Thème « Dictionnaire/alphabet »
Il y a (presque) tous les oiseaux du monde dans ce dico où l'on apprend encore une fois beaucoup de choses très intéressantes concernant les volatiles. Un exemple : le flamant rose est rose parce qu'il mange surtout des crevettes roses ! Amusant, non ?
Pourquoi les corbeaux sont-ils les acolytes des sorcières ? Quelle est la couleur de la chevelure de ces dernières ? Comment s’appellent leurs maris ? Et leurs bébés ? Où vont-elles aux toilettes ? Pourquoi aucun gâteau ne s’appelle-t-il « pied de sorcière » ? Toutes les réponses à ces questions, et bien d’autres (plus de cent), se cachent dans les pages de ce dictionnaire pas comme les autres. Son ton n’engendre pas la mélancolie et ses dessins vont vous rappeler quelqu’un que vous aimez…
Quand il était petit, Grégoire Solotareff aimait beaucoup que sa maman, Olga Lecaye, lui lise des contes de sa Russie natale, les histoires de Babayaga et des autres sorcières, sombres à faire peur ! Devenu grand, et comme il l’a fait pour les loups, Grégoire a eu envie de dépeindre ces mythiques sorcières comme de « vraies gens », avec leurs défauts, leurs petits secrets, et tous les trucs qui nous font rire chez les autres. Après le « Dictionnaire du Père Noël » paru il y a vingt-cinq ans, voici donc le dico qui désacralise enfin nos amies les sorcières.
Dictionnaire rêve de raconter une histoire comme les autres livres. Alors, un jour, il décide de donner vie à ses mots. Mais chacun a son caractère, et bientôt, c'est le méli-mélo ! Si Dictionnaire ne veut pas rester un dictionnaire à l'envers, il va devoir remettre de l'ordre dans ses pages illico…
Un marchand de dictionnaires frappe à la porte de la maison du géant. « Au secours, un ogre ! » crie-t-il. Le géant, étonnamment, ne connaît pas la définition du mot « ogre ». Comme le marchand a lâché un dictionnaire en s’enfuyant, il lit: « Ogre : géant légendaire qui se nourrit de petits enfants. Manger des petits enfants ? Ça alors ! Je n’y avais jamais pensé ! »
Le jeu du dictionnaire n'est pas un jeu d'argent, et pourtant il enrichit tout le monde et à tous les coups on gagne. On y gagne en vocabulaire. On y gagne quelques parties de rigolade, comme quand Ousmane explique que la palangrotte, c'est la femme des cavernes, ou quand j'écris que l'échauguette, c'est un petit moule à gaufrettes. Mais quand ce jeu devient l'occasion de se traiter de tous les noms pour mes deux meilleurs copains, les deux nouveaux, les deux rivaux, Ousmane, le boute-en-train et Benjamin, le premier de la classe, rien ne va plus, j'ai l'impression d'y perdre. Heureusement qu'un grand d'au moins 16 ans va tous nous obliger à nous serrer les coudes, avec ses agressions pas seulement verbales ! Alors, ce jeu du dictionnaire, il pourrait nous faire gagner aussi en confiance et en amitié, après une belle série de pataquès, d'entourloupettes et de quiproquos...