Thème « école, instituteur »
Croc se pose beaucoup de questions sur l'école. Peux-tu l'aider ? Est-ce qu'il a le droit d'emporter ses jouets préférés ?
Est-ce qu'il a le droit de croquer ses copains ? Mais non c'est une blague, il ne va pas les croquer ! Il va plutôt jouer avec eux à cache-cache Croc !
Demain il y a école et le livre aimerait bien y aller.
Est-il prêt ?
A-t-il envie de se faire des copains ?
De patouiller avec la peinture ?
D’aller en récréation ?
Parce qu’à l‘école on fait tout ça et on peut même emporter le livre avec soi !
Demain c’est le jour de la rentrée et Lolotte n’a vraiment pas envie d’aller à l’école. Heureusement Cocotte et Crocotte sont là pour lui remonter le moral : « Vive le calcul ! Vive la lecture ! Vive la récré ! », racontent-elles. Ça a l’air tellement bien que Lolotte s’endort la tête pleine d’une école… de rêve !
Le nouvel ami de Lulu s’appelle Foufou. Et il est vraiment fou ce Foufou ! Il offre une fleur à Lulu en disant que c’est un gâteau, ou bien il montre une grenouille en disant que c’est un crocodile ! Heureusement Lulu est là pour le corriger mais il ne va pas y arriver tout seul alors Lulu emmène Foufou là où on apprend. Devine où c’est ?
Patate et Patapouf jouent ensemble, quand Patachou s’en mêle, Patatartiner tombe sur Patatras, et c’est la bagarre ! Heureusement, Patapé est là pour calmer le jeu ! C’est ça, la cour de récré !
Quand Toc s’habille, il fait un peu peur à Pic parce qu’il n’a pas mis les vêtement dans le bon sens et il a l’air d’un monstre avec ses chaussettes sur la tête et sa chemise à l’envers ! Mais peut-être est-ce une manière amusante d’aller à l’école de la forêt ?
Comme tous les dinosaures, Pop va à l’école. Et qu’est-ce qu’il fait à l’école ? Il apprend à compter jusqu’à 10, en commençant par 1 cadeau pour la maîtresse, puis il dessine 2 cœurs, il sait aussi écrire les 3 lettres de son nom...
Jordan, dit Bouboule, et Arthur, dit Quatzieux, n’ont aucune raison d’être amis. L’un est en échec scolaire et ne songe qu’à manger ; l’autre est premier de la classe et soigne à l’excès son vocabulaire. Pourtant, ils ont un point commun qui les rend inséparables. Tous les deux ont le même tortionnaire. L’affronter, ils n’y songent pas. Alors ils l’évitent en se cachant dans un container. Jusqu’à quand durera leur calvaire ?
Léonie, 13 ans, mène une vie de collégienne tranquille dans son village d'Euphrasie-sur-Gleyze. Depuis quelque temps pourtant, des visions étranges la perturbent, semblant la connecter à un autre monde. Un jour, quatre roulottes étincelantes tirées par des chevaux majestueux font leur apparition : un cirque itinérant, charriant son lot de personnages abracadabrant. Parmi eux, Wang Diqiu, cocher imposant à la moustache frémissante et au tempérament irascible, les énigmatiques sœurs Lucienne et Simonette de Neuville ou encore l'espiègle Vassyl. Mais cette troupe farfelue n'est pas là par hasard : elle est venue chercher Andrew Thompson, le professeur d'anglais de Léonie. Et celle-ci comprend vite que les visions qui la hantent pourraient avoir un rôle à jouer dans l'histoire secrète de ce cirque…
Karin Serres a fait une adaptation très dynamique pour le théâtre de son roman Mongol.
Ludo n’a pas de chance. Il est plus lent que les autres et les autres se moquent de lui, Fabrice surtout. Un jour, il le bouscule et le traite de mongol. Ludo ne connaît pas le mot. Il le cherche dans le dictionnaire et découvre, stupéfait, la Mongolie, les Mongols et leurs coutumes étranges. Puisqu’on le traite de mongol, il le deviendra. Il apprend de nouveaux mots, il ne cesse d’étudier et parfois toute la nuit. Mais ce n’est pas si simple de transformer sa chambre en yourte, de se raser la tête et de ne manger que de la viande et des laitages. Et surtout, ça ne plaît pas à tout le monde. Ni aux copains ni aux parents ni à la maîtresse.
Jocelyn est un père divorcé, contrôleur aérien, toujours stressé par son travail et de plus en plus inquiet pour sa fille. Pénélope parle trop souvent aux oiseaux, elle a beaucoup de mal à se concentrer, ne retient rien. Et si elle avait un problème au cerveau ? Pour calmer son inquiétude, Jocelyn pense d’abord à une psychothérapeute. Pénélope est d’accord pour la rencontrer. Jocelyn n’y croit pas vraiment, mais on verra bien. Il n’est pas au bout de ses surprises.
Ils sont rares, les livres dont la seule dédicace porte, en trois lignes, l’essentiel du propos. L’Enfant, de Jules Vallès, en fait partie.
« À tous ceux qui crevèrent d’ennui au collège ou qu’on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents, je dédie ce livre », écrit l’auteur en épigraphe du premier tome de sa trilogie autobiographique.
Pourquoi ressortir ce classique des oubliettes ? Parce que les souffrances infligées aux enfants et aux collégiens dans les années 1840 ne sont pas passées de mode, loin s’en faut. Nous espérons que ceux qui crèvent d’ennui au collège et qu’on fait pleurer dans leur famille trouveront dans cette lecture non seulement la consolation, mais des armes pour se défendre.
Pourquoi l’abréger ? Parce que le texte de Vallès est comme un torrent de révolte, répétitif dans son fracas, insistant dans ses éclaboussures. Pour qu’il soit lisible et portatif par les collégiens d’aujourd’hui, pour les indignés de demain.
L'Enfant, paru en 1879 est le premier tome de la trilogie Jacques Vingtras. Les tomes suivants sont Le Bachelier et L'Insurgé.
Quelques jours avant le printemps, Phil promet à Jo de venir le chercher et de passer avec lui tout un week-end au bord de l’eau. Jo attend avec impatience l’arrivée de son grand frère, un boute-en-train, un fêtard qui l’entraîne dans ses virées. Jo attend mais Phil ne viendra pas. À partir de ce moment-là , Jo ne travaille plus, ses notes dégringolent, il ne dit plus rien, pas même à son meilleur pote Milo. Jusqu’au jour, un an plus tard, où on lui demande d’écrire une rédaction sur le printemps.