Thème « école, instituteur »
Brigitte est la surveillante de la cantine. Elle ressemble à une ogresse. Elle oblige les enfants à manger tout le gras du jambon. À finir leur assiette de choux de Bruxelles. À terminer leur viande, même si elle est molle et sent le caoutchouc brûlé. Et lorsque Simon lui dit qu’il est allergique au cantal, elle refuse de le croire. Brigitte ne plaisante pas. Brigitte fait peur.
Heureusement, Thomas, le nouvel ami de Simon, a une solution. « C’est simple, dit-il, on va faire grève, grève de cantine. »
Loup est bien décidé à apprendre à lire et à écrire.
Mais comment faire ? La seule école de tous les environs est une école exclusivement réservée aux moutons.
Heureusement, notre loup ne se contente pas d’être intelligent, il a de la suite dans les idées, un humour aussi tranchant que ses grandes dents… et un cœur tendre à pleurer !
Aujourd’hui Chien Pourri va à l’école ! Réussira-t-il à faire le beau devant sa maîtresse, à ne pas s’endormir au cours de maintien ? À jouer au foot à la récré sans servir de ballon ? Et surtout apprendra-t-il à lire pour déchiffrer les étiquettes dans sa poubelle ? Bon courage, Chien Pourri !
C'est le premier jour d'école dans la savane. La maîtresse fait l'appel pour savoir si tout le monde est là. L'éléphanteau répond en barrissant, le rhinocéros en barétant. Quand vient le tour de la girafe, elle ne répond pas. Pourtant, elle est là. Mais on n'entend rien, pas un son. Tout le monde s'inquiète. La petite girafone sait-elle dire son nom ? Sait-elle au moins dire maman en langue girafe ? On l'emmène chez le crapaud, qui est le maître du coassement, puis chez le canari, le spécialiste des vocalises. Rien n'y fait. La girafone reste muette. Pourtant, quand sa maman et elle se parlent, elles se comprennent très bien... Elles se comprennent si bien, et c'est si tendre, que ça donne tout de suite envie de parler la même langue.
À l'école des paresseux, les élèves passent leur temps à dormir - et personne ne trouve rien à redire. Puis un jour, arrive une nouvelle, Bougeotte, et tous ces endormis sont obligés de réagir. Ça tombe bien, voilà justement l'inspecteur de toutes les écoles qui vient faire son rapport...
Ce matin, réveil en fanfare ! Ma mission : laver mon honneur et retrouver ma bernique qui a disparu. Je dois prouver à ma maîtresse que cette amitié avec Toufik n’a rien de « farfelu » comme elle aime le répéter devant toute la classe. Je n’ai rien inventé, tout est vrai et authentique. Équipé de tout mon matériel de fin limier, mon chapeau vissé sur la tête : je suis prêt. Mais quand j’ouvre la porte, BING ! Je me cogne contre quelque chose de gris qui bouche mon entrée. C’est poilu et ridé ! Je me pince le bras et OUILLE ! Non, je ne suis pas en train de rêver ! Une chose est sûre, c’est ma maîtresse qui risque de trouver ça vraiment TRES farfelu…
Que faire quand, à chaque récréation, un grand costaud de CM2 vous embête, vous traite de moche et que toute l’école rigole ? Diane et ses amis ne veulent plus subir les moqueries de l’affreux Erwann. Pour se débarrasser de lui, Diane la Géniale a même une idée... une idée de génie !
Imaginez un grenier, et dans ce grenier, un canoë. Ajoutez un hibou, une belette et 13 souriceaux. Le directeur, la maîtresse et les élèves : l'école des souris est au complet. Presque : il manque Ricky, le surveillant. Même si, aujourd'hui, il est un peu endormi. Il faut dire que c'est la fin de l'automne et que les hérissons, normalement, hibernent. Et voilà qu'une poudre blanche se met à tomber du ciel. Du fromage râpé ? Non, de la neige (tu l'avais deviné). Toute la troupe part dans le bois. La neige, c'est très amusant, mais aussi très dangereux...
Elvis le hibou en a marre : impossible de lire tranquillement le journal, de remplir son herbier ou de faire une bonne sieste. Il aime bien avoir de la compagnie, mais comment faire pour que les petites souris fassent moins de bruit ? Les humains ont trouvé une solution en mettant leurs enfants à l'école. Voilà comment Elvis devient directeur d'école.
Louis et Fanfan passent de bons moments ensemble. Mais Louis semble avoir quelque secret pour son ami. Pourquoi prend-il le train avec sa grand-mère ? Pourquoi est-il tellement fâché contre tout le monde et même l’école ? De mésaventures en aventures, la vie de Louis devient un vrai cauchemar… Son ami est prêt à tout pour le défendre, dans ce monde de cochons où il n’est pas facile d’être un petit loup.
Une suite à Un monde de cochons.
La maîtresse avait accueilli Pascal sans amabilité :
– Qu’est-ce que tu as fait pour avoir cette tête d’ahuri ?
– Rien. Ma mère est morte, lui avait-il répondu.
Le problème, c’est que la mère de Pascal n’était pas du tout morte. C’était sorti tout seul. Et maintenant les ennuis commençaient. Le téléphone sonna à la maison, c’était la maîtresse qui présentait ses condoléances. Pascal eut une idée géniale. Il ouvrit la bouche et fit un mensonge. Ce que la vie pouvait être fatigante !
Bientôt la fin du CP…
Une robe bleue, des sandales blanches, et des fleurs qui décorent les murs de la classe : Dunne se prépare pour la fête de l’école. Bien sûr, tout n’a pas été parfait cette année, mais ce sera quand même une belle fête, quand son papa verra cela. Sauf que… les choses ne se passent pas toujours comme on s’y attend.
Le nouveau est bizarre. Il dit que 5 et 5 font 55, il sait lire à l'envers, il se balance dans la cour de récréation au lieu de jouer avec les autres et ne répond pas quand on se moque de lui. Adrien, Aboubakri et Alexandra pensent que c'est un martien. Ils voudraient bien lui parler mais le nouveau n'est pas facile à approcher. Un jour, enfin, il vient près d'Alexandra. Et puis, quelque temps plus tard, il étonne tout le monde au cours de théâtre. Tout se passe vraiment très bien avec un martien dans la classe. Alors, pourquoi la maîtresse semble penser qu'il va quitter l'école ?
Gina est à Venise avec sa classe. Elle y découvre des vieilles églises, des pigeons, mais surtout des tableaux, des tableaux et encore des tableaux. Des tableaux à perte de vue ! Tout ça n'a rien de très fascinant. Sauf peut-être ce tableau-ci : « Saint Jérôme et le lion ». Gina est punie et doit s'appliquer pour le dessiner pendant que les autres vont manger une glace avec la maîtresse. À force de le regarder, de l'observer, de le scruter, Gina a l'impression que le lion a bougé...
Ce matin, quand je me suis réveillé, j’étais transformé en tricératops !
Et, chose incroyable, maman n’a rien remarqué. En me laissant devant l’école, elle m’a juste dit que je me racontais beaucoup d’histoires.
Ah ! Je crois bien que je ne suis pas le seul…
Un joker pour rester au lit. Un joker pour être en retard à l'école. Un joker pour ne pas faire ses devoirs. Etc. Non, ce n'est pas une liste de réclamations écrite par un élève paresseux. C'est comme ça que ça se passe dans la classe d'Hubert Noël. Et ne croyez pas non plus qu'Hubert soit un instituteur paresseux. Au contraire...