Thème « famille »
Ils sont vingt-sept et habitent tous le même immeuble. Pères mères, oncles, tantes, cousins, cousines, sans oublier une grand-mère que les enfants baptisent Mammout. Or Mammout perd la boule. Elle ne retrouve plus son chemin, elle dit n’importe quoi, bref, elle ne peut plus rester seule. Et ça tombe mal parce que le président Martial annonce la venue d’un virus dangereux, la fermeture des écoles et la nécessité absolue de protéger les personnes âgées. Les adultes craquent. Qui va garder les enfants ? Qui va garder Mammout ?
Pourquoi Ralph doit-il rester enfermé dans sa chambre le jour de Noël ? Tout avait pourtant bien commencé. Il avait envoyé sa lettre au Père Noël pour demander : « Un furet, un vrai crâne humain, un scooter Px125, une toupie à moteur, un poster du Roi des Grenouilles, une promenade en ballon, une Game Boy Advance, un tour en avion biplan, un filet de saumon fumé, un casque stéréo GTS et une journée de canoë-kayak sur le Colorado. » Mais tout ce qu'il a obtenu, c'est : un oncle sadique, une tante gâteuse, une Grand-mamie odieuse, une cousine crâneuse déguisée en meringue, une mère surmenée, un père coupable, un voisin abandonné par des parents indignes, un Grand-père démolisseur, un oncle radin, une tante au régime... Et une punition injuste. Il se venge en racontant sa version de l'histoire. Et attention : il dit TOUTE la vérité.
Un petit garçon se fait bien du souci pour son père qui a perdu son emploi. Tous les jours, il interroge sa famille et il essaie de comprendre pourquoi il est si difficile de ne plus travailler. Tous les soirs, le visiteur du soir vient répondre aux questions et aux rêves des uns et des autres.
Et si le plus beau travail pour un papa, c’était d’abord d’être un papa ?
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
1953. Alain Moret, huit ans, vit dans une petite ville française. Bientôt, ses parents achèteront leur première voiture et changeront d’appartement. Ils auront la télévision, le téléphone, un réfrigérateur, une salle de bains. Les années cinquante sont celles du passage à la modernité.
Papa est chercheur au Muséum. Pendant les vacances, je ne m'ennuie jamais avec lui au bord de la mer. Sur cette île exotique, nous découvrons ensemble les plantes du littoral, les algues, les coquillages, les crabes, les poissons, les oiseaux, et tous les êtres vivants qui peuplent les bords de mer, le sable ou les rochers. Il y a tant de choses à découvrir en s'amusant !
Ulysse avait pourtant prévenu son astrophysicienne de mère : hors de question qu’il l’accompagne à bord du Cosmex, sa navette spatiale pour chercher des formes de vie extraterrestre ! Lui, ce qu’il préfère, c’est manger des pizzas, lire Picsou magazine et traîner en pyjamas. Alors, les Aliens… Très peu pour lui. Quand il se retrouve coincé à bord de la navette avec toute la famille, Ulysse ne pense plus qu’à trouver le moyen de retourner sur terre. Jusqu’au jour où les membres de l’expédition découvrent une drôle de plante sur la planète Proxima B…
Avoir, comme Archie Brown, un père qui travaille au Bears Bazaar, le plus grand et le plus prestigieux magasin de jouets de Londres, a de quoi faire rêver n’importe quel enfant. Mais Bears Bazaar est aussi le magasin le plus cher et le père d’Archie refuse d’y acheter quoi que ce soit. Archie et ses soeurs doivent se contenter de déambuler dans les rayons en rêvant. Mais un soir de décembre, le garçon y fait une étrange découverte. Quel secret abrite le sous-sol du magasin ? Et que signifient tous ces vols à quelques jours de Noël ? Archie est bien loin d’imaginer ce qui l’attend et à quel point le sort du Bears Bazaar et celui de sa famille sont liés...
Dans une maisonnette au fond des bois, là-bas, au pays des sortilèges, deux vieillards ont le cœur en peine : ils n'ont jamais pu avoir d'enfants. Un jour, ils fabriquent de petites poupées de neige. Tellement jolies. Tellement sans vie… Par magie, l'une d'elles s'anime. Blanche est née, dans un bonheur infini. Elle comble ses parents, mais là, dehors, le danger guette. Tout doucement l'hiver s'enfuit…
Gilbert ne supporte pas les oeufs. Absolument pas. Même à très, très petite dose, ils le font vomir. Beaucoup. Tout de suite. Certaines personnes connaissent le problème de Gilbert et ne lui servent pas d'oeufs, d'autres l'ignorent. Et puis, il y a la tante de Gilbert, sa méchante tante qui, elle, ne peut pas s'empêcher de mettre un tout petit peu d'oeuf dans ses boulettes de viande. Pour voir. Pour voir si c'est vraiment vrai. Si Gilbert n'exagère pas. S'il ne fait pas sa chochotte. Ce livre raconte comment Gilbert a voulu se venger de sa méchante tante. Pour voir... Ce livre nous parle aussi, avec un humour froid et décalé, du droit à la différence, de la compréhension et de l'acceptation de l'autre.
Oui, Anatasia Krupnik est encore en guerre contre ses parents. Leur dernière idée ? Déménager pour aller habiter en banlieue. Anastasia les a menacés, une fois de plus, de sauter par la fenêtre - rappelons que les Krupnik habitent au rez-de-chaussée - et cela ne les a même pas ébranlés. Alors, en désespoir de cause, Anastasia a expliqué à son petit frère Sam que son doudou ne survivrait pas au déménagement. C'est bien connu, les déménageurs refusent de transporter les doudous. Mais le problème avec les parents d'Anastasia, c'est que même au coeur de leurs décisions les plus dictatoriales, ils restent démocratiques. En l'occurence, la nouvelle maison doit plaire à tout le monde et chacun a le droit d'émettre un souhait. « Je veux que notre nouvelle maison ait une chambre avec une tour », dit Anastasia. A sa grande surprise, non seulement son père note très sérieusement cette requête dans son calepin, mais en plus, une maison avec une tour, en banlieue, ça existe. L'heure du déménagement a donc sonné, et finalement, c'est une épreuve à laquelle Anastasia résiste plutôt bien, et même mieux que ses parents. Dans la maison voisine vit une vieille dame qui ressemble à une sorcière et qui porte un drôle de nom: Gertrude Stein. Comme elle semble à la fois très seule et peu désireuse de contacts humains, Anastasia décide de lui offrir un cadeau idéal : un poisson rouge...
Un relais d'autoroute, un jour de grand départ, un 30 juillet de canicule. Un endroit de fête ! Avec cafétéria, self-service, lavabos, mini-supermarché, gadgets ! Un endroit grandiose ! Un vrai village sur un pont suspendu ! Un endroit de repos, de détente, le moment où les vacances n'ont jamais été si proches... Ce que disent les parents. Un endroit sinistre, où les gens sont tous laids à cause de la lumière éléctrique des néons, où les mots joyeux sonnent faux, où des chiens, des vieux, des gêneurs sont abandonnés tous les ans. Parce que les adultes fatigués de leur année de travail ont envie « de se retrouver, de se ressourcer, de réapprendre à aimer ». Seuls. C'est ce que pense Lili. Une gêneuse, elle a le sentiment d'en être une, depuis qu'elle a entendu son père dire que « même une gosse malade, les parents sont trop contents de s'en déba...» Alors, quand elle aperçoit un grand chien noir à poils longs, sale et fatigué d'avoir espéré, d'avoir couru après ses maîtres, elle le regarde, elle le comprend. Et elle se met à sa place.
Lilou se sent différente depuis qu’elle est allée au cirque. Non que le spectacle ait été extraordinaire, mais elle a croisé le regard du garçon qui lance les couteaux, et un étrange sentiment l’a envahie. Cela aurait pu s’arrêter là, mais le soir du 14 Juillet, Lilou aperçoit une silhouette solitaire qui se cache sur la plage derrière chez elle. Elle reconnaît le garçon du cirque. Il s’appelle Paolo, il est encore plus beau que dans son souvenir et il s’apprête à passer la nuit dehors. Sur un coup de tête, elle lui propose de l’héberger... À partir de là, tout va vraiment changer, Lilou n’est plus une petite fille sage, Lilou a des secrets.
« Papa ! Papa Ours ! Papours ! » Pour Papa, ces cris de joie sont les plus beaux cris qui soient. Car ce sont ceux de ses deux petits : Paul et Fanny. Il ne les voit pas tous les jours depuis qu'il a quitté Maman Ours, mais quand il les voit c'est pour deux jours et deux nuits. Deux jours et deux nuits à faire les fous, à manger des pizzas ou du hachis parmentier, à regarder les couchers de soleil et à faire des puzzles avec le bleu du ciel. C'est un Papa qui aime ses enfants plus que tout au monde... tout simplement.
Au printemps, à la ferme, les animaux ont leurs petits. Et les animaux, c'est la passion de Calpurnia. Elle les aime, elle les observe, elle les étudie. Un jour, elle les soignera. Peut-être même bientôt ? Car un papillon à l'aile abîmée ne peut pas attendre. Ni la brebis qui va mettre bas, quand les choses ne se présentent pas comme prévu et que le vétérinaire n'est pas là...
Calpurnia adore les animaux. Son frère Travis aussi. Elle rêve de devenir vétérinaire, plus tard. Lui, ce qu’il aime, c’est les apprivoiser, les prendre sous son aile. Seulement, dans leur ferme au Texas, tous les animaux ne sont pas les bienvenus. Les mouffettes, par exemple. Elles abîment les plantations et volent des légumes. Comment résister pourtant aux cris déchirants d’un bébé mouffette orphelin, seul dans la forêt ? Calpurnia et Travis ne peuvent pas le laisser livré à lui-même… Il va falloir l’aider, sans se faire remarquer. Mais attention… une mouffette peut en cacher une autre !