Thème « émotions et sentiments »
Demain, c’est poésie. Nina se sent déjà mal. Apprendre, ça va, mais réciter… Quand tout le monde vous regarde, qu’on devient rouge comme une tomate ! Pour d’autres, comme sa copine Poppy, c’est facile, pas pour elle. Nina se demande aussi comment c’est pour Adnan, le nouveau. Il vient de Syrie, un pays ravagé par la guerre, et ne parle pas encore français. Pour lui aussi, ça doit être difficile d’être seul devant tous les regards.
C'est trop bien les grandes vacances ! Quand Vindru et Marie-Pierre passent l'été au bord de la mer, ils trouvent toujours quelque chose à faire. Un jour, ils ramassent des bricoles dans le jardin, un autre, ils construisent une cabane avec plein de petits trous de lumière. Ils lèchent un poteau qui a un goût de menthe, inventent quantité de mots et nagent un 4 fois 100 mètres sur le carrelage de la cuisine. Avec Vindru et Marie-Pierre, la vie est extraordinaire... le matin, le soir et le midi. Et le lendemain aussi !
Petite Mort se désole : les gens qu'elle emmène au royaume de la Mort sont tristes. Ils soupirent, ils ont froid. Jamais personne ne lui parle... Jusqu'au soir où Petite Mort vient chercher Elsewise. La fillette l'accueille avec joie : « Enfin, vous êtes là ! » s'écrie-t-elle en souriant.
La fille de l’empereur possédait trois cent quatre-vingt-dix paires de chaussures, huit cent douze chapeaux, cinquante ceintures en queue de serpent. Mais ce qu’elle aimait par-dessus tout, c’était les oiseaux. Son jardin comptait cent et une volières habitées par les oiseaux les plus rares. Mais hélas ! Combien de têtes avaient-elles coûté, de combien de serviteurs ! Jusqu’à la nuit où Valentina rêva de l’oiseau qui parle. Personne ne le trouva. Puis, après onze longs mois, un jeune serviteur rapporta dans un écrin un tout petit oeuf dans un nid…
Comme son nom l’indique, Lancelot Dulac est chevalier. Mais il n’en est pas encore sûr. Pour le moment, il fait 1,35 mètre, rentre en 6e et tout change. Dans la Cour de récréation, un certain Arthur a le pouvoir. Quand la plus belle fille du collège dont il est amoureux disparaît, il lui faut se lancer dans une quête semée d’épreuves. Tournoi, traversée de la jungle du métro, fées et Palais des Glaces seront autant d’occasions d’éprouver sa peur et son amour, d’exercer son courage, et de devenir pour de bon, le preux chevalier qu’il espère être.
Oyez, oyez, gentils lecteurs ! Vous vous apprêtez à écouter de vos deux oreilles attentives l’incroyable légende du chevalier Lancelove, qui pour impressionner la belle Laudine partit en quête du Chat-Ours. Mi-chat miours, cette créature est recherchée depuis des siècles. Accompagné de son infidèle destrier, Galopin de Pas-Marrant, Lancelove devra combattre mille monstres du Pays imaginaire et faire face à de terribles dangers… Vraiment ?
Hal a l’air bête. Je sais qu’il n’est pas bête en réalité, il a la tête ailleurs, c’est tout. N’empêche, parfois, on pourrait s’y tromper. Quand je lui ai fait remarquer que ce n’était pas la meilleure idée de peindre son cerf-volant en bleu ciel ; il m’a simplement répondu – tenez-vous bien – qu’il fallait qu’il soit bleu. Bleu comme le vendredi. Non, mais on rêve ! Il a ajouté que dans sa tête le vendredi c’était bleu, avec un petit goût de sorbet citron. L’intérieur de sa tête doit être un endroit drôlement bizarre, non ? Même si parfois je fais d’énormes efforts pour le comprendre, Hal et moi on est amis depuis le jardin d’enfance. Je suis de son côté. Quoi qu’il arrive. Quand il m’a avoué qu’il avait un plan pour se débarrasser d’Alec, son futur beau-père, j’étais plutôt curieuse. Ce que Hal avait inventé risquait d’être un truc assez dingue…
C’est terrible ce qui arrive à Samir. Nadia, la meilleure voyante de la cité de la Victorine, lui a tiré les cartes. Elle lui a prédit qu’avant six mois, il aurait risqué sa vie pour sauver un ami et serait devenu un héros. Certains seraient très satisfaits à la perspective d’un avenir aussi brillant, mais Samir, le silencieux et timide Samir, ne se voit pas en héros. Il décide de tout mettre en oeuvre pour que la prédiction de Nadia ne puisse pas se réaliser. Pour commencer, il lui faut absolument fuir ses amis. Mais peut-on vraiment échapper à son destin ?
Des vacances de Toussaint sur une mystérieuse île en Bretagne ? On ne peut rêver mieux pour le Club de la Pluie, qui aime l’aventure par-dessus tout ! Ambroise et sa bande sont invités dans une grande et vieille maison, où se produisent des faits étranges : un masque aztèque qui pleure du sang, un jardinier blessé, et surtout une voix qui surgit de nulle part… Il paraît que sur une île tout le monde se connaît… Mais alors, qui s’amuse à faire chuchoter la maison ?
Trois jours de vraies vacances dans un vrai château, avec une vraie comtesse ? Depuis le temps que le Club de la Pluie en rêvait ! Un cirque a même installé son chapiteau à côté, le Club va pouvoir profiter du spectacle…Seulement voilà, à peine arrivés au château, les ennuis commencent : on a cambriolé la comtesse ! Un trophée d'une immense valeur lui a été dérobé, une coupe en or qui devait récompenser le Meilleur artiste de cirque de l'année. Pourtant, la coupe se trouvait encore hier dans un bureau fermé à clé. Le voleur serait-il passé par l'extérieur ? Impossible, le mur est trop haut, trop lisse. La police se rend sur place. Mais a-t-elle une chance de retrouver le voleur sans l'aide de Milo, Nadget, Rose et Ambroise ? Sûrement pas ! Enigmes, secrets, mystères…Rien ne résiste au club de la Pluie !
Une nuit, Otilla s'est enfuie. Elle a couru longtemps à travers la forêt. Jusqu'à une maison isolée, où vivait un crâne. « Entre, a dit le crâne, je vais te montrer la maison ». Otilla a sympathisé avec son hôte, qui a lui aussi peur de quelque chose, quelque chose qui revient chaque nuit. La courageuse Otilla pourra-t-elle les sauver ?
Quand l’homme qui l’a recueilli l’a trouvé, il tétait une pierre. L’homme l’a installé chez lui, élevé en compagnie de son fils. Le garçon a grandi, et il n’avait peur de rien.
L’homme avait beau se déguiser en fantôme pour le terroriser, il ne tremblait pas. Qu’est-ce qui peut bien faire peur à un garçon au coeur de pierre ? Le faire frissonner, faire se hérisser le duvet de ses bras ? Une villa hantée ? Une nuée de ouistitis à tête de crâne ? Une carcasse menaçante ? Et si c’était autre chose ?
Comme chaque année, à la ferme des Cinq Cerfs, se tenait le grand championnat de mensonges. Kraktère, le cochon, fit un bref discours : « Chers amis, aujourd’hui, nous avons le droit de dire tout ce qui nous passe par la tête ! J’espère que vous avez tous préparé des récits sans queue ni tête et des histoires à dormir debout… » Le concours du meilleur mensonge s’annonce passionnant jusqu’à ce que la réalité s’en mêle !
Comment distinguer le vrai du faux ?
Nicolas entre au collège et il est temps qu'il le sache : le monde est une jungle. On n'est pas à l'abri de rencontrer dans la cour une meute d'alligators au sourire carnassier. On risque aussi de croiser, au coin d'un bois, une vraie tigresse échappée d'un zoo. Et on a des chances de croiser une intrépide guerrière en liberté. Mais quand, comme Nicolas, on a toujours été couvé au nid et élevé au grain, il faut savoir s'armer de courage pour prendre son vol.
Le jeu du dictionnaire n'est pas un jeu d'argent, et pourtant il enrichit tout le monde et à tous les coups on gagne. On y gagne en vocabulaire. On y gagne quelques parties de rigolade, comme quand Ousmane explique que la palangrotte, c'est la femme des cavernes, ou quand j'écris que l'échauguette, c'est un petit moule à gaufrettes. Mais quand ce jeu devient l'occasion de se traiter de tous les noms pour mes deux meilleurs copains, les deux nouveaux, les deux rivaux, Ousmane, le boute-en-train et Benjamin, le premier de la classe, rien ne va plus, j'ai l'impression d'y perdre. Heureusement qu'un grand d'au moins 16 ans va tous nous obliger à nous serrer les coudes, avec ses agressions pas seulement verbales ! Alors, ce jeu du dictionnaire, il pourrait nous faire gagner aussi en confiance et en amitié, après une belle série de pataquès, d'entourloupettes et de quiproquos...
Ce jour-là, je suis rentré tout seul avec mon petit frère à la maison. Nous avons attendu Papa et Maman. Personne n’est venu.
Alors, nous avons construit une cabane. Une jolie cabane toute blanche, avec un mât pour le drapeau. J’étais fier. Je ne savais pas si nous allions pouvoir rester là quand nous serions grands. En tout cas, nous étions bien installés.















