Thème « éléphant »
Henri l’éléphanteau n’a qu’une hâte : apprendre à sa petite soeur comment devenir un parfait éléphant. Mais Céleste n’a pas envie d’apprendre. Elle ne rêve que de jouer et d’explorer le monde ! Et voilà que la curiosité de la petite soeur entraîne les deux éléphanteaux à l’écart du troupeau. Comment faire, à présent, pour retrouver Maman ?
Après Oiseau (dans Elmer joue à cache-cache), c'est maintenant au tour d'Elmer de se cacher. Trouver un éléphant bariolé devrait être facile, mais Oiseau va se rendre compte que le monde est plein de choses multicolores. Et toi, sauras-tu retrouver le plus farceur et le plus coloré des éléphants ?
Pourquoi les éléphants ont-ils une trompe ? Pour le savoir, il faut remonter à l’époque où les éléphants n’avaient encore qu’un nez minuscule. L’enfant d’éléphant était l’un d’eux, et son insatiable curiosité le poussait à sans cesse poser des questions. Et pourquoi ci ? Et pourquoi ça ? Ce qui agaçait terriblement les adultes ! « Qu’est-ce que le crocodile mange pour dîner ? » demanda un jour l’éléphanteau. Il reçut une fessée et décida de partir seul à la recherche de la réponse. Il interrogea un singe, un oiseau, un python. Chaque fois, il reçut une raclée, mais aucune réponse. Il arriva enfin au bord du fleuve et aperçut un animal qu’il ne connaissait pas.
– Savez-vous ce que mange le crocodile pour dîner ? lui demanda l’enfant d’éléphant.
– Approche, petit, répondit le crocodile en se léchant les babines, je vais te le dire…
Ce matin-là, Maman Rhinocéros et son petit étaient partis en quête d'une bonne herbe grasse. Arriva un éléphanteau, qui prit le petit rhinocéros pour l'un des siens. Ce n'était pas du goût des mamans...
« Une jolie fable sur l'incommunicabilité, illustrée par de très belles images. » (Catherine Gourlat, Alma, novembre 1986).
« À lire et à admirer absolument pour la poésie du texte et des images.» (D. Gaete, Les Livres, mars 1986).
« Une très belle histoire de bêtes, un hymne à la nature vivante.» (Anne Maréchal, La Vie, 18 novembre 1985).
« Avez-vous vu des papillons cette nuit ? » demanda Vladimir à ses parents.
« Non, nous n’avons rien vu. Tu es sûr qu’il s’agissait de papillons ? »
« Oui », répondit Vladimir.
Les parents échangèrent un signe de tête avant d’ajouter : « Tu sais bien que tu es notre grand garçon adoré, mais le moment est arrivé… »




