Thème « contes et recueil de contes »
Dorothée est une jeune orpheline qui habite le Kansas. Emportée par un cyclone en compagnie de son chien Toto, elle atterrit avec sa maison dans un étrange pays, écrasant au passage la méchante sorcière de l’Est. Désireuse de rentrer chez elle, Dorothée prend conseil auprès de la (gentille) sorcière du Nord, qui lui recommande d’aller trouver le puissant magicien d’Oz dans la Cité d’Émeraude. C’est chaussée de souliers d’argent magiques qu’elle va suivre la route de briques jaunes pour gagner la fameuse cité. En chemin, elle va croiser un épouvantail qui rêve d’avoir une cervelle, un bûcheron de fer-blanc qui, lui, voudrait un coeur et, enfin, un lion poltron auquel ne nuirait pas un peu de courage. Après de nombreuses péripéties, les quatre amis atteindront la Cité d’Émeraude. Pour autant, ils ne seront pas au bout de leurs peines, car le magicien d’Oz exigera d’eux un exploit hors du commun… Mais cela suffirat- il ? Et ce magicien d’Oz est-il vraiment ce qu’il paraît ?
Ce volume reprend les deux premiers tomes originels de la série des livres d’Oz : Le Magicien d’Oz et Le Merveilleux Pays d’Oz, lequel met en scène les aventures de Tip et de Jack Tête-de-citrouille au pays d’Oz.
De retour chez elle, Iris rencontre une certaine Viviana, qui lui propose de la rendre heureuse, c’est-à-dire de faire d’elle une petite fille riche. Difficile de refuser, d’autant que Viviana lui donne déjà beaucoup d’argent et lui en promet encore à condition de l’accompagner jusqu’à son palais. Iris la suit, ravie. Elle ignore encore qu’elle va le payer très cher.
VIVIANA : Es-tu décidée à te servir ?
IRIS : Vraiment ? Le billet avec la statue, par exemple, je peux le prendre ?
VIVIANA : Celui-ci ou celui d’à côté. Tout est à toi si tu le désires.
IRIS : Merci, j’en ai trop envie ! (Elle ramasse le billet avec la statue puis se relève.) J’ai l’impression qu’il est immense dans ma main.
VIVIANA : Moi, je trouve que ta main est très jolie. Me laisserais-tu la regarder ?
IRIS : J’aimerais mieux ramasser d’autres billets.
« Un élixir est une petite créature qui n’a qu’un but dans la vie : montrer la beauté du monde. » Une nuit, un petit élixir décide de faire de Pauline son Porte-Élixirs. Il fuit les sorcières-amputeuses qui sont à ses trousses. Ce petit élixir est particulier : il est le préféré d’Humbaba, la plus vieille des sorcières amputeuses. Derrière sa loupe spéciale, Humbaba est capable de voir tous les petits élixirs et elle a repéré l’endroit où se cache son favori. Il se trouve dans la poitrine de Pauline, au niveau du coeur. Pauline sait qu’elle ne pourra pas échapper à la terrible Humbaba. Mais elle veut protéger le petit élixir, à n’importe quel prix.
Pierre n’a qu’une envie : se promener dans l’immense forêt, celle qui se trouve là, à quelques pas, juste derrière la clôture de la maison…
Seulement voilà, son grand-père lui a formellement interdit d’entrer dans ces bois, car il y rôde un loup féroce, « grand comme un ouragan et d’une effroyable voracité ». Il n’en fallait pas plus pour éveiller la curiosité du jeune garçon !
Alors un matin, au petit jour, Pierre désobéit. Il pénètre dans la forêt et y fait la rencontre d’une cane, d’un oiseau et d’un chat qui, tous les trois, sont catégoriques : le loup qui vit ici est une bête assoiffée de sang ! Ça ne semble pas impressionner Pierre pour autant… mais serait-il si sûr de lui s’il savait que, tapi dans l’ombre, le fauve les observe ?
Il y a bien longtemps, dans un pays très loin d'ici, vivait une sorcière tellement petite qu'elle habitait sous un grain de sable. Personne ne l'avait encore jamais vue, pas même les autres sorcières. Pikkuhenki savait qu'elle était une sorcière mais elle se demandait si elle était capable de voler et si elle possédait des pouvoirs particuliers. Il fallait absolument qu'elle le sache !
« Ces contes sont spéciaux. Figurez-vous que ma fenêtre étant ouverte, au septième étage, un diablotin vert est entré. Il est resté à jouer en silence avec une calculette dans un coin du bureau. Moi, j'ai fait celui qui ne l'avait pas remarqué et j'ai continué d'écrire. Au bout d'un moment, il a fait un geste farfelu et il est reparti comme il était venu, par la fenêtre. Je me suis contenté de hausser les épaules, et j'ai relu mes contes. Horreur ! Les contes y étaient toujours, certes, mais les comptes aussi ! Avec sa maudite calculette, le diablotin vert avait semé des chiffres partout ! Voyez donc... » Maintenant que vous avez entendu la confession de l'auteur, il ne vous reste plus qu'à découvrir les rigoureuses déformations mathématiques qu'ont subis les contes : qu'a-t-il bien pu arriver à cette pauvre fillette dont le nez ne cessait jamais de couler ? Et à cet homme que la mort était venue chercher un soir d'Halloween ?
La fratrie des frères Grimm se composait de cinq garçons et d’une fille, très importante dans l’histoire familiale, c’est pourquoi Les Six Frères cygnes occupe une place particulière parmi les contes que les frères Grimm ont fixés par écrit. Nous sommes ici d’emblée au cœur de toutes les tensions : la famille éclatée, recomposée est source d’épreuves, lieu de rivalités, de désirs, d’interdits, de transgressions et c’est seulement en surmontant ces épreuves que la fratrie parviendra à dénouer les fils du sortilège et à construire enfin son destin.
Attention ! Ce livre est spécial ! Les sorcières sont cachées dans l'encre d'imprimerie !
Pourtant, l'une veut devenir bonne - c'est la seule. Une autre cherche partout son balai magique. Une autre va au mariage de sa soeur. Une autre veut devenir institutrice pour martyriser les enfants. Quel malheur! Les sorcières content de drôles de comptes. Elles détestent la musique et les ascenseurs qui marchent. Elles ont pour amis des ogres, des fantômes... et un nain très malin. Elles mettent leur désordre partout. Elles mélangent les articles, les adverbes, les pronoms. Elles font des calembours, des charades, des anagrammes, des combles, des mots-valises, des lipogrammes et des tautogrammes, des marabouts, des chiasmes, etc. Elles détournent les bandes dessinées, caviardent les histoires; elles font semblant de gommer les gros mots pour mieux les souligner.
Vladimir Sergueïevitch préfère les pommes à la viande.
Dans la respectable famille des Noirs Seigneurs de l’Oural, on n’a jamais entendu parler d’un tel cas. Impossible d’être végétarien quand on est le fils de Sergueï Ivanovitch, le loup noir et féroce.
Pour prouver à son père qu’il peut lui aussi devenir un loup sanguinaire, Vladimir décide d’entreprendre une Quête Héroïque. Il veut semer la terreur sur son passage et partir à la recherche des mystérieux Brardbordgargs au nom imprononçable, dont il rapportera les peaux.
Escorté de son précepteur et de sa cousine, Vladimir se met en route. Dans son sac, il a emporté des pommes, de la salade, des carottes, du poivre, des allumettes, et un couteau pour couper les pommes. Il ne craint rien, ni personne.
Elle porte un casque rouge, une écharpe rouge, des gants rouges, des bottes rouges et elle s’en va, sur son scooter, voir sa grand-mère malade, à travers les bois menaçants et glacés…
Vous croyez savoir qui elle est, et ce qui va lui arriver? Peut-être vous trompez-vous… Car cette petite fille s’appelle Zloty et, certes, elle va rencontrer un grand méchant loup, mais aussi de grands nains et de petits géants, et en particulier Kopek et Samovar, un nain grand et un géant petit qui ont tous les deux… la même taille, et vont devenir ses amis pour la vie !
Depuis toujours, c’est-à-dire depuis bien avant que ces mots soient galvaudés, différence et tolérance sont les deux mamelles des histoires de Tomi Ungerer. Un ogre protecteur, trois brigands bienfaisants, quatre ou cinq bêtes prétendues nuisibles qui sauvent des vies… Son œuvre complète n’est qu’un festival de bonté politiquement incorrecte. Ici, c’est un nain et un géant qui ont la même taille (tout est relatif) et qui nous éclairent sur la grandeur de l’amitié.
Personne ne veut aider la petite poule rousse à planter des graines, à faucher le blé, à le battre et à le moudre. Alors, qui mangera le bon pain ?
Une petite fille aux boucles blondes s'égare dans la forêt en cueillant des fleurs. Elle est fatiguée, elle a faim et elle pleure. Dans une clairière, elle découvre une étrange maison dont la cheminée fume. Elle s'approche d'une fenêtre et découvre alors une grande table avec, tout autour, trois chaises: une grande chaise, une moyenne chaise et une toute petite chaise. Et devant chaque chaise, un bol de soupe. Un grand bol devant la grande chaise, un moyen bol devant la moyenne chaise et un tout petit bol devant la toute petite chaise... Gerda Muller rêvait de reprendre ce grand classique qu'elle avait déjà illustré il y a longtemps. Elle s'est offert ce cadeau... pour ses quatre-vingts ans. Et c'est avec le soin infini qu'on lui connaît et un immense plaisir qu'elle a caché partout dans les images, les grands, les moyens et les petits objets... pour que les tout jeunes lecteurs aient encore plus de plaisir à les trouver et les reconnaître.
« Qu'est-ce que c'est au juste qu'un dragon? » demande le jeune Dong-Dong à son grand-père. Celui-ci lui explique que le dragon est un animal fabuleux, qui était assez mal vu en Occident au Moyen Âge, mais qu'on a toujours vénéré en Orient. En Chine, on a même une raison très précise de lui être reconnaissant et de le célébrer chaque année. « Voici laquelle... » Heureusement, il y aura toujours (en Chine et ailleurs) des grands-pères qui prendront plaisir à raconter de belles légendes à leurs petits-fils.
On raconte que la petite Rafara vivait avec sa famille dans son village d'Afrique. On raconte qu'un jour, ses deux soeurs l'ont abandonnée pendant la cueillette des morelles dans les bois. On raconte aussi que Rafara vécut alors une histoire extraordinaire, qu'elle fut capturée par un monstre et que seule la magie l'aida à s'échapper. On raconte de très belles choses encore dans les petits villages d'Afrique...
La première édition d'Alice, publiée en 1865, était illustré par John Tenniel. Ce texte a, depuis lors, inspiré des générations d'illustrateurs.
Anthony Browne a succombé à son tour au charme du classique et a su lui donner une dimension nouvelle qui séduira les inconditionnels d'Alice ainsi que ceux qui le lisent pour la première fois. Cette édition du texte intégral est proposée dans la meilleure traduction possible à ce jour.
« Comme tout ce qui relève du grand art, les contes de fées séduisent et instruisent tout à la fois. Ils doivent à leur génie particulier de remplir ce double rôle dans des termes qui s'adressent directement aux enfants ». Bruno Bettelheim, Psychanalyse des contes de fées
Cette édition intégrale reproduit le texte original publié à Paris en 1697 : Le petit Chaperon rouge, La Barbe-Bleue, La Belle au Bois dormant, Peau-d'Âne, Les fées, Le Chat botté, Riquet à la houppe, Le petit Poucet et Cendrillon.
Nous avons, par contre, supprimé les petites moralités finales en vers, suivant en cela l'édition de Hetzel et jugeant avec Sainte-Beuve que ces moralités « ne tenaient au récit que si l'on voulait et qu'elles en étaient la date ».
Les illustrations de Gustave Doré ont été réalisées pour l'édition de Jules Hetzel, 1860. L'édition en poche nous a permis de mettre tous les dessins en regard du texte et d'éliminer le petit inconvénient de non-concordance de l'édition originale.
Recommandé dans les programmes scolaires du cycle 3 et du collège















