Thème « fée »
Pétunia n’est ni belle comme la Belle au bois dormant, ni blonde et bouclée comme Boucles d’or. Bref, Pétunia ne s’aime pas.
« Je suis nulle et je n’ai aucun don ! Mais pourquoi les fées m’ont-elles oubliée quand je suis née ? » Qui n’a jamais chanté ce refrain ? Sauf que Pétunia, elle, décide d’aller leur poser directement la question…
Eh oui, même les fées vont à l‘école. Bon, il n’y a pas école tous les jours pour les fées, et leur maîtresse, Sorbonette, leur apprend principalement la magie. Et ce n’est pas facile la magie, surtout quand la baguette magique n’obéit pas !
C’est l’automne. Minusculette virevolte parmi les feuilles qui tombent quand elle aperçoit un petit animal qu’elle ne connaît pas. C’est Maurice, le petit muscardin, qui est perdu. Minusculette va-t-elle pouvoir aider ce nouvel ami ?
Il fait très chaud et Minusculette entraîne son ami Gustave le tamia vers l’étang pour y nager. Il faut faire attention car les crapauds ne sont pas très accueillants. Gustave disparaît et Minusculette s’inquiète : ne s’est-il pas trop approché des crapauds ?
Il a neigé, tout est blanc et gelé. Minusculette rencontre Gustave, un petit tamia ou écureuil rayé, qui a un problème : il a trop bien caché ses réserves pour l’hiver. Minusculette va-t-elle pouvoir l’aider ?
Comme toutes les histoires de fées, celle-ci commence par IL ETAIT UNE FOIS et finit par MORALITE. Mais, entre les deux, une histoire de fées pas comme les autres où il est question de diamants, de roses, de crapauds et de vipères, de belles paroles et d'eau puisée à la fontaine.
Philippe Dumas a réuni ici les éléments traditionnels d'un véritable conte de fées, et nous enchante une fois de plus... par ses dessins.
Que faire quand on est une fée, qu'on a un très long nez, qu'on est enrhumée et que sa baguette magique ne peut rien y changer ?
Rares sont les contes qui ont inspiré autant de versions, suscité autant d’adaptations – opéra, ballet, théâtre, séduit autant de lecteurs aussi bien filles que garçons à travers les siècles et les continents.
« Aucun conte de fées ne traduit mieux que Cendrillon les expériences vécues par le jeune enfant en proie aux affres de la rivalité fraternelle, quand il se sent surclassé par ses frères et sœurs. Cendrillon, c’est moi ! » dit l’enfant. Bruno Bettelheim
Marine en a assez d'être une fée. Elle en a assez de devoir toujours être gentille et propre, de prendre une voix de miel et de ne jamais tacher sa robe. Finalement, c'est ennuyeux d'être une gentille petite fée. Pas très loin, dans le bois, il y a bien plus interessant : il y a les sorcières. Marine se dit qu'après tout, ça doit être plus amusant. Et petit à petit, notre fée apprend la vie de sorcière et ça lui plaît, peut-être même trop...