Thème « conte détourné »
Lucas le loup a décidé qu'il était temps de quitter la maison familiale et d'aller vivre sa vie. Grand-mère, grand-père, mère, père et frères sont tristes - mais résignés - de le voir partir. Sur le pas de la porte, le père de Lucas (voir « Le loup est revenu ») lui donne une liste de bonnes choses à manger. Hélas pour son ventre, Lucas est bien trop sentimental, et laisse passer une succulente chèvre et ses sept chevreaux, un Petit Chaperon rouge dodu, trois petits cochons grassouillets, et même l'affreux Pierre... Comment faire pour calmer cette faim ???
« Cette journée sera mémorable ! » se promet le loup Igor en sortant de chez lui. Le sourire aux lèvres, il part pour la ville. Il s'arrête d'abord chez l'épicier, puis chez Bellepatte, le chausseur, ensuite il se rend dans la boutique de Viviane, et enfin chez Raymond, le parfumeur. Mais que prépare-t-il donc pour cette journée si extraordinaire ?
Un frère et une soeur, différents à tous égards, ne s'entendent pas. Un jour, leur mère les envoie jouer dehors et ils découvrent un tunnel mystérieux, qui changera leur relation...
Pour fêter les 25 ans du Loup est revenu !, les quatre premières aventures des loups sont enfin réunies dans une grande anthologie :
- Le loup est revenu !
- Le loup sentimental
- Le déjeuner des loups
- Je suis revenu !
​"Le loup est vraiment un personnage formidable. Dès qu'il apparaît, il y a une histoire. Il suffit de dire, par exemple, "le loup est revenu !" et hop, c'est parti !" G. de P.
Comment diable Igor le loup s’est-il retrouvé dans la rivière en chemise de nuit ? Monsieur l’agent veut la vérité, toute la vérité, rien que la vérité ! Mais Igor est-il capable de la donner ? Ses intentions dans cette aventure sont- elles seulement avouables ? Le dessin nous le dira !
Voici enfin la preuve irréfutable que les petits ne sont pas nécessairement gentils, les grands pas forcément méchants et que le Petit Poucet l’avait bien cherché finalement !
Attention ! Une histoire peut en cacher une autre… un classique de la littérature enfantine (Boucle d’or et les trois ours), nourrir une histoire sans paroles... Un ourson constate qu’une petite fille est entrée dans sa maison, a mangé son porridge et s’est assise dans son fauteuil.
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Au fil des pages jaillissent les questions qui aiguisent le regard et affûtent l’émotion. Une autre histoire s’écrit.
Elle parle de solitude, d’exclusion et interroge l’enfant sur sa relation au monde.
Cette histoire-là est universelle.
Une présidente de la République féministe à qui un sondage révèle qu’une certaine Blanche-Neige est plus intelligente qu’elle… Une descendante du Petit Chaperon rouge vêtue de bleu marine qui se croit plus maligne que tout le monde, et enferme sa grand-mère dans la cage au loup du Jardin des Plantes… Un enfant maltraité par son oncle et dont chaque larme qui coule se transforme en cigarette… Vers 1980, Philippe Dumas et Boris Moissard furent les premiers à mettre en pièces, retourner, réécrire, en un mot à pasticher les contes classiques de Grimm et de Perrault pour mieux leur rendre hommage dans un recueil qui allait devenir un best-seller. Leur secret ? Décors et accessoires contemporains, langue châtiée.
Souvent imités, jamais égalés, ils ont décidé de fêter leur amitié et ses trente ans de bonheur en ajoutant à leurs cinq textes d’origine un inédit : Le pommier de Pomanchou.
Ils sont amis d’enfance. Boris Moissard était libraire quand Philippe Dumas est venu lui demander de rédiger des textes pour un projet d’album qui comptait alors quelques croquis, dont un Petit Chaperon vêtu de bleu. Aussitôt dit, aussitôt fait. Pour regarder d’un oeil étranger, sinon objectif, la pile de volumes diminuer sur son comptoir, le libraire prit un pseudonyme, qui est à lui seul, sous forme de contrepèterie, un hommage à la littérature (Maurice Boissard était un pseudonyme de Léautaud). Le couple légendaire Dumas-Moissard était né.







