Thème « cheval »
Ben a d'immenses oreilles bien droites et de grands yeux doux, il mange des chardons, exècre la solitude et fait hi-han. Il faut l'admettre, Ben Bouboule est un âne. Mais l'admettre, ce n'est pas forcément l'accepter. Ben passe son temps à bouder et à faire des caprices parce qu'il est affreusement malheureux d'être lui-même. Ses parents pensent qu'il est malade. Il a beau leur jurer n'avoir mal nulle part, ils l'envoient chez le médecin du village, un chameau flegmatique et redoutablement intelligent. Ben avoue tout : il rêve de grands galops dans des plaines infinies, de devenir élégant et admirable, et surtout d'un nom classe du genre Cristal de Caracas ou Paradis Illuminatus. Ben est effectivement malade. Il a le mal d'ailleurs. Une seule solution pour le sauver, l'aventure.
Pit et Floup vivent à la ferme du Petit Chemin. Tous les deux, ils mangent du grain. Pas le même grain, bien sûr. Mais c’est Siméon le fermier qui les nourrit tous les deux. Et chaque matin et chaque soir, Pit le cheval et Floup la poule se posent la même terrible question : qui Siméon aime-t-il le plus fort ?
Le maître d'école a cassé sa tirelire pour aider ses élèves à acheter un cheval. C'est lui qui a eu cette idée. C'est un maître d'école très gentil et spécialement têtu, et heureusement qu'il y a un maître d'école gentil et têtu dans cette histoire. Le cheval s'appelle Bir-Hakeim. Il est sorti de son box et il a souri aux enfants. Les enfants étaient ravis. Ils ne pouvaient pas savoir qu'un cheval qui sourit est un cheval gravement malade. Le maître a appelé le vétérinaire, et heureusement qu'il y a un vétérinaire dans cette histoire.
« Ce n'est pas que Louis fût d'humeur toujours aussi massacrante. Il aimait tous les animaux en général et en particulier tous les animaux petits ou grands, seulement il avait en horreur tout ce qui était piquant et on peut le comprendre. Il était obligé de se piquer lui-même avant chaque repas, de se donner une injection d'insuline avant sa maladie, sinon le sucre circulait dans son sang en trop grande abondance, mettant en danger sa santé. »
Aujourd'hui, en plein coeur de l'été, Louis va rendre visite aux deux poneys qui paissent dans le pré puis il passera voir Tonnerre, le vieux cheval à moitié aveugle...
Pour la première fois, Djamilia vient passer ses vacances dans les montagnes du Kirghizistan, chez ses grands-parents éleveurs de chevaux, qui dorment dans une belle yourte blanche. mais où est Petit-Noir le poulain ? Parti tout seul à l'aventure, il s'est blessé à la patte. Il faut l'aider à téter sa maman, le rassurer, lui parler doucement, le panser... Djamilia est prête à apprendre tout cela, pour l'amour de Petit-Noir !
Comment naissent les poneys ? À quoi ressemble leur vie avant que nous puissions monter sur leur dos au poney-club ? Que mangent-ils ? Comment ont-ils appris tout ce qu’ils savent : marcher au pas, au trot, au galop, garder le licol, tourner en rond au bout d’une longe, porter la selle ? Grâce à Brimborion, à son amie Babiole et à tous leurs copains, nous découvrons toutes les étapes du dressage des poneys.
Pour la première fois de sa vie, Richie le petit poney prend le train et monte à Paris : Il vient voir la Tour Eiffel, Attention attention! Hélas, quand il arrive sur place, la tour Eiffel est fermée. On ne peut que la regarder par en dessous. Un vendeur de porte-clef le console, il y a tant à voir, à Paris… A travers cet album splendide, tendre, et riche comme un « cherchez Charlie », Claire Braud nous entraine dans la visite d’un Paris connu et inconnu, tout en surprises et en pas de côté. Et, pour ce qui veulent suivre la visite « en vrai », on trouvera un plan de la ville, annoté par Richie lui-même, en fin de livre !
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Rejeté par sa mère, Mistral le poulain est devenu le frère de lait d'Engane, le taurillon. Pierrot les a nourris patiemment au biberon, dans la grange. Depuis, ils sont inséparables. À présent, ils ont grandi. La tempête d'équinoxe d'automne fait rage sur les paysages splendides de la Camargue. Excités, affolés par le tonnerre, les deux amis s'enfuient, de l'étang de Vacarès au phare de la Gachole... Pierrot est chargé par son père de les retrouver.
Tout donner pour un cheval… Il arrive que les dernières paroles d’un vieux roi de tragédie rejoignent les rêves secrets de quelques enfants d’aujourd’hui (et d’un gros escargot aussi). Pour les quatre héros de ce recueil de nouvelles, un cheval, c’est beau, c’est doux, c’est vif, c’est fidèle, c’est fort, c’est libre, et c’est magique. Jouer le cheval, à l’occasion d’une représentation théâtrale ? C’est une chance d’être seul en scène, ou presque, pour la première fois avec l’élue de son coeur. Ne pas vouloir se séparer de son cheval ? C’est marquer son originalité, occuper sa place et, bientôt, transmettre à quelqu’un qui le mérite son bien le plus précieux.
Monter à cheval, lentement mais sûrement ? C’est, pour un escargot de conte, la seule façon de grandir, de voyager loin et de se faire un ami, un vrai, à la vie, à la mort. Voir passer, sur une plage, un cheval rebelle au galop ? C’est le déclic qui manquait à une adolescente pour décider d’être elle-même et d’affirmer son goût pour les choses absurdes et merveilleuses, comme les versions latines. Pour tous, un cheval, c’est plus qu’un cheval. C’est la vie !
Le mercredi matin, Jean apprend à monter à cheval, ou plutôt à poney. Maintenant, les troussequin, étrilles, rênes, volte, demi-volte et demi-volte renversée... n'ont plus de secrets pour lui.
Un ABC d'équitation pour tous ceux qui préparent leur première étoile par un maître en la matière. À offrir sans tarder à tous les veinards qui fréquentent un poney-club. (La Revue des Parents, octobre 1989).
Par excellence, le cadeau de Noël pour les enfants amoureux de leur poney. (Le Figaro, 25 décembre 1989).
Bravo ! (Le Monde équestre, mars 1990).
Pierrot, le fils du manadier, a grandi, et ses amis Mistral, le poulain qu'il a nourri au biberon, et Engane, le taureau qu'il a sauvé de la noyade, ont grandi eux aussi. Pierrot s'est mis en tête de dresser Mistral, devenu un beau cheval fougueux, pour la prochaine course camarguaise du village dont Engane sera la vedette. Il s'agit d'être patient, persévérant, de ne pas brûler les étapes. Heureusement que Fannette, sa cousine, prodigue de précieux conseils à Pierrot.
Avec les chevaux de Mérens dans les Pyrénées : les chevaux font la transhumance, eux aussi ! Dès les premiers beaux jours, après une préparation minutieuse des fers et du matériel, c’est le grand départ. Après deux jours de randonnée, ils arrivent au cœur des montagnes, sur l’estive où ils passeront cinq mois, apprendront à s’ébattre en liberté, à vivre ensemble, à devenir forts et indépendants. Cette année-là, le premier départ de Tamina, sa pouliche, est un crève-cœur pour Justine. Mais… à quelque chose malheur est bon. Grâce à un incident signalé par un ami berger, Papa décide de remonter… et d’emmener Justine avec lui !
Quand il était petit, Han Gan adorait dessiner. Il aimait par-dessus tout dessiner des chevaux, et toujours il voulait qu'ils aient l'air le plus vivant possible. Il était si doué que l'Empereur entendit parler de lui, et le fit entrer à l'Académie des peintres officiels. Mais là, Han Gan ne voulut peindre que des chevaux, et toujours attachés. Quand ses collègues lui demandèrent pourquoi, il répondit que ses chevaux étaient si vivants qu'ils pourraient sortir du papier. Une nuit, un valeureux guerrier vint frapper à la porte de Han Gan. Il lui dit que le pays était en danger, qu'il devait partir se battre demain, et lui demanda de faire apparaître pour lui le plus fougueux et le plus vaillant des coursiers. Han Gan se mit au travail... Il ne savait pas encore qu'il allait donner vie cette nuit-là à un cheval invincible, au caractère noble et indomptable.
Il porte le nom d’un héros de légende, Cùchulainn, l’Hercule celte. Il pèse plus d’une tonne. Il est noir, géant, puissant, splendide. Si Mary et Conrad McConnally ont pu se payer à la foire ce cheval de race, c’est parce qu’il est borgne.
Une folie, à l’image de leur amour. Car Cùchulainn ne sert à rien. Il refuse de travailler. Il règne sur les pâturages de leur petite île en mer d’Irlande, comme un seigneur tranquille.
Pourtant, quand Conrad le pêcheur disparaît dans une tempête en laissant Mary enceinte, il semble que Cùchulainn trouve enfin sa mission sur la terre : sentinelle. Ange gardien en forme de cheval.
Mary a donné le jour à des jumelles, Esther et Rebecca, qui grandissent en s’inventant un langage que personne ne comprend. Sur l’île, on les déclare simplettes. Mais entre elles et Cùchulainn, une mystérieuse complicité se tisse, un lien secret qui fait peur à Mary. C’est pourtant ce qui va lui sauver la vie.
C’est lors d’un séjour dans la Manche, il y a quelques années, que Jean-François Chabas a éprouvé l’émotion qui devait donner naissance à ce livre. Dans un pré, des chevaux de trait immenses, rugueux, semblant surgir du fond des âges, se disputaient ses caresses, jusqu’à se battre, poitrail contre poitrail. Baôm ! Baôôômm ! Pour retrouver ce bruit, Jean-François s’est mis au travail.
Mylène a croisé Marco à 2000 mètres d'altitude, au milieu des fleurs et des rochers de la vallée de la Haute-Tarentaise. Il lui a tout de suite plu avec son regard étrange, ses cicatrices, ses sabots fissurés et son mystère. D'où venait ce cheval noir ? Quelles aventures avaient pu le mener jusqu'à la prairie aux poneys de son oncle ? Là où Mylène imagine un fougueux destrier à la retraite, son oncle ne voit qu'un cheval vieux et fatigué, une bouche à nourrir de trop. Et le dur montagnard est bien capable d'appeler les gens de l'abattoir pour s'en débarrasser. Pour mettre Marco à l'abri, Mylène se sent capable de braver l'autorité de son oncle, d'affronter la montagne et les éléments déchaînés. Comme si sauver ce cheval, c'était sauver une partie d'elle-même...