cultive des légumes, ceux-ci poussant alors dans un sol particulièrement fertile. Mais si le volcan se réveille, les risques sont grands, pour les légumes comme pour les hommes. Or l'Etna ne dort jamais que d'un oeil (ou d'un cratère). Et la pauvre Silvia court un terrible danger en rendant visite, ce jour-là, à sa grand-mère.
Le Feu, sous-titré Journal d’une escouade, paraît d’abord en feuilleton, dans L’OEuvre, à l’automne 1916. Le succès est tel qu’il paraît en volume dès la fin du mois de novembre et obtient le prix Goncourt la même année. Aujourd’hui encore, le nom de Barbusse reste attaché à ce récit, à la fois témoignage et hommage « à la mémoire des camarades tombés à côté de moi à Crouy et sur la cote 119 ».
L’expérience des tranchées, vécue volontairement en tant que simple soldat, va transformer Barbusse en porte-parole des poilus, ses frères d’armes, ceux à qui la parole est confisquée – et en porte-voix de la réalité de la guerre à destination des civils, ceux de « l’arrière », à qui la guerre est étrangère, ceux qui continuent à vivre, qui sont heureux « quand même ». Son témoignage va relier « l’arrière » et « l’avant », rendre accessible aux uns la réalité des tranchées tout en libérant la parole des autres.