Thème « bébé »
Tout est calme dans la salle de jeu. La poupée lit un livre. Arrive l'ours bleu. Alors ? demande-t-il, il est là ? Non, répond la poupée. Arrive le lapin rose. Il est arrivé ? demande-t-il. Non, pas encore, répond la poupée. Alors ? Alors ? Alors ? demandent-ils tous.... Chut, j'entends du bruit, dit la poupée.
Quand on marche à quatre pattes, on ne voit pas le monde comme les grands. Un fauteuil blanc est un mouton, la bibliothèque un énorme gratte-ciel !
Quatre petits loups et Bébé jouent dans le jardin… « Hé ! C’est ma poussette ! » dit Bébé. « Puisque c’est comme ça, je rentre », dit le premier petit loup. Et il ne revient plus.
C'est l'histoire d'un petit bonhomme qui, chaque nuit, empêche ses parents de dormir. Quand on est un bébé, c'est plutôt normal. Mais quand on grandit, il y a un moment où on doit dormir tout seul... comme un grand. Et c'est plus facile à dire qu'à faire.
Tiens, un oiseau dans l’arbre ! « Cui cui », chante-t-il. Mais il s’envole. L’enfant contemple son absence : « Reviens ! ». L’oiseau revient. Le chat le suit et l’enfant se réjouit de toutes ces retrouvailles.
Certaines pages du livre prennent la forme de l’arbre et le texte se mêle aux images aériennes pour dire au revoir et bonjour à l’oiseau.
Lundi, mardi, jeudi,
Moi je te dis,
Méli-mélo,
Des tas de petits mots : Bonjour, mon chou ! Salut, mon petit loup ! Hello, petit poussin ! Coucou, mon lapin !
Lorsqu’un enfant arrive au monde, son entourage vient lui souhaiter la bienvenue : « Ta petite cousine trouve que tu as la même taille que sa poupée en plastique. Rose dit que vous avez la même odeur. Ton parrain confie à qui veut l’entendre que vous avez exactement la même forme d’oreille et que plus tard, tu seras musicienne… »
Des rencontres au travers de 15 portraits qui relient le bébé aux autres et lui font découvrir les différentes parties du visage.
Qui dit bonjour à Anita ? Le soleil, qui la réchauffera quand elle aura froid. L'arbre, qui lui fera de l'ombre quand elle aura trop chaud. Le ruisseau, dont elle pourra boire l'eau quand elle aura soif. L'herbe, sur laquelle elle pourra courir quand elle marchera. Et surtout sa famille, qui l'abritera toute sa vie.
Oh là là ! Qu’est-ce qu’il a ce bébé-là ? Un gros chagrin. Et un gros chagrin, on doit s’en occuper.
Ses amis sont là pour le mettre au chaud dans un joli foulard, le bercer, lui parler, l’entourer. Ils lui laissent le temps de s’envoler pour pouvoir à nouveau s’amuser.
C’est apparu comme ça, un jour, il y a fort, fort longtemps, dans la grotte de Koko et Kiki.
« Oh ! Keskeussè keu sa ? » a dit Koko.
« Sè bizarre, regarde, bras, doigts… » a répondu Kiki.
« Bon, trouvé par terre ? Donk sè crasse. Ééé… crasse dehors ! » a dit Koko en voulant jeter la crasse.
« Oh mè, crasse rigole ! » s’est attendrie Kiki.
Quelle aventure que celle de Riquipouce, le tout petit, le minuscule enfant tant attendu par sa mère ! « Tu m’as voulu, me voici, lui déclare-t-il. Et maintenant, je veux sortir explorer le monde ! » De la taille d’un pouce, Riquipouce n’a peur de rien. Ni de la poule, ni de l’ours. « Le monde est à moi ! » dit-il.
Au début, j’étais tout petit… j’étais un spermatozoïde. J’avais plein de copains. Dix, cent, mille, minimum ! On vivait dans le ventre de ma maman. Comme un seul gagnant devait naître, on a organisé une course. Moi, j’avais mon stratagème. J’ai pris mon propre chemin… et j’ai gagné !